Pour la troisième et dernière fois, sans enfant. Mon mari en a un de 35 ans et un de 33, qui ont leur vie.
Sono un utente di expat.com dal 22 Marzo 2016
J'avais 10 et 11 ans, mon père était commandant de bord à Air Zaïre, nous avons eu la chance de visiter l'actuelle RDC, le Kivu, Burundi, Rwanda, l'Ouganda, le Cameroun, le Tchad et j'en passe. Après avoir habité à Kin', nous avons continué d'y aller jusqu'en 78 car mon père y travaillait. Ma mère voulait que je continue l'école en France. Après leur divorce, ma mère et moi sommes allés au Sénégal, etc., enfin il y a des années que je suis tombée amoureuse de ce continent. J'ai emmené mon mari d'aujourd'hui, il n'y a pas longtemps, à Madagascar. Voila, c'est le rapport de ce continent avec ma vie.
Enseigner est dans ma peau, je m'emballe sur bien des choses et lorsque je pense qu'elles sont positives et peuvent apporter quelque chose aux autres, alors j'aime les partager ; par exemple : le Français, c'est une très bonne chose à partager, à enseigner.
Lorsque mon école, "A l'Ecole Française" est née, il y aura 22 ans en octobre de cette année 2016, j'avais déja une base de 80 élèves qui m'ont suivi de diverses écoles de langues où je travaillais. Pour survivre, il ne faut jamais s'endormir sur ses lauriers, ce qui veut dire qu'il faut faire de la prospection et, ça, je n'aime pas du tout.
J'avais 10 et 11 ans, mon père était commandant de bord à Air Zaïre, nous avons eu la chance de visiter l'actuelle RDC, le Kivu, Burundi, Rwanda, l'Ouganda, le Cameroun, le Tchad et j'en passe. Après avoir habité à Kin', nous avons continué d'y aller jusqu'en 78 car mon père y travaillait. Ma mère voulait que je continue l'école en France. Après leur divorce, ma mère et moi sommes allés au Sénégal, etc., enfin il y a des années que je suis tombée amoureuse de ce continent. J'ai emmené mon mari d'aujourd'hui, il n'y a pas longtemps, à Madagascar. Voila, c'est le rapport de ce continent avec ma vie.
Enseigner est dans ma peau, je m'emballe sur bien des choses et lorsque je pense qu'elles sont positives et peuvent apporter quelque chose aux autres, alors j'aime les partager ; par exemple : le Français, c'est une très bonne chose à partager, à enseigner.
Lorsque mon école, "A l'Ecole Française" est née, il y aura 22 ans en octobre de cette année 2016, j'avais déja une base de 80 élèves qui m'ont suivi de diverses écoles de langues où je travaillais. Pour survivre, il ne faut jamais s'endormir sur ses lauriers, ce qui veut dire qu'il faut faire de la prospection et, ça, je n'aime pas du tout.
J'y ai vécu en pointillés du fait de la période en Afrique et une année autour de Lyon. Quant à Bordeaux, nous y avons souvent déménagé avant que je ne devienne indépendante de ma mère car elle vivait dans des maisons qu'elle retapait pour gagner sa vie et, donc, pas mal de déménagements. J'adore Bordeaux ! J'y ai emmené mes élèves américains deux fois et ils l'ont beaucoup aimée. Je continuerai d'y emmener des Américains pour leur plaisir et le mien.
J'aime les gens et j'aime leur apporter quelque chose, quand j'entends "Ah ! j'ai appris quelque chose !", alors... je suis contente.
Je déteste le marketing, mais c'est nécessaire ; alors, je le fais...