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Comment les Africains se sentent-ils accueillis en Allemagne

Dernière activité 08 Novembre 2023 par jean luc1

Nouvelle discussion

jean luc1

Bienvenus ? Comment les Africains se sentent-ils accueillis en Allemagne                                                                                          Alors que Berlin prévoit d'assouplir les lois sur l'immigration, des migrants africains racontent à la DW leur expérience en matière de préjugés et de bureaucratie. Ils attendent avec impatience les réformes annoncées. Celles-ci pourraient en effet leur permettre d’obtenir la double nationalité.

Une demi-douzaine de clients vont et viennent dans les allées du supermarché afro-caribéen M&D de Karlsruhe, une ville moyenne du sud-ouest de l'Allemagne. Ici, outre du foufou et des ignames, on trouve une quantité de produits d'Afrique de l’Ouest. 

Pour Mohammed, 42 ans, le magasin constitue une activité secondaire. Originaire d’Accra au Ghana, il préfère ne pas voir son nom de famille apparaitre en ligne. Son emploi à plein temps, il l’exerce dans une usine Daimler implantée dans la région et qui produit des voitures de luxe de la marque Mercedes. La véritable gestionnaire du magasin c’est Faustina, sa femme, également originaire du Ghana. C’est elle aussi qui s’occupe de leurs quatre enfants.

"C'est très agréable de vivre en Allemagne", affirme celui qui aime se faire appeler Mo. Il apprécie particulièrement l’excellent système de sécurité sociale et d'assurance maladie sans oublier la discipline et l'ordre qui règnent, selon lui, dans son pays d’adoption. "Pour une vie en Europe, je pense que l'Allemagne est le meilleur choix".

Pourtant, la vie en Allemagne n’a as toujours été facile. Mo est arrivé en Allemagne, où son oncle vivait déjà, il y a plus de 20 ans, en tant que réfugié politique. Au début, il a dû affronter la bureaucratie pour obtenir ses papiers et un permis de travail, un aspect qui, selon lui, peut vraiment être encore amélioré en Allemagne. L'apprentissage de l'allemand a également été "très, très difficile", souligne-t-il. Il faut dire qu’à l'époque, la ville ne proposait pas de cours de langue gratuit comme c’est le cas aujourd’hui.   

Marqué par les stéréotypes

Mo estime aussi que les Allemands ont certaines idées préconçues sur les Africains, dit-il, en particulier sur les hommes.

"Dès qu'ils voient un homme noir, ils [les Allemands] pensent que vous devez être stupide", dit-il à DW. "Désolé mais la plupart d'entre eux, quand ils voient un homme noir, ils pensent automatiquement que c’est soit un réfugié, soit un dealer".

En réalité, l'Allemagne, un pays de près de 84 millions d'habitants, compte peu d'immigrants africains. En 2021, seules 450.000 personnes originaires d'Afrique subsaharienne étaient enregistrées ici - sans compter celles qui ont acquis la nationalité allemande. Il y a deux décennies, à l’époque où Mo est arrivé en Allemagne, ils n'étaient que 164.000 à vivre officiellement dans le pays.

A l’époque où Mo habitait dans un village des environs de Karlsruhe, la police l'arrêtait souvent pour voir ses papiers ou vérifier qu'il avait bien payé ses courses. Une fois, il a même été contraint de se déshabiller lors d'un contrôle antidrogue. Un moment "très, très embarrassant", se souvient-il. 

Plus récemment, raconte-t-il, la police est venue dans son supermarché parce que quelqu'un trouvait suspect que des Noirs se tiennent dehors, sur le trottoir, en étant "bruyants et en parlant au téléphone".

"Ils ont un mauvais état d'esprit vis-à-vis des Noirs", déclare Mo. "Ils les voient comme de mauvaises personnes".

En 2018, une étude a révélé qu'un tiers des Africains vivant en Allemagne ont déclaré avoir été maltraités ou abusés. C'est un taux beaucoup plus élevé que celui déclaré par les Africains dans la plupart des autres États membres de l'UE. Beaucoup ont également dit qu'ils se sentaient discriminés, en tant qu’Africains, dans la recherche d'un emploi ou d'un appartement.

Dans le cadre de son travail, Mo n’a lui fait que des expériences positives. Il n’a pas non plus l’impression de sortir du lot vu le nombre de nationalités représentées dans son usine. Et le fait d'avoir un contrat avec Daimler, l'une des plus grandes entreprises allemandes, lui vaut d'être apprécié par les agences immobilières, qui voient en lui un locataire fiable. 

Une diversité croissante

A deux pas de la boutique afro-caribéenne de Mo vit Delicia Hofmann, originaire d'Afrique du Sud. En 1996, deux ans seulement après l’accession au pouvoir de Nelson Mandela à l’issue des premières élections post-apartheid du pays, elle rencontre son mari, un Allemand en déplacement en Afrique du Sud. A cette époque, raconte-t-elle, vivre en tant que couple interracial dans mon pays était "très compliqué". Elle décide alors de s’installer en Allemagne où ils se marient.

Diplômée de l'université et ayant heureusement appris l'allemand à l'école, chez elle, à Stellenbosch, elle trouve rapidement un emploi auprès d’un fonds de pension, service clientèle. Delicia Hofmann est alors la première personne noire parmi 800 employés.

"Les gens me regardaient d'une manière étrange. Je le remarquais mais je ne me sentais pas pour autant bizarre ou ridicule", dit-elle, ajoutant que cela a probablement été plus facile pour elle en tant que femme en Allemagne; les hommes noirs sont traités de manière très différente. "Je me sentais bien accueillie dans la plupart des endroits, mais après plusieurs années, j'ai réalisé que c'était parce que je maîtrisais la langue."

Il lui a fallu un certain temps pour acquérir la confiance nécessaire et "mettre en valeur" son africanité en portant certains vêtements spécifiques ou un foulard.

Aujourd’hui, à mesure que Karlsruhe et l'Allemagne s'internationalisent et s'ouvrent, elle est de plus en plus "confiante" à l'idée de vivre ici. Un peu plus d'un cinquième des 306.000 habitants de Karlsruhe sont aujourd'hui nés à l'étranger. "J'ai l'impression que la plupart des gens ici sont ouverts à cela", dit Delicia Hofmann. "Et ils voient aussi la nécessité d'un changement".

Pour Delicia Hofmann, l'un des plus grands avantages de sa vie en Allemagne est assurément la liberté de mouvement dont elle ne bénéficierait pas en tant que femme en Afrique du Sud. "J'apprécie vraiment de sortir et de pouvoir être dans la rue en sachant que je suis réellement en sécurité, même si je rentre tard à la maison sur mon vélo", dit-elle.

"En fait, se déplacer à vélo est un luxe pour moi".

Conflit sur la double nationalité 

Mais que ce soit Delicia Hofmann ou Mo, du magasin afro-caribéen, tous deux partagent un gros problème : l'Allemagne n'autorise pas la double nationalité avec les pays non-membres de l'UE, à l'exception de la Suisse, voisine.

Or, ni l’un ni l’autre ne veulent abandonner le passeport de leur pays de naissance pour un passeport allemand. "Je sais que ce n'est qu'un morceau de papier, mais c'est un morceau de papier qui est lié à mon héritage", dit Delicia Hofmann.

Dans le cadre d'un vaste remaniement des lois allemandes sur l'immigration, le gouvernement actuel a promis d'autoriser les citoyennetés multiples, ce dont elle se réjouit. Je pourrai alors dire : "Je suis maintenant une citoyenne allemande. Et c’est une bonne chose "parce que je me sens chez moi en Allemagne, et je voudrais aussi avoir le droit de vote."

En attente de papiers

À trois pâtés de maisons du supermarché afro-caribéen, quelques hommes sont assis sur un canapé et attendent une coupe de cheveux au One-Love Afro Barber Shop. L'un d'eux s’appelle Waham. Il a 24 ans et originaire d'Érythrée. Il vit en Allemagne depuis sept ans, après avoir fui le service militaire obligatoire draconien dans son pays.

Avant l’Allemagne, il a vécu en Italie mais il se sent mieux ici parce qu'il y a plus de possibilités pour travailler et acquérir des compétences. De plus, il peut suivre des cours d'allemand dispensés par la ville.


S’il y a une chose cependant qu’il ne comprend pas c'est à quel point l'Allemagne rend tortueuse les procédures de demande d’asile, notamment pour les Érythréens. Selon lui, le pays gaspille des compétences, car tant qu’ils ne sont pas sortis des limbes bureaucratiques, ils ne peuvent pas travailler.

Pourtant, la moitié des entreprises allemandes déclarent avoir dû réduire leurs activités cette année parce qu'elles ne parviennent pas à recruter du personnel.

"Il y a beaucoup, beaucoup de travail en Allemagne," observe Waham. "Mais ceux qui n'ont pas les papiers nécessaires ne peuvent pas travailler. Cela n'a pas de sens."

Vivre sans famille

Dans le cadre de sa réforme sur l'immigration, le Parlement allemand a aussi adopté un projet de loi visant à réduire les obstacles bureaucratiques du système d'asile. Ce projet permet aux personnes qui ont vécu en Allemagne pendant au moins cinq ans avec un permis de "séjour toléré" d'obtenir la résidence permanente.

Mais même s'il devient alors plus facile pour ceux qui sont déjà ici de travailler, Waham met en garde contre le fait de demander l'asile en Allemagne. Le système de regroupement familial ne fonctionne pas ici, dit-il, ajoutant qu'il connaît de nombreux Érythréens qui attendent depuis des années que leur femme ou leurs enfants soient autorisés à les rejoindre.

La loi allemande autorise certes les réfugiés reconnus comme tels à faire venir leur partenaire et leurs enfants en Allemagne. Mais les Érythréens sont souvent incapables d'obtenir les documents de leur propre gouvernement pour prouver ces liens familiaux. Et "sans votre femme, vos enfants, sans votre famille, la vie ici est clairement plus difficile", soupire Waham.

Auteure : Kate Hairsine

Source: dw.com

jean luc 1f609.svg

jean luc1

pour ma part ,je suis pour la double nationalité, mes filles sont franco-allemande .

pour les préjugés  , on les combats uniquement par une attitude exemplaire á 100% , on ne doit pas se contenter de la moyenne nationale , on pardonne rien aux étrangers , la moindre erreurs c'est toute la communauté qui payent .il faut une discipline de fer . jean Luc1f609.svg

jean luc1

un pdf sur le sujet http://fra.europa.eu/sites/default/file … _eu_fr.pdf  jean Luc1f609.svg

francoisdecu

@jean luc1


pour ma part, je suis rigoureusement CONTRE la double nationalité,


mais pour une nationalité EUROPÉENNE pour

  • tous ceux qui la demanderaient en remplacement de leur nationalité simple d 'une des nations appartenant intégralement à l 'Europe, ce pour faire progresser l 'Europe (à qui nous ne faisons faire que des bonneries au lieu de la construire! C 'est un chantier en ruine! Au train que ça va, on ne pendra jamais la crémaillère dans ce bâtiment...)
  • tous ceux qui nécessitent, dans le pays où ils résident, une nationalité européenne, et qui y ONT PRÉALABLEMENT DROIT, différente de leur propre nationalité


pourtant, je me suis fait naturaliser allemand il y a deux ans (début des démarches)  alors que j 'habite en Allemagne sans interruption (excepté des séjours professionnels en Afrique sur demande expresse de mes employeurs allemand) depuis 1965, juste avant que ma dernière CI française doive impérativement être renouvellée, car je me refuse rigousement de devoir, alors que j 'habitais et habite encore dans un Bundesland qui hébergeait et la capitale allemande, et l 'ambassade de France dans le pays, et PLUSIEURS consulats généraux de France, et d'autres institutions de nature comparables françaises, me rendre dans un autre Bundesland simplement pour y retirer la paperasse... Alors que j 'ai des attaches très étroites à Berlin, mon nom y est à l 'annuaire téléphonique, je n 'ai même pas la faculté, faute d 'en avoir le droit, de retirer cette satanée paperasse au second point de chute possible et unique alternative, le Consulat Général de France de Berlin, parce que je n'y suit pas immatriculé (bien sûr, seule la librairie de mon gendre est à Berlin! Mais personne de notre famille n'y habite! Pas même notre gendre, qui nous y occupe... Il habite à Hambourg, et, s 'il était français, heureusement pour lui qu'il ne l 'est pas, il aurait des problèmes analogues aux nôtres, nous qui habitons en NRW!

Cette évolution est un grandiloquent scandale et l 'union européenne actuellement une pourriture, si c 'est en vertu des évolutions européenne qu 'on nous inflige de tels mauvais traitements...

je vais transmettre ce message à Madame la Secrétaire d 'État BRANTNER, qui est comme nous frontalière (j'habite dans une ville qui est à moins de 20 km de la frontière germano-hollandaise et 50 km de la Belgique, et la belle-famille de ma fille aînée habite à 500 m de la frontière franco-allemande à côté de Karlsruhe): on interdit aux français frontaliers de demander leurs papiers dans une ville française frontalière même quand ils ont de bonnes raisons familiales de se rendre éventuellement fréquemment à 500 m de la frontière franco-allemand, idem, pour les autres pays limitrophes! Non, mais, c 'est de la folie furieuse, mon, comme on nous a appris, pour nous abrutir, à l 'Armée, Ministre des Affaires Étrangère qui gère si mal car de manière à mon sens inhumaine cette  "difficulté", les Africains, diraient ce faux-problème!), étant de Lörrach, et parlant français avec l'aisance d'une française. L 'Europe en (ruine de) construction se fout de nous, tous les frontaliers européens, probablement un nombre d'Européens brimés équivalent à la population d'un des peuples européen leader (y-a pas? Oh que si! Il n 'y a d 'ailleurs que des peuples leaders grâce au droit de veto puisque nous avons mis la charrue devant les bœufs en agrandissant l 'Europe avant de modifier les règles du Veto... (quels présidents débiles nous avons eu en France! Ça. et puis la réunification de l 'Allemagne recréant un état surpuissant, alors que l'Autriche, etc., vu que le dernier Empire était plus vaste, un vrai leader, quoi... Pas de quoi en être fiers!))

jean luc1

la territorialité n'existe plus en France , tu peut déposer tes demande de papiers á Berlin si tu le souhaite ou en France , pareille pour les frontaliers , seulement le problème est que les délais pour avoir un rendez-vous sont très long , 6 mois á Strasbourg par exemple . moi je suis pour la double nationalité car pour beaucoup c'est une question sentimentale . moi j'en veut pour preuve lorsque la secrétaire de l'école a supprimer la nationalité française, en disant que pour l'administration elle était allemande , un point c'est tout  !!ma fille âgée de 6 ans á l'époque as très mal réagit , c'est comme si on lui enlever sa deuxième moitie , elle as toujours refuser le fait de choisir entre son père et sa mère . pour ma 2eme fille pareille franco-allemande aussi , j’étais hors la loi jusqu’en 2003 . moi je suis pour que la France et l'Allemagne signe un accord pour nous permettre de déposer les papiers dans les mairies et que celle ci, les envoies vers les consulat respectif , et vice versa. la double nationalité est pas toujours facile as assumer car elle implique deux cultures , deux histoires deux pays, rien que pour les franco- allemand 22 conflit militaire en 1000ans d'histoire , soit 1 tout les 45 ans . Quand á la nationalité européenne j'en voit pas l'utilité car on vit pas de la même façon , on parle pas les même langue . jean Luc1f609.svg

francoisdecu


 
"Les gens me regardaient d'une manière étrange. Je le remarquais mais je ne me sentais pas pour autant bizarre ou ridicule", dit-elle, ajoutant que cela a probablement été plus facile pour elle en tant que femme en Allemagne; les hommes noirs sont traités de manière très différente. "Je me sentais bien accueillie dans la plupart des endroits, mais après plusieurs années, j'ai réalisé que c'était parce que je maîtrisais la langue."

Auteure : Kate Hairsine
Source: [lien en attente de validation]
jean luc 1f609.svg-@jean luc1



oui, ce long texte comporte des tas de faits absolument réels, mais l'interprétation!


la (maitrise de la) langue est une clé, c 'est bien vrai.


mais cela ne suffit pas comme explication: les différences, voir pire, les divergences d'éducation et de sensibilités ne sont pas DU TOUT perceptibles en relatant seulement des faits.


l 'une de mes relations africaines avait fait connaissance de son épouse à l'université allemande. ils étaient tous les deux donc, des universitaires diplômés en Europe.


et ils s'étaient mariés.


cela a bien duré quelques années. vu la naissance de deux fils, en Europe, les amis et relations allemandes se sont distanciés et il ne resta plus comme sensation que la perception d'avoir créé un ménage d'étrangers en Allemagne, même pour l'épouse allemande (il faut bien être conscient du fait que cela frappe AUSSI l'épouse européenne, même si elle est du pays!)


au bout de quelques années (que vont devenir nos gosses: ils sont allemands, mais ils ne sont pas blancs), on décide de rentrer tous les 4 en Afrique.


«On va venir nous chercher à l 'aéroport!»


Et oui, et qui attendait: la première épouse du mari (qui en avait caché jusque là l 'existence) et leur fille commune.


La crainte (pour d 'éventuels propriétaires) de polygamie préexistante bien de fait, mais non divulguée (par ex. dans les pays où la législation moderne y met des freins, mais la loi orale traditionnelle est encore parallèlement appliquée, et vraiment permissive à ce niveau), ou à venir joue un rôle capital par ex. au niveau des difficultés à se loger.


et il y a une multitude de divergences majeures de perception du droit et du bien dans nos relations.


par ex. même un nombre fantastique de femmes africaines acceptent la mutilation de leurs fillettes, y compris parmi celles vivant en Europe!


autre exemple, en Afrique de l 'Ouest, en cas d 'éclatement de la famille (divorce chez nous), l 'enfant qui automatiquement sa mère quand il atteint 7 ans (énorme avantage:  le père qui se procrée trop récupère toujours sa charge! Il n 'y a aucun drame, les enfants le savent, et les mères sont habituées à ce que cela se passe automatiquement comme ça. Comparé à nos effrayants autant que terrible litiges juridiques pour pouvoir seulement prétendre  "trouver" le droit des enfants, alors que ce n 'est pas du tout ça, les enfants africains, le connaissent tous d 'avance et l 'acceptent tous de but en blanc, il  s 'agit de la sensiblerie maladive des européens, c 'est d 'une sagesse considérable.


autre exemple, «je suis le fils de lait» de untel, et c 'est pourquoi son fils est mon frère de lait» révêle à l "Européen une liaison impérative familiale d'une nature insoupçonnée (réflex de propriétaire «des frères de lait pourraient-ils débarquer chez moi?»).


on nous parle aussi du bruit. c 'est un EXCELLENT EXEMPLE et j 'y passe avec la citation dans le message suivant:

francoisdecu


   Plus récemment, raconte-t-il, la police est venue dans son supermarché parce que quelqu'un trouvait suspect que des Noirs se tiennent dehors, sur le trottoir, en étant "bruyants et en parlant au téléphone". "Ils ont un mauvais état d'esprit vis-à-vis des Noirs", déclare Mo. "Ils les voient comme de mauvaises personnes". En 2018, une étude a révélé qu'un tiers des Africains vivant en Allemagne ont déclaré avoir été maltraités ou abusés.

Source:  dw.com jean luc 1f609.svg-@jean luc1



ça alors, l'enchainement est prodigieux! Vouloir faire respecter le calme autour de soi serait un signe de maltraitance  ou d 'abus?


et la rédaction qui a écrit cette énormité serait de la dw (Deutsche Welle)?


et on nous ponctionne encore de redevances obligatoires en Allemagne pour financer un tel abrutissement?


oui, c 'est vrai, protégé par le mutisme de compréhension de leurs langues, beaucoup d'africains sont plus que sans gène sur les trottoirs allemands.


mais qu 'on se serve de tels interviews débiles, pour amplifier artificiellement les sujets de confrontation à la dw, c 'est bien le comble et l 'un des pires idioties que les africains appellent chez eux «faux-problème»...


mais cet article regorge de remarques idiotes. et comme il prétend les établir comme faits acquis (comme la difficulté de la langue allemande, oh combien plus simple qu 'un grand nombre de langues africaines. Les africains sont, linguistiquement, admirables - ils maîtrisent souvent 4 à 5 langues, dont parfois 2 ou 3 d 'autres espaces culturels, tels que l 'anglais, l'arabe (qui n 'est pas une langue africaine, mais une langue sémite très proche de l'hébreu), et, dans les pays réputés francophones, le français. un bon guinéen parle 3 langues malinké, peuhl, soussou, etc. La seule différence avec l 'allemand: l 'allemand n 'y fut appris de manière spontanée que dans peu de pays, et ce en RDA lors des échanges de pioniers. C 'est une langue dont le vocabulaire est donc à acquérir dans son intégralité...) il est important de le contester!

jean luc1

c'est bien un article de Deutch Welle ,  qui reproduit leur perception du regard des allemands sur eux . je pense qu'il faut leur laisser la parole  pour intervenir ,et qu'ils disent leurs façon de penser ,ils ont pas la même culture que nous . on peut imposer une culture en quelques mois ,moi je voit des africains qui travaillent , et qui sont pas de problème . moi j’appellerais pas la police avant 22h , après oui ,il y auras un rappel á l'ordre avec une bonne amende . Jean Luc1f609.svg

jean luc1

pourquoi toujours parlé des africains avec les mauvais coté ,la polygamie est interdite dans la culture judéo-chrétienne , mais admise dans le monde musulman , ici celui qui pratique ce sport peut aller en prison , perdras son titre de séjours, et être interdit de territoire, pour excision , la prison direct, retrait des enfants á vie . mais de plus en plus de femme refuse celas même en Afrique . chez nous on as adultère , on change pas une culture veille de plusieurs millénaire , en quelques mois . si j'ai un conseil á te donner raccourci des textes qui sont beaucoup trop ,va ´l'essentielle, c'est inutile de décortiquer toute les phrases . moi je pense aussi que le regard que nous portons peut aussi les gênés , comme nous les blanc en Afrique . 

moi ce qui m’intéresse c'est l'avis des africains sur ce sujet. jean luc 1f609.svg

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