Allemagne: les nouvelles économiques,et du marché du travail
Dernière activité 07 Janvier 2017 par jean luc1
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La productivité a augmenté de 23 % à 35 % en dix ans en Allemagne
La productivité en Allemagne a augmenté de 22,7 % en dix ans, de 1991 à 2011, tandis que sur cette même période le temps de travail moyen par personne diminuait de 9 %, a annoncé lundi l'Office fédéral des statistiques, Destatis. En calculant la productivité non en fonction du nombre d'actifs, mais du nombre d'heures travaillées, elle a même augmenté de 34,8 % depuis la Réunification. Toujours sur la même période, le coût du travail, à savoir le total des revenus du travail divisé par le nombre d'actifs, s'est envolé de 47,5 %. Mais si l'on corrige l'augmentation des salaires et revenus en tenant compte de la productivité, le coût du travail en Allemagne n'a grimpé que de 20,2 % entre 1991 et 2011, a précisé l'Office. Ce dernier souligne que après avoir bondi au lendemain de la Réunification, le coût du travail en Allemagne a stagné de 1998 à 2011, ce qui « a renforcé la compétitivité de l'économie allemande au niveau international ».
http://www.lesechos.fr/economie-politiq … 318370.php
jean luc
Europe/PMI-L'indice manufacturier zone euro au plus bas depuis 2009
PARIS/BERLIN/LONDRES, 2 mai (Reuters) - Principaux résultats, publiés mercredi, des enquêtes mensuelles Markit auprès des directeurs d'achats du secteur manufacturier en Europe:
* RALENTISSEMENT GENERAL EN ZONE EURO
L'activité du secteur industriel dans la zone euro s'est de nouveau contractée en avril alors que le ralentissement dans les pays périphériques semble se propager à la France et l'Allemagne, selon les données définitives de l'enquête Markit auprès des directeurs d'achats publiées mercredi.
L'indice PMI est ressorti à 45,9 le mois dernier, un niveau inférieur à la première estimation (flash) de 46 et au seuil de 47,7 enregistré en mars.
L'activité du secteur manufacturier retombe ainsi à son plus bas niveau depuis juin 2009.
L'indice PMI de la zone euro évolue depuis neuf mois sous le seuil de 50 qui distingue une croissance ou une contraction de l'activité.
* ALLEMAGNE-PLUS FORT RECUL DEPUIS JUILLET 2009
Le secteur manufacturier allemand s'est contracté à son rythme le plus fort depuis près de trois ans en avril, ce qui pose la questin de savoir si la première économie en Europe peut continuer à porter la croissance dans la zone euro. lire le reste de l'article
bonne lecture .
jean luc
L'Allemagne commence à souffrir de la crise en Europe
Toujours mieux lotie que ses voisins, l'Allemagne commence à pâtir de la crise en Europe, comme en témoignent un marché du travail qui perd de sa superbe et un indicateur inquiétant pour ses exportations industrielles.
La chute de l'indice des directeurs d'achats PMI au plus bas depuis 33 mois et des chiffres du chômage en demi-teinte qui pourraient sonner la fin du miracle sur le marché du travail ont fait l'effet d'une douche froide mercredi.
Ces chiffres tombent une semaine après la confirmation de l'objectif officiel d'une croissance du PIB de seulement 0,7% cette année pour la première économie européenne, puis 1,6% en 2013, après 3% l'an dernier.
"La chute de l'indice PMI (à 46,2 points en avril contre 48,4 points en mars, ndlr) reflète largement une nouvelle contraction des niveaux de production (...) avec une faiblesse particulière dans les biens d'investissement, les entreprises dans ce secteur voyant une chute rapide de leur charge de travail", a détaillé l'institut Markit, qui publie cet indicateur avancé.
Les exportations des biens d'investissement, notamment les machines-outils vendues aux industriels du monde entier, sont un pilier du modèle économique allemand, et font les frais du ralentissement hors d'Allemagne.
"Un certain nombre d'industriels expliquent la baisse de leurs commandes à l'exportation par la demande plus faible de clients du Sud de l'Europe", relève Markit.
De son côté, le chômage, indicateur réagissant en retard sur la conjoncture, prend acte du ralentissement traversé par l'Allemagne.
http://www.leparisien.fr/flash-actualit … 980959.php
jean luc
En Allemagne, les grèves se multiplient face à l'austérité
Après quinze années d'austérité, les conflits salariaux se multiplient en Allemagne. Le syndicat Ver.di a annoncé vendredi 4 mai des mouvements de grève dans le secteur bancaire pour obtenir des hausses de salaire, à l'instar des salariés de l'industrie qui ont lancé un large mouvement cette semaine.
Ver.di, qui négocie des hausses de salaire pour 220 000 salariés des banques publiques et privées d'Allemagne, n'a pas réussi dans la nuit de jeudi à vendredi à se mettre d'accord avec le patronat. Après de premiers appels à la grève le mois dernier, le syndicat compte les "amplifier" et décidera des modalités "dans les jours à venir". Ver.di a rejeté une offre du patronat, qui proposait une augmentation en trois étapes (+2%, puis deux fois +1,1%) pendant les deux prochaines années. Selon le syndicat, une telle proposition aurait fait augmenter les salaires de 1,3% par an, moins que la hausse des prix. Cette offre "était totalement inacceptable", a expliqué Beate Mensch, responsable de Ver.di. lire la suite
jean luc
Grèves en Allemagne : Le consensus social en péril ?
Les Français découvrent avec stupéfaction, et un brin d'ironie, que l'Allemagne fait actuellement face à une série de débrayages dans l'industrie, un spectacle auquel le bon élève de la zone euro, qui se plaît à faire la leçon aux autres, n'a pas habitué ses voisins.
Ces conflits viennent ponctuer une série de mauvaises nouvelles, à commencer par la croissance négative, - 0,2%, au quatrième trimestre 2011, suivie de l'annonce surprise d'une augmentation du chômage au mois d'avril 2012, après un recul ininterrompu pendant toute l'année dernière. Les grèves sont-elles un signe de l'effritement du consensus social face aux difficultés qui s'annoncent ?
6,5% d'augmentation salariale demandée
Depuis la semaine dernière, à l'issue de la période dite de paix, où les syndicats n'ont pas le droit d'appeler à la grève, les salariés du secteur de la métallurgie ont entamé une série de grèves d'avertissement dans tout le pays, à l'appel du puissant syndicat IG Metall.
Plus de 270 000 salariés du secteur ont brièvement cessé le travail pour manifester leur mécontentement. Les grèves se durciront cette semaine, si les partenaires sociaux ne parviennent pas à un résultat satisfaisant pour les deux parties. IG Metall a formulé une revendication triple : 6,5% d'augmentation salariale sur un an pour les 3,6 millions de métallos, l'obligation d'embauche pour les jeunes ayant achevé leur formation ainsi que l'accroissement des droits de cogestion lors du recrutement de salariés intérimaires, très répandu notamment dans l'industrie automobile.
Le patronat, par la voix du président de Gesamtmetall, Martin Kannegiesser, a proposé une augmentation des salaires de 3% sur 14 mois. Les autres exigences de l'IG Metall se sont heurtées à une fin de non-recevoir.lire le reste
jean luc
Le déficit commercial se réduit grâce à l'Allemagne
En mars, les exportations allemandes ont battu un nouveau record grâce au succès de ses produits hors zone euro. La France réduit légèrement son déficit commercial, sans que cela signifie un redressement économique.
La publication ce mercredi des chiffres des déficits commerciaux allemand et français offre un raccourci frappant sur les forces et faiblesses des deux économies. Les exportations allemandes ont enregistré un record en mars. Elles ont progressé de 0,9% sur un mois et culminent à 98,9 milliards d'euros, grâce au succès des produits d'outre-Rhin hors zone euro. Son excédent commercial s'est élevé à 17,4 milliards d'euros, en progression de 16,8%. «Un signe de plus de la bonne santé de l'économie allemande malgré la crise de la zone euro», décrypte Constantin Wirschke, économiste chez Natixis.
Si, dans le même temps, la France a réduit son déficit commercial de près de 500 millions d'euros, à 5,7 milliards d'euros, cela cache un ralentissement global des échanges. En clair, les exportations ont baissé deux fois moins vite que les importations. Les premières ont reculé de 558 millions d'euros, à 36,491 milliards, quand les secondes ont chuté de 1,1 milliard d'euros, à 42,212 milliards sur le mois de mars. lire la suite
jean luc
Allemagne: prévisions de recettes fiscales révisées en hausse pour 2012
Francfort (awp/afp) - L'Allemagne a révisé jeudi en légère hausse ses prévisions de rentrées fiscales pour l'année en cours et pour les années à venir, au vu des bonnes perspectives d'emploi et de revenus dans le pays, selon un rapport publié jeudi par le ministère des Finances.
L'Etat fédéral devrait récolter pour 252,3 milliards d'euros d'impôts cette année, soit 1,7% de plus que l'an dernier, et 9,6% de plus que ce qui avait été escompté lors de la précédente prévision en novembre dernier, selon ce rapport d'un groupe d'experts se réunissant deux fois par an.
Les 16 Etats régionaux (Länder) devraient eux lever 234,2 milliards d'euros de recettes fiscales cette année, 4,4% de plus que l'an dernier et 6,4% de plus que la précédente estimation de novembre.
Quant aux communes allemandes, leurs rentrées d'impôts sont désormais attendues autour de 80,1 milliards d'euros pour cette année, en hausse de 5,1% par rapport à 2011, chiffre révisé en hausse de 5% par rapport à novembre.lire le reste
jean luc
L'Allemagne, terre d'asile de l'Europe en crise C'est le cas de Vasileios Tzimiropoulos, qui a quitté Thessalonique pour Berlin début mars faute d'avoir réussi à trouver un nouvel emploi depuis que son dernier contrat s'est achevé en 2011. Ce jeune ingénieur du bâtiment de 31 ans a choisi l'Allemagne en raison du dynamisme de son secteur de la construction:
«Je m'intéresse beaucoup aux nouvelles technologies et aux évolutions dans ce domaine. Je voudrais trouver du travail et en profiter pour élargir mes connaissances, dans ma profession c'est très important.»
Mais son niveau d'allemand l'empêche pour l'instant de décrocher un job dans son domaine. Un poste de project manager dans une grande entreprise de construction lui est passé sous le nez il y a quelques semaines pour cette raison.
«Ce qui est très important d'abord, c'est d'apprendre l'allemand, même si vous parlez anglais. Cela dépend bien sûr de la branche dans laquelle vous travaillez, mais on a plus de chances de trouver un travail quand on maîtrise la langue du pays», conseille Pigi Mourmouri lors de ses consultations.lire le reste
jean luc
Les prévisions économiques de la Commission européenne
Voici les principales prévisions de croissance, déficit et dette publiées vendredi par la Commission européenne avec, entre parenthèses, le rappel des précédentes estimations.
- EVOLUTION DU PIB:
2012 2013
---------
ZONE EURO -0,3% (+0,5%) +1,0% (+1,3%)
UE-27 0,0% (+0,6%) +1,3% (+1,5%)
ALLEMAGNE +0,7% (+0,8%) +1,7% (+1,5%)
FRANCE +0,5% (+0,6%) +1,3% (+1,4%)
ITALIE -1,4% (+0,1%) +0,4% (+0,7%)
ROYAUME-UNI +0,5% (+0,6%) +1,7% (+1,5%)
ESPAGNE -1,8% (+0,7%) -0,3% (+1,4%)
GRECE -4,7% (-2,8%) 0,0% (+0,7%)
PORTUGAL -3,3% (-3,0%) +0,3% (+1,1%)
IRLANDE +0,5% (+1,1%) +1,9% (+2,3%)
- DEFICITS PUBLICS (en % du PIB):
2012 2013
---------
ZONE EURO -3,2% (-3,4%) -2,9% (-3,0%)
UE-27 -3,6% (-3,9%) -3,3% (-3,2%)
ALLEMAGNE -0,9% (-1,0%) -0,7% (-0,7%)
FRANCE -4,5% (-5,3%) -4,2% (-5,1%)
ITALIE -2,0% (-2,3%) -1,1% (-1,2%)
ROYAUME-UNI -6,7% (-7,8%) -6,5% (-5,8%)
ESPAGNE -6,4% (-5,9%) -6,3% (-5,3%)
GRECE -7,3% (-7,0%) -8,4% (-6,8%)
PORTUGAL -4,7% (-4,5%) -3,1% (-3,2%)
IRLANDE -8,3% (-8,6%) -7,5% (-7,8%)
- DETTE PUBLIQUE (en % du PIB):
2012 2013
---------
ZONE EURO 91,8% (90,4%) 92,6% (90,9%)
UE-27 86,2% (84,9%) 87,2% (84,9%)
ALLEMAGNE 82,2% (81,2%) 80,7% (79,9%)
FRANCE 90,5% (89,2%) 92,5% (91,7%)
ITALIE 123,5% (120,5%) 121,8% (118,7%)
ROYAUME-UNI 91,2% (88,8%) 94,6% (85,9%)
ESPAGNE 80,9% (73,8%) 87,0% (78,0%)
GRECE 160,6% (198,3%) 168,0% (198,5%)
PORTUGAL 113,9% (111,0%) 117,1% (112,1%)
IRLANDE 116,1% (117,5%)) 120,2% (121,1%)
Le rapport complet (uniquement en anglais) peut être consulté à l'adresse suivante: http://ec.europa.eu/economy_finance/eu/ … ast_en.htm
jean luc
BERLIN, 13 mai (Reuters) - Opel, la filiale européenne déficitaire de General Motors a proposé de fabriquer la Citröen C5 de PSA Peugeot Citroën dan son usine de Rüsselheim, en Allemagne, en guise de compensation de la future perte du modèle Astra, rapporte samedi le Frankfurter Allgemeine Zeitung, sans citer de sources.
Opel réfléchit à une production de Citroën C5 en Allemagne-presse D'après le journal, la production de l'Opel Astra serait limitée aux sites d'Ellesmere Port (Grande-Bretagne) et de Gliwice (Pologne). L'usine de Rüsselheim est le plus gros site de fabrication de voitures d'Opel.
Un porte-parole de la filiale de General Motors a déclaré que l'entreprise réfléchissait à sa future stratégie de production, ajoutant qu'aucune décision n'avait été prise.
Le président du directoire d'Opel Karl-Friedrich Stracke informera lundi les salariés d'Opel sur l'activité du constructeur, a poursuivi le porte-parole.
Dan Akerson, directeur général de General Motors, et Steve Girsky, président du conseil de surveillance d'Opel, encouragent vivement Karl-Friedrich Stracke à transférer la production de pays aux coûts salariaux élevés vers des nations émergentes.
General Motors et PSA ont annoncé une alliance en février dernier en vue notamment de réaliser des économies en Europe. (voir ) (Andreas Cremer, Benoit Van Overstraeten pour le service français)
http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt … S920120513
jean luc
si les ouvriers allemands réagisse violemment , il faudrait pas s'etonner
L'Allemagne terre d'immigration en Europe, les Grecs affluent
BERLIN (Reuters) - L'Allemagne compte de plus en plus d'immigrés, notamment en provenance des pays comme la Grèce confrontés à la crise de la dette dans la zone euro, montrent des données rendues publiques mercredi par le Bureau Fédéral de la Statistique.
En 2011, le solde migratoire a été le plus élevé en Allemagne depuis 1996, avec 958.000 entrées pour 679.000 départs.
"L'immigration a augmenté en particulier en provenance des pays durement touchés par la crise, notamment la Grèce et l'Espagne", écrit l'institut.
Les arrivées en provenance de Grèce ont ainsi quasiment doublé en un an. Environ 24.000 Grecs se sont installés en Allemagne en 2011, soit une hausse de 90% par rapport à 2010.
De même, 52.000 personnes sont venues en provenance d'Espagne, soit un bond de 52%.
L'essentiel des immigrés provient cependant des pays de l'Est ayant adhéré en 2004 à l'Union européenne, d'autant que les restrictions aux arrivées de travailleurs en provenance de ces pays ont pris fin en mai 2011.
Afin de protéger leurs marchés du travail respectifs, l'Allemagne et l'Autriche ont été exemptées pendant sept ans des règles européennes relatives à la libre circulation des personnes originaires de ces pays.
L'attrait de l'Allemagne croît pour les travailleurs européens à mesure que ce pays confirme son statut de centre économique sur le continent alors que ses partenaires sont englués dans la crise.
L'Allemagne, qui souffre d'un faible taux de fécondité, comptait 81,8 millions d'habitants en 2011. Depuis la réunification, le pic a été atteint en 2002, avec plus de 82,5 millions d'habitants.
http://fr.news.yahoo.com/lallemagne-ter … 07902.html
jean luc
Francfort était sous haute suveillance policière, vendredi 18 mai, avant une grande manifestation contre l'austérité en Europe, prévue pour samedi, à l'appel du collectif Blockupy Francfort. Tout rassemblement était interdit dans la capitale financière de l'Allemagne, après que les autorités locales, qui ne voulaient pas de manifestation pendant quatre jours (entre le 16 et le 19), comme le demandait le collectif, avaient obtenu gain de cause auprès de la justice. Selon une porte-parole de la police, près de 400 personnes ont été interpellées pour occupation de l'espace public, vendredi.
A la mi-journée, le centre-ville était fermé à la circulation et quadrillé par les quelque 5 000 policiers déployés. Aucune circulation, à part des vélos, des touristes et de jeunes manifestants qui allaient de barrage en barrage. Des fourgons bloquaient l'accès à de nombreuses rues, et le quartier financier, où se trouvent le siège de la BCE et de la Deutsche Bank, était complètement bouclé. Pour justifier ce dispositif, la mairie de Francfort a souligné que des débordements avaient eu lieu lors d'une manifestation similaire en mars, et fait valoir la possible présence de casseurs. lire le reste de l'article
jean luc
accord régional pilote sur les salaires dans la métallurgie
AFP - Les quelque 800.000 salariés de la métallurgie dans l'Etat régional du Bade-Wurtemberg (sud-ouest) ont obtenu une hausse de 4,3% de leurs salaires au terme de négociations marathon, a annoncé leur syndicat IG Metall samedi matin.
Cet accord régional, valable à partir de ce mois-ci jusqu'en avril 2013, est le premier à être signé cette année en Allemagne dans cette vaste branche de l'industrie allemande. Il devrait ainsi servir de base pour les négociations salariales dans la branche dans les autres Etats régionaux du pays.
Au total 3,6 millions de personnes sont employées dans ce secteur en Allemagne qui fait office de colonne vertébrale de son industrie, très orientée à l'export.
IG Metall exigeait au départ une hausse de 6,5% des salaires pendant 12 mois, et faisait pression sur les entreprises de la branche avec des grèves dans tout le pays depuis fin avril, qui ont touché notamment Bosch, Siemens ou encore Daimler.
Après avoir vu les salaires stagner le temps que la crise économique soit surmontée, les syndicats allemands réclament désormais leur part du gâteau. Les salariés de la métallurgie se retrouvent toutefois moins bien lotis que deux millions de fonctionnaires du pays, qui ont décroché fin mars une hausse de 6,3% de leurs salaires.
Les salaires sont négociés en Allemagne entre le patronat et les syndicats pour des secteurs d'activité entiers, par régions ou pour quelques grandes entreprises spécifiques. http://www.france24.com/fr/20120519-all … etallurgie
I
jean luc1 a écrit:Francfort était sous haute suveillance policière, vendredi 18 mai, avant une grande manifestation contre l'austérité en Europe, prévue pour samedi, à l'appel du collectif Blockupy Francfort. Tout rassemblement était interdit dans la capitale financière de l'Allemagne, après que les autorités locales, qui ne voulaient pas de manifestation pendant quatre jours (entre le 16 et le 19), comme le demandait le collectif, avaient obtenu gain de cause auprès de la justice. Selon une porte-parole de la police, près de 400 personnes ont été interpellées pour occupation de l'espace public, vendredi.
A la mi-journée, le centre-ville était fermé à la circulation et quadrillé par les quelque 5 000 policiers déployés. Aucune circulation, à part des vélos, des touristes et de jeunes manifestants qui allaient de barrage en barrage. Des fourgons bloquaient l'accès à de nombreuses rues, et le quartier financier, où se trouvent le siège de la BCE et de la Deutsche Bank, était complètement bouclé. Pour justifier ce dispositif, la mairie de Francfort a souligné que des débordements avaient eu lieu lors d'une manifestation similaire en mars, et fait valoir la possible présence de casseurs. lire le reste de l'article
jean luc
400 interpellations lors de manifestations anti-capitalistes
Plus de 400 personnes ont été interpellées ce vendredi à Francfort (Allemagne) pour avoir participé à des manifestations anti-capitalistes interdites par la municipalité, a annoncé la police.
Le collectif «Blockupy Frankfurt» avait appelé à manifester de mercredi à samedi pour bloquer le centre-ville de la capitale financière du pays et gêner l'activité des banques et de la BCE. Quelques milliers de manifestants ont bravé l'interdiction vendredi. Plusieurs rassemblements du collectif disséminés dans la ville, avec jusqu'à 1.000 personnes par action, ont eu lieu depuis la matinée. Très peu d'incidents étaient à déplorer et tout se passait jusqu'à présent «dans le calme», selon la police.
Attac Allemagne, l'une des organisations du collectif «Blockupy», a toutefois dénoncé l'entassement des personnes interpellées dans des bus de la police pendant des heures et leur envoi dans des centres de garde à vue dans toute la région. Depuis mercredi, une forte présence policière est déployée à Francfort pour cerner les militants anti-capitalistes. Le centre-ville a pris des airs d'état de siège, avec des rues barrées, des stations de métro fermées et certaines boutiques de luxe barricadées par crainte d'actes de vandalisme.lire le reste
jean luc
L'Allemagne emprunte gratuitement sur les marchés
Pour la première fois, l'Allemagne a emprunté mercredi sur le marché obligataire avec un coupon zéro, c'est-à-dire qu'elle ne paiera pas d'intérêt sur cette dette. La Bundesbank, chargée de l'opération, a indiqué avoir levé 4,55 milliards d'euros d'obligations à deux ans.
La demande a été forte: plus de 7,74 milliards d'euros d'offres ont été reçues. Aussi le taux de rendement moyen, qui résulte du rapport entre l'offre et la demande, est ressorti à un niveau quasi nul (0,07%), un nouveau plus bas historique pour des obligations allemandes de ce type. Et en jouant sur le rapport entre l'offre et la demande, en ne plaçant pas la totalité de l'émission (sur les 5 milliards d'euros prévus, la Bundesbank a retenu 455 millions d'euros pour le marché secondaire), l'Allemagne a techniquement emprunté à taux zéro. lire le reste de l'article
jean luc
commentairesC'est tout simplement fou,les préteurs vont bientôt payer pour faire crédit ,preuve que la crise de l'euro est grave .
La France est-elle en train de s'allier à Wall Street et à la City pour isoler l'Allemagne ? Au XIXème siècle, la Triplice, c'était une triple alliance conduite par les Allemands pour isoler la France. La Triplice à lenvers dont nous faisons notre titre, réunit au sein dune alliance insolite Wall Street, la City de Londres et la France nouvellement socialiste de Francois Hollande contre lAllemagne.
Pour remplir un agenda électoral, la France rejoint le camp des opposants à son alliée, lAllemagne, et signe un texte étonnant qui prône la productivité à tous crins, cest à dire les licenciements, les réformes structurelles cest à dire la flexibilité et la précarité, les changements des lois sur le travail.
Les paragraphes 7 et 8 du communiqué publié à l'issue du G8 sont un modèle de reniement de ce pourquoi les électeurs de gauche ont voté : on met laccent sur la productivité, les réformes structurelles, la poursuite de lintégration du marché international, louverture des marchés, le refus du protectionnisme, linsistance sur le rôle de lOMC, les dérégulations etc etc; Jean-Luc Mélenchon sil nétait pas pressé par son calendrier électoral personnel devrait déjà ètre en train, avec ses amis de lex LCR dorganiser les premières grèves de masse.
Il est temps, grand temps de se remettre au travail. Les semaines qui viennent vont être agitées. Nous sommes un peu comme des funambules sur un fil, cest-à-dire en équilibre dans un environnement instable. Cest le moment dabandonner les illères électorales, dêtre rigoureux, de juger du réel en fonction non pas des opinions et de la propagande mais en fonction des éléments concrets mis à notre disposition. Plus que jamais il faut décoder, déconstruire, revenir aux faits et aux fondamentales.lire le reste .
jean luc
Allemagne: les entrepreneurs prennent acte de la crise, leur moral en chute
Le baromètre Ifo du climat des affaires en Allemagne a enregistré un net recul en mai, son premier depuis novembre de l'année dernière, signe que le moral des entrepreneurs allemands commence à souffrir de la crise en zone euro.
L'Ifo affiche 106,9 points en mai contre 109,9 points en avril et 109,8 points en mars, a annoncé jeudi une porte-parole de l'institut du même nom qui réalise cette enquête mensuelle très suivie par les analystes.
Le consensus d'analystes réuni par l'agence Dow Jones Newswires attendaient également un recul de ce baromètre mais bien plus faible, à 109,5 points.
"L'évaluation de la situation actuelle est en net recul. Cependant elle reste au-dessus de la moyenne à long terme", a commenté le président de l'Ifo Hans-Werner Sinn dans un communiqué.
NOUVEAU RÉALISME?
Selon lui, "l'avenir est jugé avec plus de pessimisme par les entreprises. L'économie allemande subit la hausse des incertitudes qui pèsent sur la zone euro".
"Nouveau réalisme?", a commenté l'économiste d'ING Carsten Brzeski, notant que l'évaluation de leur situation actuelle par les entrepreneurs aussi bien que celle de leur situation future avaient nettement baissé.
L'Ifo est en effet composé de l'agrégation de deux chiffres: le sentiment actuel des entrepreneurs et celui de leurs attentes pour les six mois à venir. Le premier est passé de 117,5 points en avril à 113,3 points en mai; le second de 102,7 points en avril à 100,9 points en mai.
Environ 7000 entrepreneurs prennent part chaque mois à cette enquête, dans les domaines de l'industrie, de la construction, du commerce de gros et détail.
http://www.romandie.com/news/n/Allemagn … 121201.asp
jean luc
Volkswagen augmente les salaires de 4,3% en Allemagne
La tendance est clairement à l'augmentation des salaires cette année en Allemagne: outre la métallurgie, ils vont aussi grimper nettement dans la chimie. Des négociations sont aussi en cours depuis plusieurs semaines dans le secteur bancaire.
Le géant allemand de l'automobile Volkswagen et le syndicat IG Metall ont conclu un accord qui verra les salaires de 102 000 salariés allemands du groupe grimper de 4,3% au 1er juin.
La direction du groupe et le syndicat négociaient depuis le début du mois. L'accord trouvé se calque sur celui négocié dans le secteur de la métallurgie, qui englobe aussi les principaux concurrents allemands de Volkswagen.
Comme l'accord de branche, qui vaut pour 3,4 millions de salariés en Allemagne, celui du constructeur a une durée de 13 mois. Pour Volkswagen, il prévoit aussi sur cette période l'embauche de jusqu'à 3000 intérimaires.
Seuls les salariés allemands concernés. Le groupe emploie plus de 500 000 salariés dans le monde. L'accord trouvé cette semaine ne concerne que ceux de ses six sites de production en Allemagne de l'ouest, ainsi que les 5000 salariés de sa banque VW-Bank.
lire la suite
jean luc
USA, France, Allemagne : des taux au plus bas
Jamais les écarts de taux entre pays développés nont été aussi élevés.
Pour emprunter à 10 ans, les États-Unis paient des taux dintérêt de 1,58 %, la Grande-Bretagne 1,56 %, lAllemagne 1,22 % et la France 2,34 %. À linverse, lEspagne et lItalie doivent verser respectivement 6,50 % et 5,88 %. Jamais les écarts de taux entre pays développés nont été aussi élevés et ce pour le plus grand profit de ceux affichant les rendements les plus bas qui, malgré leurs déficits et leur dette colossale, empruntent à des taux historiquement faibles. Ce déséquilibre tend même à saccroître à mesure que la crise de la zone euro saggrave. La France, malgré une période électorale marquée par un changement de gouvernement, a par exemple vu ses taux baisser de 65 points de base en six semaines. Quant à lAllemagne, elle soffre désormais le luxe dafficher des taux négatifs pour ses emprunts Schatz à deux ans. Dans la mesure où les rendements évoluent à linverse des prix, cette faiblesse des taux signifie que jamais le prix des obligations na été aussi élevé. Autrement dit, la demande est plus forte que jamais.lire le reste de l'article
jean luc
En Allemagne, les eurosceptiques s'organisent
Ils ne devraient être que quelques centaines. Un millier tout au plus, selon les organisateurs. L'événement n'en est pas moins symbolique. Samedi 2 juin, l'Allemagne connaîtra, à Munich, sa première manifestation contre le Mécanisme européen de stabilité. L'association Coalition civile qui l'organise ne s'arrêtera pas là. Un autre défilé est prévu à Berlin, devant le Bundestag, le 8 juin, et un troisième à Karlsruhe, où siège la Cour constitutionnelle, le 16.
Même modestes, ces manifestations sont révélatrices des débats qui agitent la société allemande. Certes, au Parlement, la majorité finira probablement par trouver un accord avec les deux principaux partis d'opposition, les sociaux-démocrates et les Verts, pour approuver le traité budgétaire et le Mécanisme européen de stabilité. Si, par hasard, l'accord échouait, ce serait parce que l'opposition réclame plus d'Europe, plus de solidarité, plus d'initiatives favorisant la croissance.lire le reste
commentaire
Théodor Sarazin est un cas ,il est contre les étranger, pire que marine lepen. Il critique leuro , mais quand il étais à la direction de la bundesbank ,il n'a jamais fait opposition à leuro ,ni a l'entrée de la Gréce dans la zone euros ,il était membre du directoire de la bundesbank à ce moment là .
jean luc
L'économie allemande perd son élan
La production de l'industrie allemande a reculé de 2,2% sur un mois en avril, selon un chiffre publié mercredi par le ministère de l'Economie, dernier en date d'une série d'indicateurs qui mettent à mal l'image d'une Allemagne résistant envers et contre tout à la crise.
Les analystes interrogés par l'agence Dow Jones Newswires tablaient sur une baisse moindre (1%) du chiffre de la production industrielle, provisoire et corrigé des variations saisonnières. Le ministère explique que le chiffre d'avril renvoie pour beaucoup à "un retour de bâton" après un mois de mars faste. Mais le chiffre définitif de mars (+2,2%) est aussi ressorti inférieur à la première estimation communiquée il y a un mois (+2,8%).
Autre facteur explicatif de la contre-performance d'avril, le jour de "pont" avant le 1er mai, tombé cette année un mardi. "La production dans l'industrie se montre toujours très robuste", se console le ministère, qui fait valoir que sur deux mois, mars-avril par rapport à janvier-février, l'indicateur est en hausse de 0,8%. Dans le BTP notamment, l'activité était en avril à un meilleur niveau que sur le premier trimestre, précise-t-il.
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jean luc
L'Allemagne prête à agir pour la stabilité de la zone euro
L'Allemagne est prête à utiliser tous les outils existants pour lutter contre la crise de la dette de la zone euro, a déclaré jeudi la chancelière Angela Merkel, alors que se précise l'hypothèse d'une demande d'aide de la part de l'Espagne pour renflouer ses banques.
"Il est important de souligner à nouveau que nous avons créé des mécanismes de soutien dans la zone euro et que l'Allemagne est prête à les utiliser dès que cela s'avère nécessaire", a dit Angela Merkel à Berlin lors d'une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre britannique David Cameron.
Angela Merkel se référait au Fonds européen de stabilité financière (FESF), le fonds de secours de l'union monétaire, qui gère 440 milliards d'euros, et au Mécanisme européen de stabilité (MES) qui doit lui succéder en juillet.
"Il s'agit d'une expression claire et nette de notre volonté politique de maintenir la stabilité de la zone euro, afin que cette dernière puisse apporter sa contribution à la croissance économique mondiale", a-t-elle ajouté.
De son côté, David Cameron a estimé qu'il était nécessaire d'agir rapidement dans un contexte d'incertitudes de marchés provoquées par la crise.
Selon un rapport du Fonds monétaire international, qui doit être publié lundi, les banques espagnoles ont besoin d'une injection de capital d'au moins 40 milliards d'euros.
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jean luc
L'Allemagne ne doit pas oublier sa dette envers l'Europe
L'essayiste et ex-banquier de la Bundesbank Thilo Sarrazin peut dénoncer à sa guise le bien-fondé de l'euro, les tragédies de l'histoire allemande obligent Berlin à rester solidaire des Etats membres tombés dans la tourmente. Un éditorialiste viennois en fait la démonstration.
Cette fois-ci, Thilo Sarrazin ne cherchait pas vraiment à provoquer. En déclarant que "l'Europe n'a pas besoin de l'euro" [titre de son dernier livre, paru le 22 mai aux éditions DVA], il ne faisait que répéter une critique déjà formulée - en mieux - par de nombreux économistes. La polémique était toutefois inévitable. Celle-ci s'attache à un court passage dans lequel le social-démocrate de droite et ancien membre de la Bundesbank s'en prend aux représentants écologistes et de la gauche, favorables aux emprunts d'Etat communs.
Il s'agirait là "d'un réflexe très allemand, lié à notre éternelle pénitence pour la deuxième guerre mondiale et l'Holocauste qui ne prendra fin que lorsque nous aurons remis tous nos intérêts, y compris notre argent, dans les mains de l'Europe". "Notre dette historique ne doit pas se transformer en montagne de dettes financières", ajoute-t-il dans un entretien. Une vague de mépris et de haine affichée s'abat sur Thilo Sarrazin. Il conviendrait de ne pas laisser s'exprimer publiquement ce provocateur qui ne délivre que des "idioties nationalistes". Pour le secrétaire général du Parti libéral, Patrick Döring (FDP), "Sarrazin fait un lien absurde entre la responsabilité historique de l'Allemagne et le débat actuel sur la politique monétaire". lire le reste de l'article
jean luc
Allemagne: excédent commercial accru, exports en baisse.
L'excédent commercial allemand s'est accru en avril, mais les économistes s'inquiètent du reflux des exportations du pays, qui vient confirmer le scénario d'un ralentissement de l'économie mondiale.
Selon le Bureau fédéral de la statistique, l'excédent commercial ajusté des variations saisonnières (CVS) s'est établi à 16,1 milliards d'euros au mois d'avril, contre 14 milliards en mars.
Les exportations ont diminué de 1,7% d'un mois sur l'autre et les importations de 4,8%, essentiellement sous l'effet du reflux des prix du pétrole.
'Cela montre quand même que l'Allemagne n'est pas immunisée contre un ralentissement du commerce mondial et la demande en berne dans la zone euro', commente-t-on chez Natixis.
'Avec des exports à destination de la zone euro en repli de 3,6% et des exportations vers l'Asie en baisse de 10,3%, les indicateurs sont en ligne avec notre scénario d'un ralentissement de la croissance au deuxième trimestre', conclut l'équipe de recherche de la banque française.
http://bourse.lefigaro.fr/indices-actio … sse-221544
jean luc
le "sauvetage" de l'Espagne doit être assorti de "larges" conditions
Le "sauvetage" de l'Espagne devrait être assorti de "larges" conditions qui toucheront d'autres secteurs que celui des banques, a affirmé le président de la banque centrale allemande, assurant que Madrid "n'espérait plus de soutien financier sans conditions".
Les conditions du prêt de la zone euro aux banques espagnoles, pouvant aller jusqu'à 100 milliards d'euros, a déclenché une vive polémique dans le pays, l'opposition redoutant de nouvelles mesures d'austérité imposées à la population, alors que le gouvernement assure que seul le secteur financier sera concerné.
"Je salue le fait que le gouvernement espagnol n'espère plus de soutien financier sans conditions. Les conditions devraient être un élément-clef de toute aide financière" a affirmé Jens Weidmann, qui préside la Bundesbank, dans un entretien publié vendredi par le journal espagnol El Pais.
"Parce que les différents secteurs économiques sont liés entre eux, je pense que les conditions devraient être larges", a-t-il affirmé.
Pour lui, la solution passe par "des réformes et des solutions dans plusieurs secteurs". Il prône en particulier "la transparence et le contrôle de l'exécution du budget des régions" et une réforme du marché du travail.
Selon M. Weidmann, l'idée que ce sauvetage serait assorti de conditions imposées au seul secteur financier "affecte déjà les engagements pris dans le cadre des programmes existants" en Europe.
En effet "une discussion émerge sur l'allègement des conditions" (d'aide), tant en Irlande qu'au Portugal et en Grèce, note-t-il.
"Mais traîner les pieds pour faire face aux problèmes structurels ne fera que prolonger la crise, et la réaction des marchés reflète cette inquiétude", a-t-il ajouté, alors que les taux d'emprunt espagnols et italiens flambent sur le marché de la dette.source
jean luc
L'Arabie saoudite pourrait acheter pour 10 milliards d'euros de chars d'assaut allemands.
L'Arabie saoudite veut acheter entre 600 et 800 chars d'assaut Leopard à l'Allemagne, doublant la commande initialement envisagée, a affirmé le journal dominical Bild am Sonntag, citant des sources gouvernementales.
Il était jusqu'à présent question d'un achat d'environ 300 chars Leopard 2, le principal char d'assaut allemand, également produit sous licence en Espagne.
Avec 800 chars, le commande s'élèverait à 10 milliards d'euros (12,6 milliards de dollars) et représenterait le plus gros contrat jamais signé par l'industrie militaire allemande, d'après Bild am Sonntag.
Il existe des opposants au contrat au sein des services de la chancelière Angela Merkel et des ministères des Affaires étrangères et de la Défense, mais il est soutenu au sein du ministère de l'Economie, rapporte le journal.
La première tranche du contrat, comprenant 300 chars, est prête à être signée. Les Saoudiens veulent que l'ensemble du contrat soit bouclé d'ici au 20 juillet, date du début des festivités du Ramadan, conclut le dominical.
http://fr.news.yahoo.com/larabie-saoudi … nance.html
jean luc
Jusqu'à quand l'Europe tolérera-t-elle la quasi guerre économique que lui mène l'Allemagne ?
L'Allemagne a pratiqué depuis la création de l'euro une politique de déflation salariale dans les emplois manufacturiers ce qui la conduit à une politique export agressive à l'égard de ses partenaires de la zone euro qui ne pouvaient plus dévaluer et qui s'ils avaient suivi cette politique déflationniste aurait immédiatement plongés l'Europe en récession .
LAllemagne a presque doublé son PIB à lexport, en 10 ans, depuis son appartenance à la zone euro. Elle fait désormais 50% de son PIB à lexport, 85% de ses excédents commerciaux en Europe, plus de 60% dans la zone euro.
Elle est parvenue à ce niveau dexportation en mettant ses salaires sous la productivité dans lindustrie au cours des années socialistes, de 2000 en 2005, en diminuant donc son marché intérieur. Elle a pratiqué une politique de déflation salariale dans les emplois manufacturiers, ce qui la conduit à une politique mercantiliste plus particulièrement par rapport à ses partenaires de la zone euro qui ne pouvaient plus dévaluer. Cependant, si la zone euro avait suivi cette politique déflationniste, elle serait immédiatement rentrée en récession ; lAllemagne naurait pu gagner aucune part de marché à lextérieur tout en perdant son marché intérieur, elle serait également rentrée en récession. Les gains de la politique allemande nont été profitables à ce pays quen tant que passager clandestin du train européen et plus particulièrement en tant que passager clandestin du wagon de la zone euro.
Certes les salaires augmentaient nettement au-delà de la productivité en Espagne ou en Grèce ou même en France mais comme un peu partout, moins en France quen Grande Bretagne. lire le reste
quoique l'Allemagne fasse ,ce seras jamais bien ,
jean luc
Investissements étrangers: la France cède à l'Allemagne sa 2e place en Europe.
La France a cédé à l'Allemagne en 2011 la deuxième place qu'elle occupait depuis dix ans en Europe en nombre d'implantations internationales, selon un baromètre du cabinet d'audit Ernst and Young sur l'attractivité de l'Hexagone.
Les implantations internationales ont reculé de 4% en France l'an dernier, à 540 contre 597 en Allemagne (+7%). Le Royaume-Uni, malgré une baisse de 7%, reste largement en tête avec 679 projets.
"Incontestablement, 2011 n'est pas un excellent cru pour la France et son attractivité internationale: l'Allemagne lui ravit la deuxième place du podium européen, recueillant ainsi les fruits d'une stratégie obstinée de compétitivité assortie d'une politique d'image efficace", commentent les auteurs de l'étude.
Sur le continent au sens large (incluant notamment la Russie et la Turquie) la progression se poursuit (+4%, à 3.906).
Mais, "note surprenante", la France s'arroge la première place du palmarès des implantations industrielles (170 projets manufacturiers en 2011, pour 7.800 emplois nouveaux, contre 121 en Allemagne et 92 au Royaume-Uni), précise Ernst and Young.
"Nouveau souffle ou souffle court?", s'interrogent dans un éditorial le président d'Ernst and Young France, Jean-Pierre Letartre, et l'associé Marc Lhermitte.lire la suite
jean luc
La crise contamine le moral des investisseurs allemands .
Intouchable, la forteresse allemande ? Rien n'est désormais moins sûr. Le moral des investisseurs allemands accuse en effet le coup de la résurgence de la crise de la dette en zone euro ces dernières semaines. Selon les résultats du baromètre mis en place par le centre de recherche ZEW, le moral des investisseurs a plongé en juin, à -16,9 points, contre 10,8 points en mai.
Il s'agit de la plus forte chute sur un mois de cet indicateur depuis octobre 1998, précise dans un communiqué l'institut - le Zentrum fûr Europaïsche Wirtshaftsforschung -, qui compile le baromètre à partir de sondages réalisés chaque mois auprès d'acteurs des marchés financiers. Cet indicateur reflète les attentes de ces investisseurs à l'égard de la conjoncture allemande.
L'ALLEMAGNE DE MOINS EN MOINS IMMUNISÉE
Les analystes interrogés par Dow Jones Newswires tablaient certes sur une baisse, mais nettement moins forte, et un ZEW à + 2,8 points. Le ZEW incrimine "l'aggravation de la situation des banques espagnoles" et les inquiétudes liées au scrutin législatif en Grèce - la plupart des entretiens ont été réalisés avant les élections du 17 juin. "On ne peut pas ignorer les risques d'un ralentissement marqué de la conjoncture chez certains partenaires commerciaux importants", a commenté le président du ZEW, Wolfgang Franz.lire le reste de l'article
jean luc
France-Allemagne : un salaire de base au diapason en 2011
Une amélioration apparente. Le salaire mensuel brut de base a progressé en 2011 de 2,2 % en France et de 2,1 % en Allemagne, plus vite qu'en 2010 (+ 1,8 %). Mais, selon l'étude de l'Insee, qui communique ces chiffres lundi 25 juin, il baisse en réalité dans les deux pays, si l'on tient compte de la hausse des prix générale.
Du fait de l'augmentation des prix, le salaire de base a diminué de 0,1 % en France et de 0,4 % en Allemagne après respectivement + 0,1 % et + 0,6 % pour les deux voisins européens en 2010. En France, l'accélération de la hausse entre 2010 et 2011 est "principalement due au regain d'inflation depuis le quatrième trimestre 2010 qui oriente les salaires nominaux à la hausse".
Précision, les indices présentés reflètent le salaire mensuel brut de base de l'ensemble du secteur marchand hors agriculture. Ce salaire n'intègre pas les primes dans les deux pays, et pour la France, il exclut également la rémunération des heures supplémentaires. En Allemagne, le montant des primes a été limité en 2011, après avoir été important en 2010.lire le reste de l'article
jean luc
Angela Merkel accepte de mutualiser la dette... en Allemagne
Pourquoi la chancelière allemande refuse-t-elle aussi catégoriquement la création des euro-obligations alors quelle vient daccepter le principe des Deutschland-bonds ? Peut-être parce que le contexte est différent...
La chancelière allemande Angela Merkel semble avoir offert aux Länder (États-régions) ce quelle refuse obstinément de concéder au reste de la zone euro. Elle a ainsi accepté, le 24 juin, que les régions allemandes émettent des obligations communes avec lÉtat fédéral afin de lever des fonds sur les marchés financiers à partir de 2013. Les Länder les plus endettés - comme le Schleswig-Holstein ou la Hesse - profiteront donc de la crédibilité financière de lAllemagne pour bénéficier des taux les plus bas possibles.
Un mécanisme qui rappelle étrangement celui des euro-obligations qui ont reçu veto sur veto de la part dAngela Merkel. La chancelière a même assuré, le 26 juin devant des députés allemands du FDP (parti libéral), quil ny aurait pas deuro-obligations tant quelle vivrait.
Ce grand écart de la chancelière allemande - entre coup de gueule européen et feu vert au niveau national - peut étonner à la veille d'un sommet européen crucial où certains argueront que les euro-obligations pourraient sauver la zone euro. Le quotidien français "Le Monde" assure même quAngela Merkel a accordé discrètement ces Deutschland-bonds aux Länder pour ne pas s'attirer les critiques des autres membres de l'Union européenne. Mais cette concession de la chancelière pour sassurer le soutien de lopposition sur le dossier de la réforme fiscale allemande na en fait pas été si discrète que ça. Toute la presse allemande sen est fait lécho depuis ce week-end sur le thème dabord en Allemagne puis en Europe ?, comme le résume le quotidien "Die Welt".lire le reste de l'article
jean luc
le marché du travail a perdu en dynamisme en juin
Le marché du travail allemand a "donné des signes d'une évolution plus faible" en juin, a annoncé jeudi l'Agence fédérale pour l'emploi en annonçant des chiffres contrastés.
Le taux de chômage brut, qui décline depuis des mois en Allemagne, a atteint 6,6% en juin contre 6,7% en mai, selon un communiqué.
En données corrigées des variations saisonnières, plus suivies des économistes, le nombre de sans-emploi a au contraire grimpé de 7.000 sur un mois.
Par ailleurs, cette fois en données brutes, "dans trois Etats régionaux le nombre de chômeurs dépasse désormais celui de juin 2011", selon l'Agence.
Sur l'ensemble du territoire, le nombre de chômeurs en juin 2012 reste bien inférieur à celui de juin 2011 (-84.000) "mais cet écart fond de mois en mois", a-t-elle reconnu.
Elle note aussi que "la demande de main d'oeuvre a diminué".
"Avec un niveau d'emploi et d'heures travaillées proche des records, le marché du travail devrait rester un, si ce n'est +le+ principal moteur de la demande intérieure allemande. Mais cet impact positif devrait s'affaiblir d'ici la fin de l'année", relève Carsten Brzeski, économiste chez ING.
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jean luc
Guéguerre entre économistes sur le sauvetage de l'euro
L'affaire a débuté jeudi avec la publication d'une lettre adressée à «nos chers concitoyens» par 160 économistes...
Le sauvetage de l'euro et en particulier le projet d'une union bancaire suscitaient vendredi une querelle entre économistes en Allemagne, via des manifestes et contre-manifestes publiés dans la presse.
L'affaire a débuté jeudi avec la publication sur l'internet par le quotidien de centre droit "Frankfurter Allgemeine Zeitung" (FAZ) d'une lettre adressée à "nos chers concitoyens" par 160 économistes, en tête desquels Hans-Werner Sinn, patron du prestigieux institut Ifo et coutumier des sorties fracassantes sur les dangers des plans de sauvetage en zone euro.
Leur "grande préoccupation" porte en particulier sur le projet d'union bancaire lancé lors du dernier sommet européen, qu'ils craignent de voir déboucher sur "une garantie commune pour les créances des banques de la zone euro", profitant aux grandes places financières mondiales au détriment du contribuable allemand.
"Les banques doivent pouvoir faire faillite", estiment ces économistes.
"C'est révoltant. Cela ne correspond pas à la responsabilité du milieu scientifique", s'est emporté vendredi le ministre allemand des Finances et européen convaincu Wolfgang Schäuble, dans une interview à la radio berlinoise RBB Inforadio, estimant que ces universitaires avaient outrepassé leur rôle.
Il a appelé à "ne pas sur-estimer ce chiffre (de 160)", ajoutant: "Il y a tellement d'universitaires de nos jours".lire le reste de l'article
jean luc
5 Experts économiques allemands évoquent le risque d'une crise systémique menacant l'euro et l'économie de l'Allemagne .
Ses cinq membres, choisis parmi les économistes les plus réputés dAllemagne, sont proposés à la nomination par le Gouvernement fédéral. Ils sont officiellement nommés par le président de la République Fédérale dAllemagne.
Actuellement, les 5 économistes membres du Conseil sont (en allant de gauche à droite sur la photo):
1)- Wolfgang Franz : ancien professeur dans les Universités de Mayence, Stuttgart et Constance, ancien président du Centre de recherche économique européenne (ZEW) de Mannheim et professeur déconomie à lUniversité de Mannheim.
2)- Lars P. Feld : ancien professeur à lUniversité de Heidelberg et au Centre pour la Recherche économique européenne de Mannheim, il est décrit comme un farouche opposant de la dette publique et aux politiques budgétaires expansionnistes. Il estime également quil devrait y avoir un « droit de linsolvabilité » et a beaucoup étudié les liens entre économie et démocratie. Il juge que les citoyens devraient être interrogés par référendum national sur les questions importantes, telles que lavenir de leuro.
3)- Peter Bofinger : ancien professeur dans les Universités de Kaiserslautern, de Constance et de Würzburg, il est réputé pour être le seul économiste keynésien de lactuel Conseil.
4)- Christoph M. Schmidt : président de lInstitut rhénan-westphalien pour la recherche économique, ancien professeur déconométrie à lUniversité de Heidelberg, puis à lUniversité Ruhr de Bochum, il poursuit des recherches en économétrie appliquée, sur le travail et sur les questions démographiques.
5)- Claudia-Maria Buch : professeur déconomie à luniversité de Tübingen, ancienne directrice de lInstitut de recherche de Kiel sur les marchés financiers, et professeur de recherche du Centre de recherche économique européenne à Mannheim.lire le reste de l'article
Allemagne: troisième baisse de suite pour l'indice ZEW.
L'indice ZEW du sentiment économique en Allemagne baisse de 2,7 points à -19,6 ce mois-ci, marquant ainsi son troisième mois de repli consécutif. Il s'enfonce donc sous sa moyenne historique de +24.
'Outre une faible demande du reste de la zone euro pour les exportations allemandes, l'Allemagne est aussi affectée par le ralentissement d'autres partenaires commerciaux importants', explique le ZEW.
L'indice sur la situation actuelle en Allemagne a reculé de 12,1 points à +21,1. Concernant la zone euro, l'indice des perspectives économiques a diminué de 2,2 points à -22,3, et celui de la situation actuelle est resté pratiquement inchangé (+0,3 point) à -72,9.
http://bourse.lefigaro.fr/indices-actio … zew-246100
jean luc
Allemagne : Neckermann dépose le bilan
La société allemande de vente par correspondance Neckermann, qui emploie 2 500 personnes, a annoncé avoir déposé son bilan mercredi 18 juillet devant le tribunal d'instance de Francfort.
En mauvaise posture depuis des années, Neckermann était engagé depuis fin avril date à laquelle il avait annoncé près de 1 400 suppressions d'emploi dans des négociations avec les représentants de son personnel et le syndicat Verdi afin de permettre la survie de la société.
"Mercredi, nous sommes arrivés à un accord", a précisé Neckermann. Etait ainsi prévu d'abandonner la filiale textile et de fermer la centrale de Francfort contre un plan social, des indemnisations limitées et un plan de reconversion.lire le reste
jean luc
L'économie soumise à de lourdes incertitudes-Buba
FRANCFORT, 23 juillet (Reuters) - Une grande incertitude plane au dessus des perspectives économiques de l'Allemagne, relève lundi la Bundesbank dans son rapport mensuel, disant s'attendre à ce que la locomotive de la zone euro ait enregistré une croissance modérée au deuxième trimestre.
La première économie européenne est pour l'instant restée relativement épargnée par la crise qui sévit sur le Vieux Continent, permettant au bloc monétaire d'éviter de tomber en récession, mais les dernières statistiques ont brossé un tableau mitigé de l'évolution de la conjoncture.
"La perspective d'une poursuite de l'expansion économique est marquée d'une grande incertitude", estime la banque centrale allemande dans son rapport mensuel, ajoutant que les entreprises ont revu à la baisse leurs anticipations d'activité en juin en dépit d'une hausse des prises de commandes en avril et en mai.
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jean luc
Allemagne: baromètre Ifo du climat des affaires en recul (103,3 pts en juillet)
Francfort (awp/afp) - Le baromètre Ifo du climat des affaires en Allemagne a enregistré un nouveau recul en juillet, signe que la crise en zone euro continue d'affecter le moral des entrepreneurs du pays.
L'Ifo s'établit à 103,3 points en juillet contre 105,2 points en juin, a annoncé mercredi l'institut éponyme qui le réalise.
Il s'agit de son troisième recul consécutif et de son plus bas niveau depuis mi-2010.
Le consensus d'analystes réuni par l'agence Dow Jones Newswires s'attendait à un recul moins prononcé de cet indice de confiance, à 104,5 points.
Le baromètre Ifo est issu de l'agrégation de deux chiffres: le sentiment des entrepreneurs pour la situation actuelle, qui s'est dégradé en juillet (111,6 contre 113,9 points en juin) après une légère amélioration le mois dernier; et les attentes des entrepreneurs pour les six mois à venir, qui ont continué à se détériorer, passant de 97,2 points en juin à 95,6 points en juillet.
Ces chiffres cachent toutefois des disparités selon les secteurs. Ainsi, le moral des responsables dans le secteur du commerce de détail s'est amélioré tandis que celui dans l'industrie manufacturière, le bâtiment ou le commerce de gros s'est dégradé
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jean luc
Outre-Rhin, les responsables politiques sont de plus en plus Pour l'Allemagne, la Grèce est devenue un obstacle à la résolution de la crise de l'euro nombreux à critiquer l'incapacité de la Grèce à appliquer les réformes en échange de l'aide financière. Parmi les plus virulents, le Vice-chancelier lui-même envisage une sortie du pays de l'euro. Paradoxalement, c'est ce scénario de "Grexit" qui justifie la décision de l'agence Moody's de mettre sous perspective négative le triple A de l'Allemagne.
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En dépit d'un été morne, la température continue à monter dans le débat public sur le sauvetage de l'euro outre-Rhin. Après les auditions des plaignants contre le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) à la cour constitutionnelle de Karlsruhe, le vote du même MES, du paquet fiscal puis du sauvetage des banques espagnoles par le Bundestag, c'est cette fois le sauvetage de la Grèce qui soulève la polémique. lire le reste
jean luc
Le malheur des uns
Selon le journal allemand Bild, l'Allemagne fait des économies grâce à la crise de l'euro, et non l'inverse. Le quotidien à grand tirage, connu pour ses attaques contre la Grèce et ses prises de position eurosceptiques, explique mercredi 1er août que "notamment l'Etat et les consommateurs bénéficient de taux d'intérêt bas", voire négatifs.
De fait, le pays est devenu une valeur refuge pour les investisseurs, qui fuient en revanche d'autres pays comme la Grèce, l'Espagne ou l'Italie. "Sur les trente derniers mois, l'Allemagne a économisé plus de 60 milliards d'euros dans le refinancement de sa dette", détaille le quotidien, citant un analyste. "En ajoutant à cela l'augmentation des entrées d'impôt et la baisse des dépenses sociales, les économies atteignent 70 à 100 milliards d'euros."
Bild souligne que le secteur du bâtiment profite aussi des faibles taux d'intérêt, tout comme les consommateurs qui souscrivent des crédits, et les banques qui peuvent se refinancer à bas coût auprès de la Banque centrale européenne (BCE). Enfin, les exportateurs allemands bénéficient du faible cours de l'euro, qui améliore leur compétitivité.http://www.francetvinfo.fr/l-allemagne-fait-des-economies-grace-a-la-crise-de-l-euro_125311.html#xtor=RSS-3-[monde]
jean luc
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