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Rions un peu…

Dernière activité 14 Avril 2024 par aniroksana10

Nouvelle discussion

Moetai

Hum !
Sur la même  page ,quasiment la même histoire ,fallait oser !

amiroro

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amiroro

...

laviniavirginia

///  (...)

laviniavirginia

///  (...)

Moetai

^***^

mars60

(。◕‿◕。)

lascaux2462

Comme dit l'adage  "2 sans 3"
Papy invite ses enfants au Portugal pour les fêtes:

C’est l’histoire d’un très, très ... vieux couple, marié depuis 81 ans. Ils vivent paisiblement dans un coin paumé du Portugal. L’homme appelle son fils qui vit à Dunkerque et lui dit :
- Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et moi, on a enfin décidé de divorcer, 81 années comme ça c’est assez !.


- Mais qu’est-ce que tu racontes papaaaaaaa !
-Ecoute , depuis le jour de notre mariage ta mère et moi  nous sommes en désaccord total  à tout niveau. Dès le départ on avez bien pensé à la séparation, mais avec ta naissance et celle de ta soeur  on l'a toujours reportée. On s'était dit qu'on attendrait que vous ne soyez plus de ce monde pour divorcer.  Aujourd'hui nous sommes maintenant centenaires.... Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, si on veut refaire sa vie ...........et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout, alors appelle ta soeur et annonce lui la nouvelle ! Et le vieil homme raccroche.

Le fils appelle sa sœur qui explose au téléphone :
- Ce n’est pas possible qu’ils divorcent comme ça, je vais m’occuper de ça !
Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone :
- Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu’à ce que j’arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons au Portugal pour les fêtes ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M’AS COMPRISE ? Et elle raccroche.
Le vieil homme raccroche lui aussi et se tourne en souriant vers sa femme:
- C’est OK, ils seront là  pour Noel et ce sont eux qui payent leur voyage!!!  ;)

mars60

Tout va bien Moetai... #2681 / #2688  ⊙﹏⊙

:lol:

Moetai

Ce dirigisme des enfants de notre époque est bien excessif  :D
encore un peu et ils vont nous forcer à  nous vacciner  :cheers:

amiroro

Les amis, j'en ai une autre ... Surtout pour Moetai ...  :par:

Ça commence comme ça :

Il s'agit d'un très vieux couple ...

Toutes mes amitiés  :cheers:

roro

mars60

https://www.blagues-en-stock.org/_media/img/large/couples4-2.jpg

mars60

Pour les retardataires...  :lol:

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breton974

super

mars60

https://scontent.flis8-1.fna.fbcdn.net/v/t39.30808-6/s640x640/269000330_1736457283215154_4327846091227728965_n.jpg?_nc_cat=1&ccb=1-5&_nc_sid=730e14&_nc_eui2=AeHFMM9Z4jkkaFeWw6QKNPUcvgVqEhnuSY--BWoSGe5Jj5qn633DtI7o5dNEqr3Ar2E&_nc_ohc=F4sV4gIYqw0AX_hGGRC&_nc_ht=scontent.flis8-1.fna&oh=00_AT-ci3ZvR1ShtdOFtLUBHIGCyNLzZAZlTDsBdfnL5luZjg&oe=61C5DF0E

mars60

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra … NewsSearch

:/:unsure:joking::sick

77-Rodolphe

Bonne année à tous

La nouvelle édition du Petit Robert est arrivée !

Facebook : Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.

Oui- Oui : Fils illégitime de Sissi.> >

GPS : Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.

Autobus : Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.

Taser : Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.

Sudoku : Qui a le nord en face.

Porte-clefs : Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.

Etat : Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.

Cravate : Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.

"Oui chérie" : Gain de temps.

Où est donc mon Ricard : Conjonction de coordination.

Pruneau : Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait chier.

Aides internationales : Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.

Pharmacie : Confiserie pour personnes âgées

Jardiland : Seul endroit ou si tu prends trois râteaux tu as une pelle offerte.

Blonde : Concept pour faire croire que les autres femmes sont intelligentes.

Un meurtre de sang froid : Un ice crime.

Archipel : Outil pour creuser des archi trous
 
Cellulite : Couche graisseuse qui enveloppe souvent les femmes mais emballe rarement les hommes.

Les ciseaux à bois : Les chiens aussi.

Femme : C'est comme le café, au début ça excite mais rapidement ça énerve

Carte bleue : Viagra féminin.

Masochisme : Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer

L'amour : C'est comme un jeu de cartes, si tu n'as pas un bon partenaire, il vaut mieux avoir une bonne main.

Le Gospel : C'est quand ton gamin a pris un coup de soleil.

Homme riche : Celui qui gagne plus d'argent que ce que sa femme n'en dépense

Grand amour : Expression datant du 15ème siècle,   lorsque l'espérance de vie était de 35 ans.

Gérard 64

Un homme marié qui va à confesse
- Mon père, » dit-il, je m’accuse d'avoir PRESQUE trompé ma femme !
- Qu’entends-tu par PRESQUE ?
- Hé bien voilà : Avec une copine, on s'est déshabillés et on s'est frottés l'un contre l'autre. C'est tout. 
- Espèce de cochon ! Te frotter, c'est exactement comme si tu l'avais mise ! Tu me feras un chapelet complet et tu mettras 50 € dans le tronc des pauvres. Le gars s'en va dire son chapelet puis il se dirige vers le tronc des pauvres et s'apprête à sortir de l'église...
Le curé l'appelle. 
- Dis-donc, tu n'as pas mis tes 50 € dans le tronc !!! 
- Non, mon père ! J'ai juste frotté le billet sur le tronc. Vous m'avez dit que frotter c'était pareil que de le mettre !!

danielregis999

une femme sort de la maternité d'où elle vient d'accoucher avec son bébé dans les bras elle le contemple amoureusement et lui dit : et dire qu'il y a 9 mois j'ai failli t'avaler !

Gérard 64

La différence entre les besoins sexuels d'un homme et les désirs d'une femme m'a toujours sidéré.
Au lit, l'autre soir avec ma femme, la température montait rapidement.
Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m'arrêta et me dit:
"Non, mon amour, je ne me sens pas bien..."
Puis elle ajouta:
"Je n'ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras.Tu n'es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j'aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d'homme !"
A mon regard ébahi, elle enchaina:
"Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je te fais au lit."
Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n'insistai pas et je me rendormis.
Quelques temps après, comme j'avais des congés a récupérer, je décidai de passer une belle journée avec elle. Après un déjeuner dans un petit restaurant sympa, je l'emmenai dans un grand magasin de mode ou je l'invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé.Pendant un long moment elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star.
Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention.
Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu'elle prendrait bien les deux.
A l'étage suivant se trouvait le rayon chaussures.
*Une paire neuve par robe semblait indispensable.
*Une jolie paire de boucles d'oreilles lui faisait de l' œil, hop, dans le panier!
Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus!!!
Je la connais, je voyais monter en elle une forme d'excitation indescriptible. Elle voulut me tester, voir jusqu'où j'irais, car elle s'intéressa *aux bracelets de style tennis...
Je répondis oui.
Puis il y eut quelques* paires de bas, *de la lingerie,* un foulard,* les rayons parfum et* maquillage et quelques bricoles.
Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne et dit:
"ça va être cher tout ça, on passe à la caisse quand ?"
Je répondis: "Non, mon amour, on ne passe pas à la caisse, je ne me sens pas bien..."
Son visage devint béat d'étonnement et sa bouche resta ouverte.
Je dis alors:
"Je n'ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi.Tu n'es pas assez en phase avec mes capacités financières d'homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d'achats de femme."
Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j'ajoutai:
"Je voudrais que tu m'aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t'achète !"
A défaut d'orgasme, putain, que ça fait du bien !......
Signé: Marcel
PS: Le corps de Marcel sera exposé samedi prochain au Funérarium.....😂😂😂😂

danielregis999

C'est un type qui rejoint sa petite amie au bistrot.
Très vite elle s'aperçoit que quelque chose ne va pas et elle insiste pour savoir quoi.
Le type ne répond pas, elle insiste.
Enfin
, au bout d'un moment, il lui dit :
Ma Chérie, j'ai peur que ma famille ne t'acceptes pas.
La fille furieuse : 
Ta famille, ta famille d'abord s'est qui ceux la ? Il répond :
Ma femme et mes deux filles..............

mars60

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mars60

https://i.goopics.net/f3nddi.png

laviniavirginia

@mars60

  "C'est parce-que tu as trop de montres... alors elles sont le témoin de ton temps qui s'écoule et puisque ta présence les emmerde, c'est toi qui en as les symptômes"     😁😉

Gérard 64

😂Il y a déjà quelques années, c'était en mars 1997, un homme entra dans un  Hôtel a Paris "Hôtel quatre étoiles" et demanda à voir le patron.

Le patron se présenta : - Bonjour monsieur que puis-je pour votre service ?
Le client : - la chambre 39 est-elle libre ?
Le patron : - oui, monsieur.
Le client : - puis-je la réserver ?
Le patron : - bien sûr, vous pouvez.
Le client : - merci.
Avant d'aller dans la chambre, le client demanda au patron de lui fournir un couteau noir, un fil blanc de 39 cm et un fil oranges de 73 cm.
Le patron très surpris par les choses bizarres que le client demandait, lui remis les objets sans toutefois poser de questions.
Le client monta dans sa chambre, sans réclamer de nourriture ni autre.
Malheureusement pour le patron, sa chambre était juste à côté de la chambre 39.
Après minuit, le patron entendit des voix et des bruits étranges dans la chambre de son client. Des cris d'animaux sauvages et des ustensiles et plats jetés au sol.
Le patron ne pût dormir ce soir-là. Il continua à ruminer et à se demander ce que pouvait bien être la source des bruits.
Le matin, lorsque le client remit les clés au patron, celui-ci demanda à contrôler la chambre d'abord.
Il monta dans la chambre et trouva tout en ordre. Rien d'inhabituel. Il trouva même les fils blancs et oranges ainsi que le couteau noir sur la table.
Le client paya la facture et donna au personnel un très bon pourboire puis quitta l'hôtel en souriant.
Le patron était en état de choc mais il ne révéla à personne ce qu'il avait entendu. En fait, il commença à douter de lui-même.
Au bout d'un an début mars 1998, le client apparu à nouveau. Il demanda à voir de nouveau le patron. Le patron qui le reconnu était en plein dilemme, mais il redonna satisfaction au client.
Le client lui demanda les mêmes choses : chambre 39, couteau noir, fil blanc 39 cm et fil orange 73 cm.
Cette fois, le patron voulait connaître la vérité par tous les moyens possibles. Il passa une nuit sans dormir, en attendant que quelque chose se produise. Après minuit, les mêmes voix et bruits recommencèrent, cette fois de plus en plus forts et indéchiffrables comme l'année précédente.
Encore une fois, avant de partir, le client paya sa facture et laissa un gros pourboire sur la table pour le personnel. Le sourire ne quittait pas son visage.
Le patron cherchait la signification de tout ce que le client avait demandé. Pourquoi demandait t-il la chambre 39 ? Pourquoi le fil blanc ? Le fil orange ? Pourquoi le couteau noir ? Mais le patron ne parvint pas à une réponse satisfaisante à toutes ces questions.
Le patron attendît avec impatience le mois de mars, où son client s'était présenté.
À sa grande surprise, le premier jour de mars 1999, le même client apparut. Il posa les mêmes conditions. Et voulût réserver la même chambre, avec les mêmes objets qu'auparavant.
Le patron entendit de nouveau les mêmes bruits, cette fois encore plus forts qu'auparavant.
Dans la matinée, lorsque le client quitta l'hôtel, le patron s'excusa poliment auprès du client et lui demanda à connaître le secret derrière les bruits dans la chambre.
- '' Si je vous dis le secret, promettez-vous de ne jamais le révéler à quelqu'un d'autre ? ''
- "Je promets que je ne laisserai personne savoir".
- ''Jurez''
- ''Je jure que je ne révélerai pas votre secret ''
Enfin, le client révéla son secret au patron.
Malheureusement, le patron était une personne sincère et honnête. Jusqu'à présent, il n'a révélé son secret à personne.
Quand il le fera, je vous le ferai savoir... Merci pour la lecture. 😆😅😂🤣
77-Rodolphe
Depuis les fils du client et du patron ont repris les affaires en main
Seul la couleur du fil orange à changer
Ils se sont mis au vert 😀
Mais n allez pas le répéter
danielregis999
C'est un type qui rencontre sa petite amie dans un bistrot.
Au bout de peu de temps, la femme le sent géné et lui demande ce qu'il y a ?
Rien, rien.
La femme le harcèle pour savoir ce qu'il ya.
Il répond géné :
Je ne sais pas si ma famille va t'accepter.
La femme outrée : Eh bien alors ! Et puis d'abord c'est qui ta famille ?
le gars ps géné : ma femme et mes filles !
pacha08
C'est un type qui rencontre sa petite amie dans un bistrot.
Au bout de peu de temps, la femme le sent géné et lui demande ce qu'il y a ?
Rien, rien.
La femme le harcèle pour savoir ce qu'il ya.
Il répond géné :
Je ne sais pas si ma famille va t'accepter.
La femme outrée : Eh bien alors ! Et puis d'abord c'est qui ta famille ?
le gars ps géné : ma femme et mes filles !
- @danielregis999

Attention Alzheimer te guette ; voir post # 2701    1f600.svg1f602.svg
sans rancune ....1f607.svg
Bonne journée à tous
amiroro
C'est une blague que se racontent des ukrainiens depuis hier car ...

Ils ont envoyé un crocodile dans les tribunes lors du défilé militaire sur la Place Rouge ...

Et vous savez quoi ?

Depuis, ce pauvre crocodile n'arrête pas de chier des médailles ...

Toutes mes amitiés 1f600.svg

roro
danielregis999
c’est une blonde qui arrive aux urgences avec les deux oreilles brulees. Le docteur la soigne et lui demande ce qui lui est arrivé.

La blonde répond, c’est facile : je repassais et le téléphone à sonné.J’ai décroché mais je me suis trompé et à la place du téléphone j’ai pris je fer à repasser.

Ah bon dis le docteur je comprends pour la première oreille mais quid de la deuxième oreille ? et la blonde de répondre : il a bien falllu que  j’appelle le SAMU !
Gérard 64

Un médecin passe devant le conseil de discipline de l'hôpital pour avoir tenu des propos obscènes à une infirmière.

Qu'avez vous à dire pour vous défendre, demande le directeur.
Écoutez, monsieur le directeur, ce jour là mon réveil n'a pas sonne'.
En me levant en sursaut, je me suis pris les pieds dans le fil de la lampe, je suis tombé et les plombs ont saute', j'ai du me raser au rasoir à main, mais comme je n'avais pas de mousse, je me suis coupé partout. J'ai voulu prendre mon café, pas de courant pour la cafetière. Je ne savais plus où j'avais gare' ma voiture, quand je l'ai enfin trouvée j'avais un P. V. A l'entrée de l'hôpital je me suis fait accrocher par une ambulance qui arrivait à fond. Dans le parking ma place était prise.
L'ascenseur était en panne, j'ai monté les cinq étages à pieds. Arrivé dans mon bureau, j'ai claqué la porte, la vitre à cassé. Et au moment où je m'asseyais enfin dans mon fauteuil, cette demoiselle est entrée en disant
'' Docteur, les thermomètres qu'on a livrés ce matin, je les mets ou ''...
Gérard 64

J’ai 75 ans.!😂

Je suis allé récemment chez un nouveau médecin. Après deux visites et des tests de laboratoire, il m'a dit que j'étais très bien pour mon âge. Après cette remarque, je n'ai pas pu résister à lui demander : Pensez-vous que je vais vivre jusqu'à 85 Ans ? Alors il m'a demandé : Est-ce que vous fumez ? Non Buvez vous de la bière, du vin, de l'alcool ? Oh non, ai-je répondu. De plus, je ne prends aucun médicament. Puis il me demanda : Est-ce que vous mangez du steak et des viandes rôties au barbecue ? J'ai répondu : Non, mon ancien médecin m'avait dit que les viandes rouges sont mauvaises pour la santé. Est-ce que vous passez beaucoup de temps au soleil ? Jouez vous au golf ? Faites vous de la voile, de la randonnée. De la moto? Conduisez vous des voitures de sport? Non, rien de tout ça. Avez-vous des maîtresses, et avez-vous des rapports sexuels fréquents et non protégés ? Non plus. Alors, il m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit :
*
Mais alors, pourquoi voulez-vous vivre jusqu'à 85 ans ? Vous allez vous emmerder.!😂
amiroro
Histoire vraie ...

Un peu d’histoire 😉
LES OBSEQUES DE L’AMIRAL DU MESNIL
Lorsque l’Amiral (2ème section) DU MESNIL décéda à son domicile, à Brest même, le 29 février 1946, la nouvelle passa à peu près inaperçue, car cet Officier Général, qui avait pris sa retraite vingt-cinq ans auparavant, vivait à l’écart des mondanités brestoises ; il évitait la rue de Siam, dont les trottoirs, à l’époque, étaient moins larges qu’une coursive d’escorteur ; il ne fréquentait ni la piscine municipale, ni le Palais des Arts et la Culture, pour l’excellente raison qu’ils ne furent construits qu’un demi-siècle plus tard.
Mais ce décès brutal eut des retombées imprévues sur l’Escorteur Côtier « LE LURON » qui était de corvée pour la semaine.
Le Commandant du « LE LURON » reçu le soir même un long message de la Préfecture Maritime où il était dit :
Au primo, que l’Amiral DU MESNIL ayant commandé en Chef devant l’ennemi avait droit d’être « inhumé en mer » (expression étonnante pour ceux qui se souviennent que « humus » signifie « terre » …), et qu’il en avait précisément exprimé le vœu dans son testament. Le secundo du message ordonnait au « LE LURON » de participer à la cérémonie funèbre ; il devait embarquer dès le lendemain : le cercueil, la veuve, le Préfet Maritime, le Préfet du Finistère, l’Aumonier de la Région, le Président de l’Amicale des Anciens Marins du sous-marin à vapeur « NAUTILUS », les délégations des sept Associations Sportives dont l’Amiral était le Président d’Honneur, le Percepteur des Impôts ‘ancien marin du croiseur « FRATERNITE » que l’Amiral avait commandé, le Chef du Cabinet du Ministre de la Marine, le Président de la Société d’élevage des Poulets Bretons (marraine du « LE LURON ») le Secrétaire Perpétuel de l’Académie des Belles Lettres de l’île de BENIGUET, etc, etc … (nous nous excusons de ne pouvoir, faute de place, citer ici toutes les personnalité invitées à assister à la cérémonie, et nous renvoyons les nombreux curieux au n° 2689 du « Moniteur du LEON » qui a donné le compte rendu in-extenso des obsèques).
Le paragraphe tertio précisait que « LE LURON » devait appareiller à 08h00 ZULU, gagner la haute mer et une fois rendu dans le secteur 31416, au large de la Pointe Saint Mathieu, procéder à l’immersion avec le cérémonial règlementaire.
Le paragraphe quarto, prescrivait d’adresser ensuite un compte rendu en 18 exemplaires … dont l’un à l’ELYSEE (autrefois en effet, le Président de la République et l’Amiral avaient été étudiants, ensemble, à l’Ecole Maternelle de SAINT-PABU !).
Un des dix huit exemplaires du compte rendu devait être versé au Service de la Marine, et c’est le résumé de ce document de 33 pages (qu’accompagnaient 4annexes plus 6 appendices) que nous aurons le plaisir de faire connaître à nos fidèles lecteurs.
Le 2 mars, donc, conformément aux directives du Vice-Amiral d’Escadre Préfet Maritime, et en exécution des ordres du Lieutenant de Vaisseau TILLAC Commandant « LE LURON », notifiés par l’ordre de circonstance n° 1 (non classifié), on avait pris à bord toutes les dispositions pour que la cérémonie funèbre soit une opération parfaitement réussie et justifie les devises « VALEUR » et « DISCIPLINE » qui, briquées au NAOL, accrochaient sur la plage arrière les timides rayons d’un soleil visiblement bourré de complexes. Le bateau avait été potassé, lavé, essuyé et repassé ! l’équipage avait prie la tenue de sortie.
2 –
Pinard, le chien du bord, un délicieux corniaud (croisement d’un Basset avec un Dogue de Porémanie) avait été enfermé dans la cambuse : en effet, un coup de téléphone du Cabinet de l’ELYSEE avait informé le Commandant que le représentant du Président de la République était allergique aux chiens : leur odeur déclenchait aussitôt une crise de hoquet insurmontable.
A H – 15, la garde était en place plage arrière.
A H - 1, on vit surgir le long cortège automobile : 15 limousines 8 cylindres décapotées (à cause des grands chapeaux des dames, des hauts-de-forme des personnalités civiles et du chapeau à plumes des deux Préfets, le Maritime et le Terrien).
Le convoi négocia le dernier virage à plus de 30 km à l’heure et, dans un affreux crissement de pneumatiques s’immobilisa le long du quai.
Les personnalités, les délégations, la famille de l’Amiral DU MESNIL, les amis et les représentants de la Grande Presse Régionale prennent place sur la plage arrière. Alors apparaît le fourgon hippomobile, tiré par 4 chevaux pommelés, qui vient se ranger au bas de la coupée. Une corvée du service général embarque la bière tandis que 4 gabiers rendent les honneurs au sifflet.
Sans tarder, le Commandant, d’une voix énergique, crie « larguez partout », « à gauche 30 », « en avant partout ». L’appareil moteur fait entendre un sourd vrombissement. La coque frémit comme si elle était vivante. Des tourbillons creusent furieusement les eaux noires de la Penfeld, et « LE LURON », gouverné d’une main sûre par le quartier-maître de manœuvre BARAGAUCHE, se dirige vers les passes.
L’ambiance est solennelle, recueillie, exaltante. Tous à bord (personnalités, délégations, parents, amis, équipage) ont conscience de participer à une cérémonie très belle, bien dans les traditions de la Marine d’autrefois, une cérémonie que les témoins et leurs descendants évoqueront encore avec émotion plus de cinquante ans après …
La passerelle du « LE LURON » est devenue très encombrée : pour j...r du merveilleux spectacle qu’offre la plus belle rade du monde, toutes les autorités et délégations ont cherché à y prendre place : aussi la densité de la foule évoque t-elle celle du métro parisien à six heures du soir. Et l’Aspirant D’ETAILLE, qui affectionne les statistiques (il vient de Polytechnique), fait remarquer au Bidel qu’il y a au moins dix personnes par mètre carré : et donc, par conséquent, si on entassait toute la population du globe (près de deux milliards d’habitants, avec l’incertitude habituelle sur l’effectif réel des Chinois …) on pourrait les rassembler dans un carré de quatorze kilomètres de côté ; c'est-à-dire que toute l’humanité pourrait tenir dans la rade de Brest.
Mais revenons à nos moutons, et, à propos de moutons, on en voit justement qui apparaissent au sommet des collines couvantes du goulet : la mer se creuse, et le vent force. L’Officier des Equipages BOUT-LINAES, qui est chef de quart, chenal difficilement à travers la marée humaine, et va de temps en temps interroger le baromètre lequel, visiblement, « se casse la gueule ».
3 -
Pour occuper les esprits, le Commandant indique et commente les points caractéristiques du paysage : clochers remarquables, arbres en boule, récifs sournois, balise historique … il présente le Mingant, le Minou, les Vieux Moines, les Fillettes, les pignons de Keravel …
Le « LE LURON » atteint enfin la zone fixée pour le déroulement de la cérémonie funèbre.
Tous les passagers de marque se rassemblent alors sur la plage arrière où, depuis l’appareillage la garde la monte. Et, dans son cercueil que recouvre le drapeau tricolore, l’Amiral DU MESNIL, bercé par un roulis allant crescendo, repose en son dernier sommeil.
Enfin seul sur la passerelle désertée, l’officier de quart fait un dernier relèvement et rend compte au Commandant « on y est » !
Le Commandant ordonne « garde à vous ». La garde présente les armes. Et tandis que le clairon sonne « aux morts », six solides quartiers-maîtres en tenue de sortie empoignent le cercueil, puis, le faisant glisser sur une planche bien suiffée, le projette à la mer, en direction des abimes marins qui doivent abriter pour toujours la dépouille de l’Amiral.
Mais stupéfaction, désespoir ! vieillesse ennemie ! une fois la mousse dissipée, on aperçoit encore la bière jaune flottant allégrement au lieu de couler aussitôt conformément à l’ordre de circonstance du Préfet Maritime !
Le spectacle est incroyable. Consternées les autorités militaires, civiles et religieuses se concertent. Les Délégations discutent. La famille s’émeut. Les amis se lamentent. Et la bière continue de rouler au gré des lames … et à dériver grâce à un vent de Noroît, force 5, qui ne cesse de forcir.
Il faudrait tout de même faire quelque chose dit le Préfet du Finistère. Oui, il faut prendre une décision dit le Préfet Maritime. « Que peut-on faire » demande le Commandant. « C’est horrible » gémit la veuve éplorée qui s’évanouit en tombant dans les bras de l’Aumonier. A l’extrême arrière, l’œil fixé sur la bière qui dérive, PINARD le corniaud mascotte du « LE LURON » hurle à la mort …
Devant la perplexité des Autorités, et voulant faire preuve de l’initiative que le manuel du Gradé recommande à ses lecteurs, le second-maître charpentier BOUDE-BOIS s’approche de l’officier en second et lui murmure à l’oreille « pardon lieutenant, mais je pourrais peut-être prendre la plate et aller lui percer quelques trous avec un chignolle … ». La suggestion est étonnante, voire peu respectueuse… mais y en a-t-il d’autres ? L’idée remonte donc la voie hiérarchique jusqu’au Préfet Maritime. Après consultation du Préfet du Finistère, du Recteur et du représentant personnel du Président de la République, le Vice-Amiral Préfet Maritime déclare au Commandant : « d’accord, faites le nécessaire pour alourdir la bière afin, qu’en obéissant à la loi d’Archimède et conformément à mon ordre de circonstance, l’Amiral DU MESNIL aille reposer par grand fond. Allez ! et faites vite … !
Le Commandant se retourne vers l’officier en second et lui dit : « allez ! n’y a qu’à mettre de l’eau dans la bière … !
On affale donc le youyou, et le second-maître charpentier, accompagné par deux gabiers, essaye d’y embarquer. Mais « LE LURON » qui a dû stopper pour faciliter l’opération, roule bord sur bord et, à chaque période, la frêle coque de noix (comme dira de manière très originale le correspondant particulier du « REVEIL BIGOUDEN ») menace de s’écraser contre les flancs de l’Escorteur, ou même de se coincer sous la quille de roulis …
4 -
Après dix minutes d’efforts totalement infructueux, le Commandant, ayant procédé à un rapide calcul mental du type « cout-efficacité », fait arrêter les frais. On hisse donc le youyou.
Et le cercueil, poussé par une forte brise, dérive rapidement vers la côte …
De nouveau, les Autorités tiennent un colloque. Les Délégations rediscutent.
La famille commence à s’énerver. Les amis cherchent des idées. Les correspondants de la grande presse régionale prennent fiévreusement des notes. Et PINARD, le sympathique corniaud du bord continue de hurler à la mort…
L’ambiance est tragique. De toute évidence, il faut retrouver une solution., et rapidement sinon la bière, à la pression des facteurs météorologiques, sera inévitablement drossée contre les récifs, et s’y brisera : comme les marins le savent bien, la route est plutôt mal pavée dance ce coin …
Alors l’enseigne de vaisseau TOURNEAU-BITHE, officier de manœuvre, s’approche de l’officier en second et lui glisse à l’oreille « lieutenant, si je peux suggérer une idée … on pourrait essayer de l’éperonner ; la bière frappée coulerait avant le flot … « aborder » l’Amiral c’est impensable ! et pourtant y a-t’il une autre solution ? la suggestion remonte donc la voie hiérarchique ….
Après avis des diverses autorités civiles et religieuses, le Préfet Maritime dit au Commandant d’une voie blanche : « allez, prenez une route de collision, de manière à frapper la bière … mais je vous en conjure … faites vite… »
Le Commandant se retournant vers l’officier de manœuvre lui ordonne d’une voie ferme : « à l’abordage » !
L’officier de manœuvre prépare son affaire avec soin, plateau de chasse en main, il a évalué le restant de jusant, la dérive de la bière, le rayon de giration du « LE LURON », et tous les autres paramètres indispensables pour exécuter une belle manœuvre dans des conditions particulièrement délicates, car la mer se creuse de plus en plus, et le baromètre descend aussi vite que le niveau de la bière dans le verre d’un marin altéré…
A la barre on a mis le plus fin gabier du bord, c’est un quartier-maître admissible, Yann LE ROUX, un gars d’Ouessant qui se dit le neveu du fameux Commandant LE ROUX, celui qui en 1916 avait perdu les trois voiliers qu’il escortait, mais détruit le perfide sous-marin boche…
« A droite vingt …dix seulement … zéro … comme ça … »
« Avant demi … tu vois la bière, le ROUX ? «
« Pour moi se sera plutôt un coup de « rouch ». Cette déclaration incongrue émane du Président des Anciens Marins de POULLOUEN : il est un peu dur d’oreille et il cru que le maître d’hôtel proposait des rafraîchissements …
La distance décroît rapidement … tous les spectateurs restent silencieux, tandis que, par-dessus leurs têtes le vent de noroît chante dans la mature sa lugubre complainte …La bière disparaît sous l’avant du navire ; chacun guette le choc sourd de l’étrave … mais rien ne se passe …
Alors on voit le veilleur de la plage avant se pencher sur le porte-voix, et son compte-rendu plonge l’assistance dans un noir désespoir : « c’était bien visé, gast ! mais la moustache du yatch, elle a refoulé la bière …
5 -
A bord, l’émotion est à son comble. La veuve pleure abondement ; ses larmes dissolvent son maquillage et, emportées par le vent, font apparaître sur la carte marine des récifs inconnus des navigateurs. Les Amicalistes commencent à trouver que les tragédies les plus courtes sont les meilleures.
Le Préfet du Finistère est inquiet pour les prochaines élections municipales, le représentant du Président de la République pense que, décidement, l’huissier de l’Elysée avait raison : les marins ne sont pas des gens sérieux ; heureusement qu’on ne compte pas sur eux pour défendre la ligne bleue des Vosges … Le Commandant est effondré, il va certainement être relevé de son commandement ; il lui faudra quitter la Marine et entreprendre une deuxième carrière dans la vie civile.
A l’arrière, PINARD, à le moral à zéro et hurle de plus belle à la mort …
Seuls les représentants de la presse écrite (la seule d’ailleurs à l’époque), sont franchement joyeux : quels beaux récits à faire paraître en page régionale, avec des titres énormes « à la une » : c’est mieux que tous les serpents de mer de correspondants particuliers de la Dépêche de TRAFLAGUENAN, de RECOUVRANCE-SOIR, du SOLEIL D’OUESSANT et du REVEIL DE SEIN, couvrent de notes des mètres carrés de papier, tout en déplorant aigrement que le magnétophone ne sera inventé que dans un demi-siècle.
Et le baromètre continu de descendre comme les actions américaines le fameux soir de 1929.
C’est alors que l’enseigne de vaisseau BOUMART, chef du service artillerie du « LE LURON » s’approche de l’officier en second : « lieutenant, si je peux une suggestion …. peut-être, enfin, que je pourrai moi aussi essayer de mettre de l’eau dans la bière … avec quelques coups bien ajustés sous la flottaison … »
Tirer sur l’Amiral ! c’est tout à fait impossible ! c’est impossible, ce n’est pas possible ! c’est difficilement possible ! … c’est à peine possible …
La suggestion « impossible » remonte la voie hiérarchique, puis à l’issue d’un mystérieux conciliabule au sommet, le Préfet Maritime dit au Commandant : « d’accord, c’est au canon qu’il faut attaquer la bière ! mais FAITES VITE, et sans trop de bruit si possible ! »
Alors le Commandant, se retournant vers l’officier en second : « n’y a qu’à essayer de mettre quelques pruneaux dans la bière … »
Le « LE LURON » a une artillerie impressionnante pour un navire d’aussi modeste tonnage : à l’avant, une pièce de 75mm réchappée de la guerre de 1914 ; à l’arrière un canon de 37mm à tir rapide (3 coups par minute) ; il a aussi deux tubes de 27,2 pour les tirs de salut, et un canon lance-amarre.
L’officier canonnier choisit de mettre en œuvre l’artillerie principale, c’est à dire le vénérable canon de 75mm modèle 1896. Les canonniers s’affairent aussitôt auprès de la pièce.
On rend l’appel, on balance l’affût tous azimuts, on vérifie les mécanismes … « arme claire » hurle le servant de culasse. L’Aumonier tressaille croyant avoir affaire à un illuminé.
- 6 -
Pour détourner il dit à la veuve : « oui c’est l’âme claire qu’il avait votre époux, et aussi un cœur généreux … »
Enfin tout est paré et les munitions sont approvisionnées. Le Commandant ayant fait hisser le pavillon de tir, l’officier canonnier crie du haut de la passerelle : « le but est feu l’Amiral. !!! ».
BAOUM ! un coup part :
Hurlements de l’officier canonnier : « cessez le feu ! cessez le feu ! je n’ai pas dit de tirer, je disais que le but était feu l’Amiral !... »
Il reprend donc les ordres de tir réglementaires :
« but vitesse zéro. inclinaison 90 droite. distance 2400 mètres, sur la bière, salve attention … FEU ! ».
Le premier coup « part pour de bon » part … et tombe dans la direction du but : mais il est un peu court : « plus loin 400 ».
Le deuxième coup est un peu long.
Radieux l’officier canonnier s’exclame : « j’ai la fourchette sur l’Amiral … ».
Techniquement , l’expression est juste, mais s’avère fâcheuse sur le plan psychologique : la veuve s’évanouit pour la deuxième fois, on la ramène en luis faisant respirer le tafia de la cambuse.
« plus près 200 ». Le troisième coup achève sa trajectoire par une sorte d’explosion qui projette dans le ciel d’innombrables débris que nul n’ose essayer d’identifier.
Et l’Aumonier, qui avait servi dans l’artillerie coloniale comme Maréchal des Logis, ne peut s’empêcher de murmurer « plein bois » !
L’affaire a été rondement menée et, l’odeur de la poudre aidant, chacun commence à penser qu’en fin de compte cela a été une sacrée ribote … les correspondants de la presse veulent offrir le Champagne …
Tandis que le « LE LURON », mission enfin accomplie, se retourne cap pour cap et fait force de vapeur pour rallier Brest, le Préfet Maritime qui tient table à bord du bâtiment, convie à déjeuner les Autorités, les Présidents des délégations et, bien entendu, la veuve de l’Amiral DU MESNIL.
Au Carré, l’ambiance est lourde ; mer de travers, l’Escorteur roule joyeusement, et les subsistants qui, jusqu’alors avaient bien résisté au mal de mer, commencent à verdir en silence …
Pour occuper la veuve, le Préfet Maritime évoque la personnalité de l’Amiral DU MESNIL …
Enfin le maître d’hôtel paraît avec le premier plat, « Madame, dit le Préfet Maritime, votre mari était un grand cerveau … », à ce moment précis, un coup de roulis déséquilibre le maître d’hôtel, et de son plat fumant jaillit une grosse cervelle qui vient atterrir sur les genoux de la veuve … qui, du coup s’évanouit pour la troisième fois.
Alors, PINARD bondit sur le casse-croute imprévu, et le déguste en connaisseur ………

Amitiés à tous ...1f60d.svg

roro
amiroro
Ho! La la ...

J'entendais la télé dans la pièce d'à coté ... Je pensais que mon mari regardait un film porno ...

Non, non ... Je suis allée voir ...

C'était juste Martina Trevisan qui disputait une rencontre de tennis à Roland Garros !!!

Bonne semaine 1f633.svg

roro
Gérard 64
@amiroro

Il semblerait que le tennis et le pénis produisent des effets similaires...🤪🤪🤪
mars60
Tu m'étonnes... 1f61c.svg
amiroro
Bonjour,

J'avais une blague à vous dire mais je l'ai oubliée ... 1f644.svg
Guest7698

@Christian PAC  "race humaine" MDR !

mars60

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Moetai
Tant que ce n'est pas ''le coût '' .😉

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