Selon les études menées par différents cabinets de conseil en gestion de la mobilité internationale, les « conjoints suiveurs » en expatriation sont encore à 75 % des femmes. Si une partie d'entre elles retrouvent un emploi à l'étranger, 35 à 50 % ne reprennent pas d'activité ou entament une reconversion professionnelle. L'expatriation est en effet souvent une période propice à la réflexion sur le plan professionnel. Quelles raisons poussent les femmes à se lancer sur la voie d'une reconversion et comment s'y prendre ?