Ensaimada a écrit:Bonjour MarieMiel,
Je ne viens que rarement sur le forum maintenant, mais voilà que je tombe sur votre message. Je suis aussi québécoise et ma fille termine son secondaire V en juin. J'ai des amis qui ont mis leurs enfants au public, d'autres au privé, et si vous saviez la différence que je vois.
Ma fille est bonne en classe, elle a de fortes notes, mais justement, elle s'y ennuie; elle n'a jamais de devoirs car elle a le temps de tout faire en classe.
Elle entre au cégep fin août et je sais déjà que la marche sera haute et qu'elle va devoir développer une méthode de travail. En plus, elle sera dans un cégep anglophone (elle est bilingue), car son domaine va l'amener à être en contact avec l'étranger et elle nous a dit, du haut de ses 17 ans, ne pas vouloir se limiter au Québec, et je la comprends.
Merci pour votre texte
Bonjour Ensaidama,
Je suis ravie que mon texte puisse être utile à d'autres! Je pense aussi aller au Cégep en anglais pour me donner un défi supplémentaire et perfectionner mon anglais, car je ne suis pas bilingue de naissance bien que je me débrouille très bien, ayant vécu quelques années aux États-Unis et la majeure partie de ma vie au Québec, mais à deux pas de l'Ontario. Vous dites que votre fille est bilingue, donc je suppose que son père est anglophone ou qu'elle a vécu un certain temps en anglais. Si c'est le cas, le Cégep anglophone ne devrait pas lui poser trop de problèmes autres que la mise sur pied d'une méthode efficace de travail. Je lui souhaite bonne chance!
Ceci est à l'attention de personnes qui se questionnent sur le niveau des Cégeps anglophones par rapport aux francophones: il faut faire attention, certains Cégeps anglophones sont beaucoup moins bons que les Cégeps francophones de la même région. Comme la cote R (cote attribuée à chaque étudiant qui intervient dans le classement lors de l'entrée dans un programme universitaire) dépend aussi du niveau du Cégep, ce n'est pas toujours mieux d'aller en anglais, même si ça peut être bénéfique pour l'apprentissage de la langue seconde.
Marie-Miel