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Possibilité d'ouvrir un resto a majunga utopie ou pas

Nouvelle discussion

potambleu
D'accord avec Delodanlegaz sur sa définition de vazaha sacado. J'en ai fait plus ou moins partie lors de mon retour à Mada à 65 ans et ma première expérience des taxis-brousse, j'en ai rencontré notamment dans le train Fianar/Manakara, le wagon première classe en état rempli, et surtout avec la sécurité d'une carte bancaire et d'une ceinture cachant quelques gros billets, c'est un excellent moyen de découvrir et de s'immerger dans Madagascar.
C'est vrai que l'expression est souvent péjorative mais je l'utilise à mon avantage quand je marchande, me promenant souvent avec un sac plein de choses utiles: parapluie, sac plastique pour des courses,  étui à lunettes blanches/de soleil,  cache-bouche, mouchoirs en papier, chiffon pour essuyer le sable qui colle aux pieds,  crème solaire, médicaments quotidiens, etc...
D'accord aussi avec D. pour payer le juste prix quand je le connais. J'ai par exemple toujours la monnaie pour une course de tuk-tuk ou de pousse, ce qui évite de longues discussions parfois pénibles. Ce qui ne m'empêche pas parfois de donner plus.
J'ai en souvenir un coiffeur du cru qui pour son office m'a demandé 10 000, à qui j'ai donné 2 ooo ariary, ayant une connaissance qui avait donné, abusé, 10 000 ariary...
Bon dimanche.
ignace31
Je discute pas la définition, c'est la votre.
Je dis que pour un Malgache vazaha sac au dos = pas le rond.
C'est bien d'avoir donné 2000 ariary à ce coiffeur, ça fait remonter le peu d'estime qu'ils ont pour nous.
J'ai aussi pris le train Fianarantsoa/Manakara.
J'ai pas pu voyager en première, en effet quand j'ai demandé une place en première, la dame au guichet m'a répondu que le wagon était déjà pris par une famille Indienne,la famille Boute, une famille très connu à Fianarantsoa.
La famille Boute a réservé tout le wagon m'a t elle dit, elle a cru bon d'ajouter : aujourd'hui ils sont nombreux les Boutes en train..............
DenisMada
Même si certains jeunes "sac à dos" n'ont pas beaucoup de moyens financiers cela ne veut pas dire qu'ils ne peuvent rien apporter au pays.

La dernière fois que j'ai quitté la France, que j'ai pris le train pour aller à l'aéroport un jeune avec qui j'ai discuté été très motivé pour m'aider dans mon travail à Madagascar.

Malheureusement ce jeune qui était très motivé pour travailler était épileptique et avait une qualification de cuisiner. Ce qui ne m'intéresse pas dans mes affaires.

Mais certains jeunes étrangers peuvent apporter à un pays une nouvelle vision des choses, de travailler, de vivre etc ... Ce qui peut parfois être plus qu'intéressant pour le pays en question.

Madagascar à mon avis est à la traîne dans certains domaines car les mentalités ne sont pas assez évolués.

Exemple : la corruption.

Vous souhaitez devenir policier mais les places sont limitées alors vous êtes obligé d'avoir recours à la corruption.

Et donc vous n'êtes pas pris pour vos capacités mes parce que vous avez payé le recruteur.

Une fois policier vous faites comme on vous a appris.

Exemple si deux personnes ont un différent vous allez faire un faux rapport en faveur d'un des individus (celui qui vous aura rémunéré) et en défaveur de l'autre.

Comment voulez-vous qu'un pays avance correctement avec une mentalité comme ça ?

Des jeunes étrangers qui viennent dans un pays comme ça ne peuvent qu'être estomaqués et révoltés.

Les jeunes bien sûr ont le pouvoir de faire changer le monde en bien comme en mal.

Regardez Mai 68 ce sont des jeunes qui ont essayé de faire bouger les choses. Pas des papis pleins aux as.
ignace31
Céquoidonc votre travail, vos affaires à Madagascar ?
Peu importe.
Ce qui me gêne, c'est que vous êtes prêt à faire venir un jeune étranger pour travailler avec vous
Ne serait ce pas plus judicieux de faire travailler un jeune local ?
DenisMada
@ignace31

Ça dépend. Les jeunes locaux ont leurs points forts mais ils ont aussi leurs points faibles.

Comme je le disais plus haut. Certains jeunes étrangers peuvent apporter à Madagascar autre chose que de l'argent.

Ils peuvent apporter une autre façon de voir les choses, une approche différente au travail etc ...

Travailler avec des gens de pays différents, de milieux différents peut je pense être un atout dans une société.
ignace31
Que c'est beau,
Là je suis séché à bouts d'arguments devant une telle leçon de vie.
Bravo, chapeau bas Monsieur.
Crusaders
DenisMada a écrit:

Même si certains jeunes "sac à dos" n'ont pas beaucoup de moyens financiers cela ne veut pas dire qu'ils ne peuvent rien apporter au pays.

La dernière fois que j'ai quitté la France, que j'ai pris le train pour aller à l'aéroport un jeune avec qui j'ai discuté été très motivé pour m'aider dans mon travail à Madagascar.

Malheureusement ce jeune qui était très motivé pour travailler était épileptique et avait une qualification de cuisiner. Ce qui ne m'intéresse pas dans mes affaires.

Mais certains jeunes étrangers peuvent apporter à un pays une nouvelle vision des choses, de travailler, de vivre etc ... Ce qui peut parfois être plus qu'intéressant pour le pays en question.

Madagascar à mon avis est à la traîne dans certains domaines car les mentalités ne sont pas assez évolués.

Exemple : la corruption.
Vous souhaitez devenir policier mais les places sont limitées alors vous êtes obligé d'avoir recours à la corruption.
Et donc vous n'êtes pas pris pour vos capacités mes parce que vous avez payé le recruteur.

Une fois policier vous faites comme on vous a appris.
Exemple si deux personnes ont un différent vous allez faire un faux rapport en faveur d'un des individus (celui qui vous aura rémunéré) et en défaveur de l'autre.

Comment voulez-vous qu'un pays avance correctement avec une mentalité comme ça ?
Des jeunes étrangers qui viennent dans un pays comme ça ne peuvent qu'être estomaqués et révoltés.
Les jeunes bien sûr ont le pouvoir de faire changer le monde en bien comme en mal.

Regardez Mai 68 ce sont des jeunes qui ont essayé de faire bouger les choses. Pas des papis pleins aux as.

Belle analyse si ne n'est que c'est aux malgaches  - jeunes et moins jeunes - de faire "bouger les choses".

Quant à faire leur Mai 68, je reste - très - sceptique.
Crusaders
Je ne pense que MADAGASCAR puisse faire la "fine bouche" quant au profil des touristes venant visiter la Grande Île.

MADAGASCAR n'est pas l'ÎLE MAURICE et je ne ne crois en ses possibilités de développer un secteur "tourisme haut de gamme", hors certains sites "particuliers".

Ce qui me heurte le plus concernant les "vazaha lany mofo" - qu'ils soient touristes ou résidents -, c'est leur état d'esprit fait de "radinerie", toujours à discuter le prix de la course de taxi ou celui du kilo de bananes à 100,00 Ariary près, et le manque de respect qu'ils montrent très souvent à l'endroit des malgaches, les tutoyant d'office quand ils ne les rudoient pas.

Les "sac à dos" sont, pour moi, une catégorie "distincte", généralement plus sympas quand bien même, dans l'esprit de nombreux malgaches, "vazaha sac à dos" équivaut souvent à "vazaha lany mofo".
loicpty
Je dis que pour un Malgache vazaha sac au dos = pas le rond.

J'ai aussi pris le train Fianarantsoa/Manakara.
J'ai pas pu voyager en première, - @ignace31

Prendre le train de Fianarantsoa à Manakara en deuxième classe, ça c'est de l'aventure. Paré pour Kolanta 1f923.svg

Comme d'autres intervenant je me considère aussi comme un vazaha sac à dos (ou routard), puisque cela a été mon mode de voyage pendant de nombreuses années. Par manque de temps, mes sacs à dos sont bien rangé au fond d'un placard depuis quelques années, mais c'est avec plaisir que je le ressortirais dans quelques années, lorsque je n'aurais plus d'activités, bien sûr si mon état de santé le permet encore.
Doit-on penser que tous les français qui passent leur vacances à faire de la randonnée (avec un sac à dos) dans les montagnes en France ou en Europe le font uniquement par manque d'argent (pas les moyens de se payer l’hôtel ou un moyen de locomotion)? ça serait juste ridicule...
Et bien, il en est de même pour beaucoup de ceux qui voyagent ou partent à l'aventure (avec un petit "a", il ne faut pas exagérer) avec leur sac à dos.

Comme je l'ai déjà dit, au Cameroun, j'ai passé près de 6 mois à parcourir le pays du nord au sud et d'est en ouest pour découvrir de nouveaux sites ayant un potentiel touristique et mettre en place de nouveaux circuits. Bien qu'il me soit arrivé de louer un véhicule pour me rendre dans certaines zone inaccessible autrement, la grande majorité de mes déplacements se sont fait en taxi-brousse, en moto ou à pied. Et c'est justement grâce à mon sac à dos et à ma capacité à me déplacer à pied dans tous les milieux que j'ai pu passer 2 semaines dans un village de Pygmées Baka à plusieurs jours de marche à l'intérieur de la forêt équatoriale mais aussi plusieurs semaines dans des villages kirdi à la frontière avec le Nigéria... Toutes ces populations même si elles vivent à l'état primitive ne manquent absolument pas d'intérêt et ces rencontres et surtout les nombreux échanges que j'ai pu avoir avec elles, et les moment ou activités partagées, restent des souvenirs inoubliables et très riches. Et ce n'était pas par manque de moyens puisque tous mes frais étaient remboursés.

J'ai aussi découvert Madagascar en mode routard (ou sac à dos) pendant 3 mois avant de décider de poser mon sac et d'y rester. Et si j'ai décidé de rester à Mada, c'est aussi par choix et non par manque de moyens pour aller ailleurs, puisque j'aurais pu simplement retourner au Cameroun ou j'avais 3 sociétés (dont une agence de voyage associé avec le Ministre du tourisme et le représentant en France du ministère du tourisme et donc systématiquement recommandée aux TO étrangers, et invitée par le ministère du tourisme à tous les salons du tourisme en Europe). Après un an à Mada, sachant que je ne retournerais jamais au Cameroun, j'ai finalement cédé mes parts gratuitement à mes associés camerounais. En décidant de rester à Mada, j'ai perdu beaucoup d'argent, mais l’argent  il n'y a pas que ça dans la vie et puis l'argent ça se gagne, ça se perd ou ça se dépense et ça se regagne, la vie continue... Il n'y a que ceux qui sont (ou se sentent) incapable de faire autre chose, qui s'accrochent comme des sangsues à un boulot qu'ils n'aiment pas, ou à un boulot dans un pays qu'ils n'aiment pas... Il semblerait que la tendance depuis la covid soit « Great Resignation » ou « Big Quit », ça pourrait donner des idées à certains, quoique non, pour tout plaquer et repartir à zéro, il faut quand même un peu de cran.

Donc, comme l'ont dit d'autres intervenants, les touristes sacs à dos ne sont pas forcément que des jeunes étudiants ou des jeunes qui démarrent dans leurs vie professionnelles et qui n'ont pas beaucoup d’argent. Voyager en mode routard (avec un sac à dos) c'est avant tout un état d'esprit, et ça reste pour moi la meilleure façon de découvrir un pays et sa population. Les adeptes des voyages organisés, ne représente qu'une trentaine de pourcent des touristes français. Si la majorité organisent leurs voyages eux même, voire partent à l'aventure pour certains, se n'est sans doute pas uniquement parce qu'ils n'ont pas les moyens de se payer un voyage par agence.

Pas un rond mais près à profiter de l'hospitalité de l'habitant, Mada ou autre.
Vous dites vous même : fauché, quand on est fauché on gratte tout ce qu'on peu tout en profitant un max du pays, vous amenez quoi en échange des services qui vous sont rendus ? Nada !
Vous parlez revenus Rmiste, on est en plein dans lany mofa et sac au dos.
Donc vous, vous faites parti de  ceux qui négocient une course à 1500 ariary, bien, bien.- @ignace31
¨Profiter un max du pays, c'est à mourir de rire. Comme si à Mada ou dans la plupart des pays d'Afrique ou d'Asie, les routards (ou sacs à dos) voyageaient gratos et se faisaient inviter pour dormir ou manger par l'habitant.  Cela vous surprendra peut-être mais ils payent leur billets de taxi-brousse, payent la facture quand ils mangent au restaurant et payent aussi leur nuit à L’hôtel.

Mais on reconnait bien là, la mentalité de certains, pour qui l'argent est l'unique but dans la vie.

Effectivement pour reprendre mon expérience personnel, chez les bakas, ou les kirdis je n'ai pas payé pour accrocher mon hamac ou planter ma tente, mes seules dépenses ont été l'achat des cadeaux traditionnels qu'on remet au chef du village (du riz, des légumes secs, du sel, des allumettes, un peu d'alcool). Il ne faut pas avoir beaucoup voyagé pour croire qu'il y a que l'argent qui compte pour tout le monde et que la seule chose que l'on peut apporter dans un pays ou dans un village ce sont  des billets de banque. A l'époque j'avais toujours dans mon sac à dos un appareil photo polaroid, et des dizaines de pellicules à développement instantané. Et je peux vous garantir que de se voir pour la première fois de leur vie en photo à fait beaucoup plus plaisir aux populations chez qui j'ai séjourné qu’un billet de banque.

Et chez ce type de population l'argent peut faire beaucoup plus de mal que de bien. Après mon séjour chez les kirdis, une nouvelle route à rendu deux villages accessible aux touristes. Un bien pensaient certainement certains car l'arrivée des touristes leur a permis de gagner de l'argent. Vous voulez voire une danse traditionnelle (danse de bienvenue), il faut payer, vous voulez manger, il faut payer, vous voulez rester dormir il faut encore payer, alors qu’auparavant accueillir un étranger était juste un honneur pour ces villageois qui faisaient tout pour l’accueillir comme s'il était l'un d'entre eux.
Avec l'arrivée des touristes et de l'argent facile, plus besoin d'aller cultiver la terre, plus besoin de chasser. La principale activité des anciens chasseurs ou cultivateurs selon les villages  (lorsqu'il n'y a pas de réservation pour des touristes) se résume à prendre eux aussi la route pour aller au premier village et acheter de l'alcool et ils passent leurs journées à boire et finissent tous les soirs ivre-mort grâce à l'argent des toursites.
Dans une autre région du Cameroun, les chutes d'Ekom, les villageois ont pris l'habitude de réclamer de l'argent aux touristes qui traversaient le village pour se rendre aux chutes, alors que le site appartient à l'état et qu'il n'y a donc aucun droit de passage à payer; Mais comme diraient certains, ce sont juste quelques euros, donc s'ils réclament de l'argent pourquoi pas leur donner quelques pièces. Le problème c'est que ces anciens chasseurs et cultivateurs sont devenus dépendant des touristes pour vivre ou survivre, et on perdu l'habitude de chasser ou de travailler la terre.
Durant ma dernière année au Cameroun, le ministère du tourisme a fini par interdire le site aux touristes (accès autorisé uniquement aux agences à condition de récupérer des policiers armés dans le village précédents), car plusieurs touristes qui avaient peut-être refusé de payer se sont fait agresser et dépouiller de leurs biens. Les quelques pièces ou billets (c'était juste quelques euros) donner par quelques touristes à ces villageois alors qu'ils n'avaient rien à payer leur ont-il s été bénéfique, on peut en douter...

Pour revenir au sujet de la discussion, à Mada comme dans beaucoup de pays, des établissements qui font le plus souvent le plein sont des établissement pour routards. En cas de crise économique, crise sanitaire, crise politique, etc les agences de voyages sont bien souvent désertés, les routards eux voyagent toujours (en prenant des précautions).

Pour rester sur Mahajunga, un restaurant sur la plage (dont j'ai oublié le nom) a été cité dans la discussion, le propriétaire ou ancien propriétaire (car il était à vendre il y a 4 ou 5 ans pour cause de retraite) a tenu pendant de nombreuses années un restaurant très fréquenté par les routards au centre ville. Comme quoi, finalement les routards doivent quand même dépenser un peu d'argent si cela à permis au propriétaire d'un restaurent pour routard d'ouvrir un établissement beaucoup plus grand et beaucoup plus fréquenté sur la plage après quelques années d'exercice.
loicpty
J'avoue, humblement, ne pas avoir la même maîtrise du sujet, i.e. les "vazaha lany mofo" que vous.

Sans doute une question de fréquentations.
- @Crusaders

Oh, il est content après 27 ans il connait enfin 2 mots en malgache, on a pas fini de les voir ressortir, ça nous changera un peu de rade terminus...
Quel rapport entre connaitre la signification des mots lany (qui s'emploie dans ne nombreuses circonstances et pas que pour le pain ou l'argent) et mofo, qui s'emploie aussi très régulièrement et mes fréquentations.
Même les Ministres sont appelé çà utiliser régulièrement le mot lany, ne serait-ce que pour le papier dans l’imprimante par exemple, et il est probable qu'un bon nombre d'entre eux mangent aussi du pain...
Plutôt que de chercher à vous rattraper comme vous le faites çà chaque fois, puisque vous êtes dans les aveux, avouez plutôt humblement que vous n'aviez aucune idée de la signification de ces deux mots...

Mais effectivement à choisir entre quelques expatriés hautains qui se la pète parce qu'ils gagnent enfin un peu plus d'argent que la moyenne et des expatriés (actifs ou retraités) plus modeste qui n'ont pas pris la grosse tête, je préfère fréquenter les derniers...
loicpty
Ce qui me heurte le plus concernant les "vazaha lany mofo" - qu'ils soient touristes ou résidents -, c'est leur état d'esprit fait de "radinerie", toujours à discuter le prix de la course de taxi ou celui du kilo de bananes à 100,00 Ariary près, et le manque de respect qu'ils montrent très souvent à l'endroit des malgaches, les tutoyant d'office quand ils ne les rudoient pas.
- @Crusaders

Si un jour vous visitez Madagascar ou un autre pays d'Afrique (aussi vrai dans beaucoup de pays du moyen orient, d’Asie, d’Amérique du sud)  vous découvrirez sans doute que discuter le prix est pratiquer par l'ensemble de la population locale peut importe les moyens financiers.
Et comme d'autres intervenants je ne vois pas pourquoi je devrais payer deux fois ou cinq fois le prix normal, juste parce que j'ai la peau blanche. En Italie, en Espagne, en en Grèce (pouvoir d'achat inférieur à la France sauf erreur de ma part), trouveriez vous normal de payer plus cher simplement parce que vous êtes français? Si cela ne serait pas normal en Europe pourquoi cela serait-il normal en Afrique.
Lorsque vous faite le plein d'essence payez vous plus qu’un malgache? l'électricité ou l'eau vous sont-elle facturé plus cher parce que vous êtes blanc? Si vous trouvez sans doute normal de payer le même montant qu'un malgache pour ces biens ou services, pourquoi cela devrait-il être différent pour 1 kilo de bananes?

Mais au moins ceux qui discutent le prix du kilo de bananes savent au moins que les bananes poussent à Madagascar contrairement à un membre que je ne citerais pas qui nous annonçait le 20 juin 2020 (après 25 ans à Mada sauf erreur de ma part) que tous les fruits dans les supermarchés (donc les bananes, les mangues, les litchis, les papayes, etc) étaient importés. Mais je comprends, sur le trajet ankorondrano-ambatobe il ne doit pas y avoir beaucoup d'arbres fruitiers  1f923.svg

Sauf erreur de ma part, il y a longtemps vous nous avez raconté qu'une de vos connaissances (lany mofo ou non je ne sais plus) avait tutoyer un ministre à qui vous l'aviez présenté; Donc comme d'habitude un cas particulier se transforme en généralité.
Et en ce qui concerne le manque de respect ou manque de savoir vivre, je crois me souvenir que l'humour à deux balles de certains membres dans une discussions sur le décès d'un retraité français, récemment, pouvaient aussi être considéré comme un manque de respect ou un manque de savoir vivre. Comme quoi il n'y a pas que les vazahas lany mofo, qui devraient prendre des cours de savoir vivre, cela peut arriver même à ceux qui se croient supérieurs aux autres;...
Bhavna
Bonjour à tous,

Est-ce qu'on parle toujours du projet d'ouvrir un restaurant ?

Si vous souhaitez discuter sur une autre thématique, je vous suggère d'ouvrir une nouvelle discussion sur le forum Madagascar...autrement .. je pense que nous avons fait le tour de ce sujet.

Bien à vous,
Bhavna
Crusaders
J'ai, au cours de ma carrière à MADAGASCAR, travaillé à NOSY BE, TOLIARA et ANTANANARIVO procurant moi-même du travail à des milliers de personnes.

Aujourd'hui, notre vision du pays a bien changé. Ma femme, mes enfants aspirent à autre chose, comme quoi les xx milliers d'Euros qui rentrent tous les mois ne font pas tout.

Ceci étant, mon parcours professionnel me permets d'avoir certaines prétentions et je ne vais pas me "brader".

C'est toujours mieux, je pense, que ceux qui cherchent à monter de "micro-projets" à MADAGASCAR et qui, faute de moyens, mettent le retard pris par leurs projets sur le dos de la COVID-19.

Isn't it.
Crusaders
loicpty a écrit:

Mais au moins ceux qui discutent le prix du kilo de bananes savent au moins que les bananes poussent à Madagascar contrairement à un membre que je ne citerais pas qui nous annonçait le 20 juin 2020 (après 25 ans à Mada sauf erreur de ma part) que tous les fruits dans les supermarchés (donc les bananes, les mangues, les litchis, les papayes, etc) étaient importés. Mais je comprends, sur le trajet ankorondrano-ambatobe il ne doit pas y avoir beaucoup d'arbres fruitiers.
Et je vous le confirme.

Les mandarines, les oranges, les pamplemousses, les raisins vendus chez SHOPRITE sont majoritairement importés d'AFRIQUE DU SUD.

Leurs rayons étaient d'ailleurs bien vides hier du fait, apparemment, d'un retard d'arrivage.

Au risque de vous l'apprendre, les vins de BORDEAUX et de BOURGOGNE - quoique ces derniers très rares - que l'on peut trouver à MADAGASCAR sont aussi importés.

Mais pour cela, il faut savoir, de temps en temps, sortir des gargotes.
Crusaders
loicpty a écrit:
Mais au moins ceux qui discutent le prix du kilo de bananes savent au moins que les bananes poussent à Madagascar contrairement à un membre que je ne citerais pas qui nous annonçait le 20 juin 2020 (après 25 ans à Mada sauf erreur de ma part) que tous les fruits dans les supermarchés (donc les bananes, les mangues, les litchis, les papayes, etc) étaient importés. Mais je comprends, sur le trajet ankorondrano-ambatobe il ne doit pas y avoir beaucoup d'arbres fruitiers.

Quels scrupules devrait-on avoir à habiter à AMBATOBE et à avoir son bureau à ANKORONDRANO ?

J'habite certes tout près d'AMBATOBE pour des raisons de proximité avec le LYCÉE FRANÇAIS mais n'est-ce pas le propre d'un père de famille que d'essayer d'offrir le meilleur aux siens ?
ignace31
@loicpty Où j'ai écris que j'avais voyagé en deuxième classe ? Où ?
Où j'ai écris que les sacs au dos ne paient pas ? Où ?
Je dis qu'ils essaient toujours de gratter quelque chose, en clair ils marchandent.Do you know marchander ?
Profiter d'un pays qu'on visite, pour un sac au dos c'est en prendre plein la vue, des paysages, la faune, la flore, des rencontres, être au plus proche des habitants et d'autres choses encore, bref en profiter un max, ou alors autant rester chez soi.
Vous interprétez ou vous ne comprenez pas ce que vous lisez?
Vous écrivez que vous avait fait des recherches de sites pour faire des circuits touristiques , ensuite vous écrivez que le tourisme fait du mal aux habitants des villages retirés.
Tout et son contraire.
Vous dites à mourir de rire ? Moi vous m'attristez.
J'arrête là, je vais pas tout reprendre de votre exposé, de plus on est hors sujet.
Je dois reconnaitre que je n'aurais pas dû mettre dans le même panier lany mofa et sac au dos.
Un est sédentaire, l'autre voyageur.
loicpty
Vous interprétez ou vous ne comprenez pas ce que vous lisez?- @ignace31
Bonjour, je ne vais pas batailler sans fin, mais...
Il m'est effectivement arrivé parfois de mal comprendre ou mal interpréter un post, ce qui peut d’ailleurs arriver à tout le monde, mais...
Où j'ai écris que les sacs au dos ne paient pas ? Où ? - @ignace31
pas un rond mais près à profiter de l'hospitalité de l'habitant, Mada ou autre.
Vous dites vous même : fauché, quand on est fauché on gratte tout ce qu'on peu tout en profitant un max du pays, vous amenez quoi en échange des services qui vous sont rendus ? Nada ! @ignace31

Où j'ai écris que j'avais voyagé en deuxième classe ? Où ?
J'ai aussi pris le train Fianarantsoa/Manakara.
J'ai pas pu voyager en première, @ignace31

A part la première et seconde classe, il ne reste que la locomotive ou les passerelles entre les wagons, mais je peux me tromper ;-)

Vous écrivez que vous avait fait des recherches de sites pour faire des circuits touristiques , ensuite vous écrivez que le tourisme fait du mal aux habitants des villages retirés.
Tout et son contraire.
Mon séjour chez les pygmées bakas ou chez les kirdis avaient surtout un but personnel, même si j'avais une demande d'un TO spécialisé dans les voyages aventures. Pour moi, ils n'étaient pas encore prêt à recevoir des groupes de touristes même s'il était convenu avec le TO que le nombre de groupe ne dépasserait pas 2 ou 3 par an pour ne pas que cela n'ait pas un impact trop conséquent sur leur mode de vie.

Mais il est tout à fait possible d'amener des touristes dans des villages isolés sans que cela ait des conséquences négatives (ou du moins que le côté positif soit supérieur au côté négatif).
Avec mon ONG que j'avais créé avec mes associés Camerounais nous avons été appelé à effectuer plusieurs missions pour le WWF et la coopération allemande.
Dans un village, dans lequel une espèce de tortue en voie de disparition venait pondre, à la demande du wwf, nous avons formé les villageois à l’accueil des touristes pour que ces derniers aient un peu plus d'argent et arrêtent de consommer voire de vendre les œufs et la chair des tortues.
Comme les femmes présentent moins de risque d'utiliser l’argent des touristes pour acheter des bouteilles de bière, nous nous sommes appuyer sur les femmes du village et créant en premier une association de femme. Nous les avons ensuite formé aux règles d'hygiène de base en restauration et leur avons appris à réaliser quelques plats qui plairaient aux touristes.
Ensuite deux bungalows pour l'hébergement des touristes ont été financé par le WWF. La visite et l'hébergement dans le village n'étant proposé que part une seule agence, la mienne ;-) il a été convenu avec le WWF de limiter les séjours à 2 ou 3 groupes de touristes par mois. Les hommes, eux, (des chasseurs) ont été formé en tant que guide (éléphants des forêts et grands singes).
Grâce à cette opération les œufs des tortues ont été protégés et les villageois ont gagné un peu plus d'argent mais pas trop, juste de quoi améliorer leur niveau de vie sans que cela ne bouleverse complètement leur vie quotidienne.
Au bout de quelques mois, la coopération allemande à financé la construction d'une école dans ce village, et le salaire de l'enseignant était financé par les séjours des touristes;

Le touriste peut apporter de bonne chose comme des mauvaises tout dépend comment cela est organisé et géré.
Yoginee
Bonjour à tous,

Est-ce qu'on pourrait bien revenir au sujet initial afin d'éviter les débats svp? 

Le titre de cette discussion est: Possibilité d'ouvrir un resto a majunga utopie ou pas

Merci d'avance,

Yoginee
Équipe expat.com
ignace31
Bien, ce n'est pas de l'interprétation.
C'est de l'incompréhension, je m'en doutais un peu, et ce, même avec mes explications sur mes écrits.Désolé, je peux rien pour vous.
Pour le train : voyage sur wagon plateau, croyez moi beaucoup mieux pour ce genre de voyage.
Voilà,voilà,
Comme on se fait tirer les oreilles pour le hors sujet, ça sera pour moi ma dernière intervention sur ce fil.
A très bientôt pour d'autres sujets.
jpmadalu
Bonjour à tous,

Pour avoir une idée des prix demandés, voici une annonce parue il ya 5 jours pour un établissement avec restaurant, piscine et 16 bungalow à Tamatave.

Je trouvais ça déjà cher, mais en lisant bien, je vois que ce n'est que le fonds de commerce (en principe comprenant bâtiments, piscine, ameublement, matériel horeca, mais pas le terrain), ça me paraît hors prix même si la situation paraît plaisante.

On évalue le fonds de commerce dans l'horeca entre 50% et 100% du chiffre d'affaire moyen des 3 dernières années. Donc évalué à 50% et si ouvert 360 jours/an, la caisse quotidienne devrait faire en moyenne 410.000 EUR * 50% : 360 = 569 EUR, ce qui me paraît peu réaliste.

En étant très optimiste sur le taux d'occupation, par exemple en période de vacances, j'arrive à cette évaluation de la caisse quotidienne avec 60 %  de taux d'occupation des 16 bungalow à 10 EUR et du resto de 200 places avec le couvert à 5 EUR par jour, on arrive à une estimation de la caisse quotidienne = =60%*(16*10+200*5) =696 EUR.

J'espère que ces méthodes d'évaluation (il y en a d'autres basées sur le bénéfice par exemple) peuvent vous aider


Veloma,
JP
sambomilay

@jpmadalu c'est chez olivier ça ?

Crusaders
Un nouvel établissement - une crêperie  - en vente à TAMATAVE.

Ça tourne à l'exode.
ignace31
Une crêperie bonne idée à la base, non ?
L'affaire, sur photos, à l'air saine.

Mais quand on voit les photos d'un établissement désert, ça donne pas trop envie d'en savoir plus.
Peut-être serait il plus judicieux et plus vendeur de mettre des photos avec pas mal de clients attablés autour de jolies crêpes et quelques clients aux bars, non ?

Ou pas de clients ? Serait ce l'exode à Tamatave ?
jpmadalu
Autre conseil pour l'évaluation d'un commerce de restauration: envoyez-y des clients mystère différents jours et à diffférents moments pour évaluer la fréquentation, le type de clientèle, leur type de de consommation. Le client mystère peut aussi discuter avec la clientèle du bar pour percevoir le ressenti des habitués sur l'établissement, une espèce d'audit sur la qualité du service, des produits, le repect du temps, les erreurs de caisse pas toujours involontaires des serveurs, l'hygiène de la cuisine et des toilettes, la propreté...

Vous pourrez ainsi vérifier ce qui est annoncé par le vendeur, d'autant que les chiffres officiels (bilans comptables des 3 dernières années) ne reflètent pas les activités "en noir".

Autre astuce pour déterminer le chiffre d'affaire : repérer dans les charges comptables du bilan le total des factures hors TVA d'achat de marchandises destinées à la consommation ( nourriture +boisson). Multipliez par 4 (*) et cela devrait à peu près correspondre au chiffre d'affaire déclaré HTVA.

Pas de précipitation, une bonne analyse et une période de crise est souvent remplie d'opportunités.

Le propriétaire, comme tout vendeur, annonce souvent un prix bien plus élevé que le minimum auquel il est prêt à céder, donc négociez en ayant une analyse rationnelle de la valeur du bien. Et à Mada certainement, les acheteurs disposant des fonds nécessaires ne se bousculent pas...

(*) en général, on considère que le restaurateur vend à 4X son prix achat. Exemples : un plat du jour à 12 EUR lui coûte 3 EUR, une bouteille de vin vendue 20 EUR lui coûte 5 EUR.
Crusaders

À ceux - et ils sont nombreux sur ce Forum - qui sont à la recherche d'idées d'investissements à MADAGASCAR, je me permettrais de suggérer d'ouvrir une boulangerie "à la française".


Je suis, personnellement, "bluffé" par le succès du GOURMET à tel point qu'il est recommandé de se lever tôt pour y acheter du pain dans leurs points de vente d'ANKORONDRANO et d'AMBATOBE - un petit client d'œil à "loicpty" - qui sont, bien souvent, en rupture de pain bien avant midi, quand bien même ils vendent leur baguette "tradition" à 4.500,00 Ariary l'unité.

Dans le même registre, j'avais été très sceptique au moment de l'ouverture de NICOLAS - vins - à ANTANANARIVO. Ils ont, au jour d'aujourd'hui, plusieurs boutiques dans la capitale ce qui, je pense, semble prouver que "ça marche".

Pour en revenir à la boulangerie, un tel projet nécessiterai, à mon sens :

- de recruter un bon artisan boulanger "expat" ;

- de sourcer - importer - du matériel "pro" d'occasion pour boulangerie et viennoiserie - la pâtisserie est, pour moi, un autre métier - ;

- de trouver un emplacement commercial de premier ordre ;

- de faire en sorte de ne pas s'attirer l'hostilité des - gros - "acteurs" déjà présents sur la place. 
Atsinanana
Bonjour,
Même constat à Tamatave avec "la case à pain" (chez Cyril). Même si le fondateur est reparti en France suite à des problèmes sans rapport avec son commerce, ça fonctionne toujours très bien. Il faut dire que l'emplacement est idéal, proche du lycée français, à l'heure de la rentrée des classe, il y a la queue.
Mais y a-t-il la place pour un autre ? La clientèle prête à payer pour du bon pain est assez limitée.
ignace31
A Mahajanga " la parisienne", bon pain croustillant " à la française" 2000 ariary la baguette je crois, je n'affirme pas. Axe passant mais pas de parking.
Petit bémol il faut "déguster" ce pain le jour même, le lendemain il devient chamallow, sûrement dû à l'air salin.
Je connais pas Tamatave, mais à Mahajanga il y aurait la place pour plusieurs bonne boulangerie, sans je pense déranger les "gros acteurs" en place, because pas la même clientèle,eux  ils vendront toujours leur pain chamallow à 500 ariary.
Il y aussi de la place dans d'autres villes de province, vu qu' on ne trouve pas ce pain "à la française".
J'ajoute que dans cette activité, il n'y a pas de perte, avec les invendus on fait du pain perdu (délicieux).
Pas de pain perdu grâce au pain perdu..................
Crusaders
Atsinanana a écrit:
Bonjour,


Même constat à Tamatave avec "la case à pain" (chez Cyril). Même si le fondateur est reparti en France suite à des problèmes sans rapport avec son commerce, ça fonctionne toujours très bien. Il faut dire que l'emplacement est idéal, proche du lycée français, à l'heure de la rentrée des classe, il y a la queue.

Mais y a-t-il la place pour un autre ? La clientèle prête à payer pour du bon pain est assez limitée.

Je suis, en effet, assez réservé quant au "potentiel" des villes de province en dehors, peut-être, de TAMATAVE et du "réservoir" de clientèle offert par AMBATOVY.
ignace31
Ah bon ? De mon côté je pense qu'il y a une clientèle pour le bon pain, je pense que le français et autres sont prêts à payer plus pour du bon pain.
Je peux me tromper, j'ai pas fait une étude de marché où je suis.
Après on revient au même problème, activité d'appoint ou activité pour mettre du beurre sur le pain ?......
Crusaders
Je suis toujours dubitatif à l'endroit de ceux qui viennent me dire "je ne fais pas cela pour gagner de l'argent, mais juste pour m'occuper".

D'une part parce que le but de tout entrepreneuriat est quand même de s'en sortir financièrement. À défaut, j'en ai connu plus d'un qui ont fini par y "engloutir" leurs pensions de retraite à force de "boucher le trou" chaque fin de mois.

Mais aussi parce que entreprendre et gérer une entreprise à MADAGASCAR est tout sauf une sinécure et que, à tout faire, il vaut quand même mieux que cela rapporte un peu.
ignace31
Alright,
D'accord avec vous, quand on pioche dans son bas de laine perso pour maintenir à flot son activité, iznogoud.
D'accord aussi, ce n'est pas une sinécure, c'est beaucoup de travail avec énormément de présence, donc faire ça pour rien, iznogoud.
Crusaders
Quant aux "français et autres prêts à payer plus pour du bon pain", vous connaissez, je pense, la "mentalité" de certains de nos compatriotes qui ne manqueront pas de "crier au scandale" pour une baguette vendue 2.000,00, 3.000,00 ou 4.000,00 Ariary à MADAGASCAR.
ignace31
Je sais pas.
Je reste à penser que beaucoup de nos compatriotes sont prêt à "payer" pour du bon pain.
Qu'une bonne boulangerie  dans une ville de province, doit être viable, bien sûr avec une étude de marché au préalable et un bon emplacement.
Cet avis n'engage que moi, peut-être que je suis à côté de la plaque.
Faut me comprendre j'ai tellement envie de bon pain...............
Crusaders
ignace31 a écrit:

Je sais pas.

Je reste à penser que beaucoup de nos compatriotes sont prêt à "payer" pour du bon pain.

Qu'une bonne boulangerie  dans une ville de province, doit être viable, bien sûr avec une étude de marché au préalable et un bon emplacement.

Cet avis n'engage que moi, peut-être que je suis à côté de la plaque.

Faut me comprendre j'ai tellement envie de bon pain...............

À ANTANANARIVO et TAMATAVE, assurément oui.

À MAJUNGA, TOLIARA ou DIEGO, je crains que vous ne vendiez que quelques petites dizaines de baguettes par jour.
ignace31
Oh là ! J'ai pas dit que c'était moi le boulanger !
Vu votre vécu à Madagascar, je m'incline devant vos arguments.
J'ai un collègue qui fait lui même son pain, je vais essayer d'en faire de même.
C'est pas gagné..................
Crusaders
ignace31 a écrit:

Oh là ! J'ai pas dit que c'était moi le boulanger !

Vu votre vécu à Madagascar, je m'incline devant vos arguments.

J'ai un collègue qui fait lui même son pain, je vais essayer d'en faire de même.

C'est pas gagné..................

Je ne suis, personnellement, même pas capable de faire cuire un œuf.

Si vous êtes de passage par ANTANANARIVO, faites quand même un petit détour par LE GOURMET.
DenisMada
Ouvrir une boulangerie à Tananarive me semble une bonne idée.

Il y a déjà quelques pâtisseries à Tananarive que je trouve excellentes : Blanche Neige Place de l'Indépendance, le Sakamanga à Antaninarenina etc ... Mais elles ne vendent pas de pain.

Du bon pain, des croissants et des pains aux chocolats à la française quel régal. Ça manque énormément lorsqu'on vit à Madagascar.

Mais évidemment il faut bien penser à l'emplacement de la boulangerie, avoir de bons équipements et un boulanger ayant appris le métier en France.
DenisMada
Sinon à défaut le pain de la boulangerie de Jumbo Score Akorondrano me semble acceptable.
Crusaders
DenisMada a écrit:

Sinon à défaut le pain de la boulangerie de Jumbo Score Akorondrano me semble acceptable.

Vous n'êtes, manifestement, pas très regardant - exigeant -.
Delodanlegaz

ignace31 a écrit:

Oh là ! J'ai pas dit que c'était moi le boulanger !

Vu votre vécu à Madagascar, je m'incline devant vos arguments.

J'ai un collègue qui fait lui même son pain, je vais essayer d'en faire de même.

C'est pas gagné..................

Je ne suis, personnellement, même pas capable de faire cuire un œuf.
Si vous êtes de passage par ANTANANARIVO, faites quand même un petit détour par LE GOURMET.

-@Crusaders


dites moi, font-ils du pain au levain naturel ?

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