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Droits de garde des enfants,droit de la famille, et la jugendamt

Dernière activité 31 Juillet 2023 par jean luc1

Nouvelle discussion

jean luc1

Notre ami forturic a attirer mon attention sur le droits de garde en Allemagne, et le rôle de la jungenamt. J'invite ferment les couple binationaux a lire se qui suit  https://fr.wikipedia.org/wiki/Jugendamt  ,c'est très surprenant. Une réaction de votre part serais la bienvenue. Qui ne dit point mot approuve.

jean luc

jean luc1

Il est dommage que vous avez pas le courage de vous exprimer sur ce texte.

Julien

Bonjour Jean Luc,

que dit le texte, en gros ?

jean luc1

Le texte explique la loi allemande sur le droit de garde en Allemagne, ainsi que le rôle jouais par la jungenamt (protection des enfants), elle est juge et parti á la fois dans la procédure judiciaire. Elle introduit les affaires devant les  tribunaux  (partie), elle participe á la décision du juge qui entérine ces requêtes (juge).
Le texte met en garde les couples binationaux non marié, contre certaine pratique de l’Allemagne comme á la demande de la mère en CHANGEANT LE NOM DE CELUI-CI par celui de la mère,   lors de la déclaration de l’enfant au consulat si celui-ci est née á l’étranger     , sans prévenir le père, même si celui-ci a reconnu officiellement  la paternité, ET CE SANS TENIR COMPTE DES PAPIERS OFFICIEL DE LA FRANCE par ex.  PAR CONTRE QUAND IL S’ AGIT DE LA PENSION ALIMENTAIRE,LA JUSTICE ALLEMANDE  SE RAPPELLE DU PÈRE . La jungenamt peut demander en séance secrète devant le juge une ordonnance de saisie des enfants  sans que les parents soient  présents, ni prévenus.
En cas de rupture dans un couple binationale, le parent étranger n’a aucune chance face á un ressortissant allemand. Il est en tenu á l’écart  de la procédure judiciaire  surtout si il ne parle pas allemand.
Les avocats allemands doivent prêter serment que  lorsqu’ ils  doivent plaider pour un ‘étranger au tribunal , ils ne doivent pas le faire contre la constitution allemande (donc contre les lois).
Je rappelle aussi que les allemands sont aussi victime de la jungamt. 

Jean  luc

forturic

L'Allemagne a pour des raisons historiques et anthropologiques une culture fortement ethnocentrée (E.todd, l'invention de l'Europe, Ed Seuil, Paris 1990). La nation est définie dans sa Constitution comme une "communauté des Allemands" (Deutsches Volk). La Communauté nationale a mission de « protéger » tout enfant séjournant sur son territoire, en le maintenant sous sa juridiction et son contrôle, sans quoi le bien-être de l'enfant « serait menacé ».

L'enfance est placée sous la responsabilité d'une entité administrative remplissant le rôle de "parent collectif", prioritaire sur les parents biologiques qu'il surveille étroitement. Ce Jugendamt, incarnation de l'inconscient collectif de soumission à l'autorité en l'absence d'Etat centralisé, échappe à toute sorte de contrôle administratif, judiciaire et médiatique par une loi du silence scrupuleusement respectée. Il contrôle toutes les décisions de justice familiale.

Ce mode de fonctionnement social très centré autour de l'enfance, d'apparence démocratique, efficient sur le plan économique, mais très réticent au droit international et notamment en matière familiale, rappelle par bien des côtés le mode de fonctionnement des sectes, groupes humains chez lesquels sont bien décrits l'éducation des enfants en vase clos, souvent à la frontière de la légalité.

Lire la suite sur   http://famille-allemande.blogs.nouvelob … n-sec.html

forturic

Amitié franco-allemande: une invention politique devenue un piège

http://famille-allemande.blogs.nouvelob … noree.html

L'amitié franco-allemande fut une création politique de l'après guerre aux fins pacificatrices. Universaliste et égalitaire, la culture française l'a profondément intégrée, finissant par oublier que l'Allemagne est un pays d'essence différentialiste concevant le lien comme une domination de l'autre.

Voulue par les fondateurs de la France libre puis de la IVe République, cette relation d'amitié avec le peuple voisin s'est étendue à l'ensemble de la population française, à travers les opérations de jumelage, de coopération économique, universitaire et culturelle. La mondialisation des sociétés à la fin du XXe siècle n'a fait qu'accentuer la tendance.

Pourtant il faut se souvenir que l'Allemagne est un pays d'essence différentialiste et autoritaire, de par le type de structure familiale qui la peuple de façon très homogène sur l'ensemble de son territoire. Le protestantisme, religion de l'inégalité fondamentale des hommes dans la prédestination, n'est pas né par hasard en Allemagne. La construction d’un Etat commun à tous les Allemands, notion à laquelle les cultures différentialistes autoritaires sont fortement réticentes, s’est faite logiquement de façon très tardive et dans une atmostphère de très forte tension morale et sociale, culminant dans les années 1935 à 1945.

Dans son livre Les couples mixtes et leurs enfants en France et en Allemagne (Paris, Armand Colin, Bibliothèque européenne des sciences de l'éducation,1995, 267 p.) Gabrielle Varo propose une vue d'ensemble de la réalité familiale «mixte» en France et en Allemagne. Elle aborde ce thème dans sa dimension juridique, statistique, nationale, culturelle et linguistique, et étudie les identités des conjoints de nationalités différentes et de leurs enfants.La contribution de Gunter Gebauer (chapitre 7) est éloquente à l’égard des représentations de la différence culturelle, traitant des modes d'éducation institutionnels et familiaux. En posant la question du comportement qu'induit une des deux cultures en situation de contact avec l'autre, Gebauer constate que l'attitude informelle de la culture allemande conduirait l'Allemand à assimiler la culture étrangère, alors que l'attitude plus formelle de la culture française conduirait le Français à vouloir préserver et imposer ses propres déterminations culturelles (p. 107).

Cette hypothèse se vérifie dans l'expérience de nombreux intellectuels franco-allemands. Beate Collet, de l’institut de recherche en sciences sociales de Hamburg, confirme ce point : « La tradition nationale allemande, plutôt ethnique et culturelle, propose aux immigrés une alternative entre la mise à l'écart et l'assimilation culturelle. La tradition française, en revanche, plus politique et institutionnelle, permet plus facilement aux immigrés de participer à la société tout en préservant certaines de leurs spécificités culturelles dans la vie privée. Il semblerait que l'autre aspect de l'hypothèse formulée plus haut renvoie au fait que la culture allemande, par son essentialisme (postulant une origine commune des Allemands), ne peut faire autrement que d'assimiler l'autre culture ou la rejeter, tandis que si la culture française demande à l'autre culture d'assimiler la culture nationale commune, elle intègre plus facilement ce qui est étranger. » (Collet Béate. Varro Gabrielle (dir.), Les couples mixtes et leurs enfants en France et en Allemagne. In: Revue française de sociologie. 1996, 37-3. pp. 492-494. http://www.persee.fr/web/revues/home/pr … _37_3_5727).



Ce qui vaut pour les immigrés en Allemagne vaut pour toute relation à l’autre, qu’il s’agisse d’amitié ou d’amour à l’échelle individuelle, ou de relation globale à l’échelle de deux peuples. L’inconscient allemand différentialiste et inégalitaire considère l’autre comme a priori différent, et n’a le choix qu’entre l’exclure ou l’assimiler, c’est-à-dire l’amener à partager ses propres principes de vie.



Ne pouvant historiquement éliminer la France, l’Allemagne ne peut pas concevoir d’autre possibilité que de l’attirer dans son modèle. Modèle principalement économique, car il est clair d’emblée que les deux pays ne se rejoindront jamais sur le plan linguistique, culturel et politique. L’Allemagne considère donc comme une évidence, et même une nécessité, que la France se range à son fonctionnement économique rigoureux, discipliné et efficace, notamment sur le plan monétaire. On comprend mieux alors la domination systématique de l’Allemagne à chaque étape de la construction européenne. Marie-France Garaud, qui fut proche conseillère de Georges Pompidou puis de Jacques Chirac, l’a bien compris en fréquentant l’univers politique allemand. C’est ce thème qu’elle développe dans Impostures Politiques, son livres de mémoires paru l’an dernier. Elle cerne remarquablement la problématique de l’euro, centrale pour comprendre l’Allemagne, qui pour des raisons de politique intérieure liée à la réunification voulut la monnaie unique (et non la France comme on tend trop souvent à le croire)



Nous laissons Edouard Husson, historien spécialiste de l’Allemagne, conclure par cette phrase magnifique : « les élites françaises connaissent mal ce pays avec lequel elles prétendent construire un " couple ". Elles en ignorent notamment une règle essentielle. Quand un étranger vient leur proposer un projet, les Allemands répondent généralement : " Oui, mais nous faisons comme cela et naturellement vous êtes d’accord ". Une fois l'acceptation esquissée, l'affaire est close ».

jean luc1

forturic a écrit:

L'Allemagne a pour des raisons historiques et anthropologiques une culture fortement ethnocentrée (E.todd, l'invention de l'Europe, Ed Seuil, Paris 1990). La nation est définie dans sa Constitution comme une "communauté des Allemands" (Deutsches Volk). La Communauté nationale a mission de « protéger » tout enfant séjournant sur son territoire, en le maintenant sous sa juridiction et son contrôle, sans quoi le bien-être de l'enfant « serait menacé ».

L'enfance est placée sous la responsabilité d'une entité administrative remplissant le rôle de "parent collectif", prioritaire sur les parents biologiques qu'il surveille étroitement. Ce Jugendamt, incarnation de l'inconscient collectif de soumission à l'autorité en l'absence d'Etat centralisé, échappe à toute sorte de contrôle administratif, judiciaire et médiatique par une loi du silence scrupuleusement respectée. Il contrôle toutes les décisions de justice familiale.

Ce mode de fonctionnement social très centré autour de l'enfance, d'apparence démocratique, efficient sur le plan économique, mais très réticent au droit international et notamment en matière familiale, rappelle par bien des côtés le mode de fonctionnement des sectes, groupes humains chez lesquels sont bien décrits l'éducation des enfants en vase clos, souvent à la frontière de la légalité.


tu oublie une chose ,la base du problème est qu'il y a un conflit parentale , et c'est le parent allemand qui demande l'aide de la jungenamt trop heureuse de profiter de l'aubaine .
J'habite depuis 22 ans en Allemagne , et j'ai aucun problème avec la jungamt.
Si le parent étranger veut retourné dans son pays d'origine et que le parent allemand ne veut pas , il y a conflit, si les enfants sont née en Allemagne et ont toujours vécu en Allemagne , c'est normal qu'il restent en Allemagne.
Ce qui ne justifie pas pour autant le comportement de la jungenamt.
dans un de tes article tu cite une affaire óu la mère a battu son enfant (khel), en Allemagne c'est un délit. Est ce une simple tape, oú une raclée maison, moi j'ai eu á intervenir une fois, je peut de dire que c'etais plus qu'une raclée maison. pour juger il faut bien connaître les dossiers .C'est tout le problème.
Ce qui m'interresse c'est ton histoire personnel.
il ne fait aucun doute que tu fait parti des parent français qui ont ce problème.

   jean  luc

forturic

Bonjour Jean-Luc, je réponds point par point à ce que tu as écrit :

- un des pièges majeurs de la culture allemande, et dans lequel tu es toi aussi tombé, est d’expliquer la rupture les liens entre enfant et parent étranger par le conflit parental et la résidence habituelle des enfants. Or cela n’a rien à voir : c’est la culture criminelle des lois familiales et des administrations allemandes, et la violation systématique du droit européen en Allemagne, qui est en cause. Peu importe que les parents se disputent, et où les enfants sont nés et ont vécu : ce qui compte est qu’ils gardent un contact étroit avec leur parent et leur famille étrangère. Or c’est justement cela que les administrations allemandes cherchent à empêcher. Le parent allemand ne fait que leur obéir.

- je connais personnellement et en détail les dossiers dont je parle, ainsi que la question générale de la séquestration institutionnelle des enfants étrangers par l’Allemagne. Les enfants enlevées à Kehl ne sont pas battues par leurs parents, je l’affirme de source sûre. C’est un prétexte donné par le Jugendamt de Kehl pour justifier le maintien forcé des enfants sur le sol allemand : c’est le président en personne du tribunal de Kehl qui l’a avoué. Il déplore les abus systématiques commis par le Jugendamt de Kehl, et reconnaît qu’il ne parvient pas à les empêcher.

- je sais très bien que des parents allemands aussi sont victimes de la violence institutionnelle qui gangrène le Jugendamt et les tribunaux aux affaires familiales dans l’ensemble de l’Allemagne. Mais les raisons de ce harcèlement ne sont pas les mêmes que vis-à-vis des parents étrangers. Dans les familles allemandes, le Jugendamt et la justice fonctionnent inconsciemment sur le fantasme de l’appartenance de l’enfant à la communauté nationale, et sur leur vision paranoïaque de l’éducation. En croyant protéger l’enfant d’une maltraitance qui n’existe que dans leur culture délirante de l’intérêt de l’enfant, ils créent eux-mêmes cette maltraitance. La communauté médicale internationale (dont je fais partie) a clairement démontré et publié que retirer un enfant à son milieu familial constitue une extrême violence donc aucun enfant ne se remet. Ce type de mesure sociale doit donc être appliquée dans des circonstances absolument exceptionnelles, après concertation pluri-disciplinaire et sous le contrôle de la justice. C’est le cas en France. En Allemagne, cette exception est devenue la règle générale, pour des raisons historiques et culturelles complexes qui sont connues, et détaillées dans plusieurs blogs : http://famille-allemande.blogs.nouvelobs.com/,http://enlevementparental.blogs.nouvelobs.com/.

- s’il y a peu de plaintes en Allemagne contre l’attitude délirante des administrations en charge de l’enfance, c’est parce que la société allemande dans son ensemble a plus de 50 ans de retard sur les données de la science en matière d’éducation et de psychologie infantile, et tolère assez bien l’attitude criminelle des administrations contre les enfants. C’est un fait avéré, reconnu et largement détaillé dans de nombreuses publications, dont les références sont données sur les blogs sus-mentionnés. Participent à ce phénomène le fond anthropologique autoritaire et inégalitaire de l’Allemagne, la culture protestante et catholique harmonique (très différente du catholicisme classique des pays latins), et le passé totalitaire encore récent de l’Allemagne, qui ancré pour au moins six à sept générations des réflexes d’obéissance aveugle. Il est bien avéré qu’une société post-totalitaire, comme l’Allemagne aujourd’hui, met plus d’un siècle avant de retrouver un libre-arbitre suffisant à l’installation de mentalités véritablement démocratiques.

- l’attitude des administrations en charge de l’enfance contre les parents étrangers répond en outre à un fantasme inconscient supplémentaire : la lutte contre la dimension non-allemande d’un individu, soit par l’éloignement soir par la destruction. Cette lutte ethnocentrée qui relève de l’inconscient collectif est ancrée depuis le moyen-âge dans la culture allemande, en raison de la structure souche autoritaire/inégalitaire de l’Allemagne. Ce phénomène est maintenant bien connu des anthropologues (Laslett en Angleterre, Le Play et Todd en France pour ne citer que les plus connus). L’ethnocentrisme est un axe historique fondateur de la culture allemande, auquel l’histoire de l’Allemagne au 20e siècle n’est bien sûr pas étranger. Il serait bien naïf de croire qu’il a disparu aujourd’hui : le fantasme de la destruction de l’identité étrangère (et je dis bien fantasme, c’est-à-dire pulsion, qui n’implique pas toujours action) explique bien l’extrême perversion qui imprègne la totalité des administrations allemandes en charge de l’enfance (Justice, Jugendamt, état-civil, avocats, psychologues, éducateurs) lorsqu’elles sont confrontées à des étrangers. Les Français sont largement concernés par leur proximité géographique, mais ils ne sont bien sûr pas les seuls : les parents Polonais aussi sont systématiquement discriminés.(http://www.europarl.europa.eu/sides/get … anguage=FR).

- il existe des centaines de témoignages concordant sur l’attitude totalitaire et deshumanisée des juges, des psychologues et des assistantes sociales en Allemagne lorsqu’il s’agit d’éliminer définitivement l’identité et la culture non-allemande d’un enfant, notamment en effaçant tout lien avec sa famille étrangère. Ce processus de kidnapping n’est pas différent de ce qui se passait dans les années 1930 à 1945. Il est inutile de fermer les yeux sur ce processus, certes déstabilisant mais parfaitement réel. Le livre de Catherine Laylle « Deux enfants derrière un mur » (Editions Fixot, Paris), le décrivait parfaitement dès 1996.

- la loi allemande ne permet pas à un père hors mariage d’accéder à l’autorité parentale, ni de donner son nom à l’enfant. Seul un homme y est parvenu dans l’histoire de l’Allemagne ! (Zaunegger, l’auteur du recours en Cour constitutionnelle en août 2010). Or supprimer l’identité paternelle d’un enfant, qu’il soit allemand ou étranger, en est un acte hautement criminel car il revient à créer toutes les conditions pour le rendre plus tard psychotique. C’est ce que Lacan et ses successeurs ont bien décrit sous l’appellation de la « forclusion du nom-du-père ». Le nom-du-père est ici entendu au sens psychanalytique, c’est-à-dire totue dénomination de la figure paternelle, laquelle peut être aussi une autre personne si le père n’existe pas. Mais quand il existe, retirer à l’enfant le nom du père (ou lui interdire l’accès par retrait de l’autorité parentale) pour lui donner celui de la mère revient à interdire à l’enfant d’accéder à la séparation d’avec sa mère dans la période entre 2 ans et 6 ans. Cela lui interdit par conséquent d’accéder à lui-même, car il ne peut alors pas intégrer sa propre identité. La loi allemande est donc en ce sens une loi criminelle, en ce qu’elle fait de tous les enfants nés hors mariage des psychotiques en puissance. Si tous ne le seront pas officiellement, la très grande majorité deviennent des individus à personnalité pathologique, de type border-line.

jean luc1

Je trouve regrettable que des journalistes français du nouvel obst reprochent à l'Allemagne son passé nazi.Que tu le veuille ou non l'Allemagne est un pays démocratique.
Maintenant venant à la jungendamt,j'y suis très hostile son action est négatif ,cet organisme est toujours régit par le principe pour la femme des trois KKK (Kindres,kuche,kirchen)enfants,cuisine,église, hors ce système à voler en éclats puisque 70% des femmes travaillent maintenant en Allemagne .Dans 90% des cas la garde des enfants va à la mère même si elle s'en occupe pas, tout ça au nom de l’intérêt supérieure de l'enfant.
plus la jungendamt a d`enfant plus elle touche de l'argent.
J´ai connaissance d'un divorce car j’y étais mêler malgré moi , son rôle a été de jeter de l'huile sur le feu.
Autre chose il faut savoir que le concubinage n'est pas reconnue en Allemagne, en conséquence le père doit remplir une reconnaissance de paternité si la mère y consent, autrement il est rien, même si l'enfant a ete conçu et est née à l’étranger.Celas l'est encore plus si c'est en Allemagne.Le père n'a aucun droit sur l'enfant.

jean  luc ;)

forturic

Affirmer que l'Allemagne est un pays démocratique alors qu'elle viole systématiquement le droit européen et vole les enfants des pays voisins pour les détruire psychiquement pose problème.
L'Allemagne est certes un Etat avec des institutions démocratiques, mais cela ne préjuge pas du niveau de démocratie de sa population. La réalité est que le mot démocratie en Allemagne n'est pas du tout le même sens qu'ailleurs en Europe et dans le monde.
Depuis le début du moyen-âge, compte-tenu de la structure anthropologique de sa population et de son histoire, l'Allemagne n'a jamais reconnu d'autre droit que le sien propre. Or le droit international et européen représente aujourd'hui une norme morale qui s'impose à tous. La cour de Karlsruhe n'a jamais cessé de rappeler qu'elle rejette cette norme morale, dans ses arrêts Solange I et II, dans son rejet du traité de Lisbonne (arrêt du 30 juin 2009) et très récemment concernant les plans de sauvetage financiers en Europe (9 juillet 2011). En outre la Cour de Karlsruhe a toujours affirmé qu'elle ne reconnaissait pas de légitimité à la cour européenne des droits de l'homme (Fercot Céline , « Les effets des arrêts de la Cour européenne des droits de l'homme en droit allemand. Analyse de la jurisprudence récente de la Cour de Karlsruhe et regards sur le droit français » , Revue française de droit constitutionnel, 2007/3 n° 71, p. 639-665.)

Les journalistes français ne reprochent pas à l'Allemagne son passé nazi, au contraire ils attirent à juste titre l'attention du public français sur un passé encore très récent qui est maintenant totalement occulté dans la relation franco-allemande. L'Allemagne a élaboré d'elle-même, en toute liberté, la société la plus totalitaire que la Terre ait jamais porté, il y a encore 65 ans, et ce totalitarisme qui a touché l'écrasante majorité de la société ne s'est pas effacé comme par enchantement après la guerre. Il ne suffit pas de créer des institutions démocratiques pour démocratiser la société. Il s'agit d'un très long processus actif et d'une réflexion approfondie, qui est demeurée embryonnaire en Allemagne. Les historiens sont unanimes à ce sujet (G.Bossuat, Helène Miard-Delacroix, René Pleven, Hans Heigert, Hermann Lübbe, Eric Rousset, Pierre Gerbet, Peter Lang, René Giraud).

Il ne faut jamais oublier que l'Allemagne a porté à sa tête plusieurs hauts dignitaires nazis depuis 1945: l’ancien président de l’Allemagne de l’Ouest, Heinrich Lübke, qui fut impliqué dans la construction et la direction des camps de concentration ; l’ancien Premier ministre du land de Bade-Wurtemberg, Hans Filbinger, qui en tant que juge de la marine de guerre nazie s’ingénia à proclamer des sentences de mort jusqu’aux tout derniers jours de la guerre ; l’ancien chancelier de l’Allemagne de l’Ouest, Kurt Kiesinger, qui avait occupé de très hautes fonctions au sein du ministère des Affaires étrangères d’Hitler ; Hans Globke, sous-secrétaire à la chancellerie fédérale et le plus proche conseiller de Konrad Adenauer, et qui avait été responsable de l’élaboration des lois racistes de Nuremberg en sa qualité de haut fonctionnaire au sein du département de l’Intérieur du Troisième Reich ; et aussi – un personnage moins connu de bon nombre de gens – Theodor Maunz, le principal juriste administratif des nazis, qui rédigea une part substantielle des commentaires de la constitution allemande de l’après-guerre.

Les hauts responsables nazis qui organisèrent et supervisèrent le kidnapping par l'Allemagne de près d'un million d'enfants dans toute l'Europe (Max Sollmann, Gregor Hebner, Gunther Tesch, Inge Viermetz) n'ont jamais été sanctionnés après la guerre. La façon dont les administrations allemandes organisent efficacement ecore aujourd'hui le kidnapping puis le meurtre identitaire des enfants étrangers amenés à séjourner en Allemagne montre à quel point la mentalité des criminels du Lebensborn imprègne encore profondément la justice familiale et les services sociaux en Allemagne.
Les lois allemandes sur la paternité relèvent de la même logique: tout est fait pour écarter le père et favoriser la destruction psychique de l'enfant qui grandira sans père. Quelques journaux allemands ont déjà parlé de la Vaterlose Gesellschaft, mais ils ne mesurent pas à quel point la société allemande se rend psychiatriquement malade en interdisant aux enfants l'accès à leur père. L'explication de la démographie allemande n'est pas ailleurs: seule une société qui a totalement perdu confiance en elle peut à ce point refuser de faire des enfants. C'est (avec le Japon) un cas unique dans le monde (voir les statistiques de l'office européen Eurostat publiées le 28.7.2011).

jean luc1

je pense en Matière de démocratie la France n'a pas de leçon à donner aux autre.Chaque pays á un coté noir pour L'Allemagne c'est le  3eme reich, pour la France c'est Vichy,l'aire colonial, la guerre d'Algérie.
Nombre de responsable politique français d’après guerre ,avait des liens très fort avec Pétain,comme François Mitterrand par ex décoré de la franquiste par Pétain lui même,rallier à la résistance en 43 quand la victoire allier est acquise, il a protéger Bousquet ,le chef de la police de Vichy pendant prés de quarante ans. Papon ministre de la 5eme réplublique,mais aussi secrétaire générale de la préfecture de la Gironde sous Vichy, responsable de la déportation de milliers de juif français, et combien d'autre encore.
Aucun haut fonctionnaires français n'a été jugé pour la déportation de 500 000 être humain. La répression de la manifestation de RÈTIF en Algérie le 8mai 1945 a fait entre 10 000 et 45 000 mort en quelques jour.La guerre d'Algérie a fait 1 million de mort chez les algériens la plupart par l’armée française au cour de razzia dans les villages , et je parle pas de la torture érigé en système de gouvernement avec des dizaines de milliers de morts  dans cet affaire DE GAULLE a du sang jusqu au cou. Ce genre de stratégie ne sert en rien l’intérêt des enfants , D’ailleurs je me demande si c'est ton principale soucis , et si même que tu a vécu en Allemagne.

La société allemande a beaucoup changer , elle n´est pas ce que tu pense,les loi évoluent beaucoup plus lentement, le problème c'est plus les politique qui sont très conservateurs que les allemands eux même.
je dit que ce qui se passe avec ses enfants ce n'est pas normal, mais ton attitude agressive ne sert pas leurs causes aucun allemand ne t’écouteras, et c'est eux que tu doit convaincre .
La chute de la démographie en Allemagne a d'autres causes que celle que tu cite, C'est tout simplement le manque de place dans les crèches,
l'organisation des heures d'ouverture des maternelles , et des écoles 1/3 seulement des écoles ont une cantine et peuvent accueillir les enfants l’après midi, un des deux parents doit s'arrêter de travailler pour élever les enfants.C´est pour cet raison que les femmes  ont peu d'enfants .

bonne soirée

jean  luc

jean luc1

Pour ma part je croit pas à la théorie de races supérieures, ou inférieure,pas plus á celles qui sont destinés a généré des dictatures, et d'autres des démogracies .D' autant plus , si la jungendamt avait connaissances de telle déclaration de ta part elle pourrais justicier pleinement sa position sur son action auprès de l’opinion publique allemand .
bonne soirée

   jean  luc  ;)

jean luc1

J´ai trouver 2 vidéo intéressante sur le sujet
http://www.youtube.com/watch?v=usxFiuQg … re=relatedhttp://video.google.de/videoplay?docid= … 0659230195

je vous prévient les mots que vous pouvez entendre sont dur, les étrangers ,mais aussi les allemands sont victimes de la jungendamt.

jean  luc ;)

forturic

La réalité de la parentalité allemande décrite par les parents Français victimes
Un certain nombre de cas d’enfants français enlevés et maintenus illégalement chez leur parent allemand ont été publiés ces quinze dernières années. Le plus connu est celui des deux garçons de Catherine Laylle, Française vivant à Londres, retenus illégalement à partir de 1994 par leur père allemand à l’issue d’un droit de visite en Allemagne : leur mère n’a pu les revoir de façon prolongée qu’après plus de huit ans de procédure, mais n’a jamais pu obtenir qu’ils reviennent habiter avec elle, malgré l’appui de son mari ambassadeur britannique aux Etats-Unis et l’intervention de Bill et Hillary Clinton en 1998. Elle a publié son histoire dans un livre paru en 1996 (1).

Un rapport de 2007 de la commission des pétitions du Parlement Européen a également recensé un certain nombre de ces points (3). Il se focalise en particulier sur l’interdiction d’usage de sa langue nationale par le parent étranger soumis abusivement aux rencontres médiatisées exclusives avec son enfant en Allemagne.
De nombreux parents polonais avaient déposé des pétitions en ce sens. Ce rapport est à ce jour le seul document officiel rencensant les pratiques institutionnelles de destruction du lien parent-enfant pour les étrangers en Allemagne.

Plus récemment, un certain nombre de parents d’enfants enlevés en Allemagne ont créé des blogs et sites Internet (2), offrant un panel de situations variées déclinant toutes les mêmes mécanismes. Il est intéressant de constater le relatif équilibre du nombre de pères et de mères français aliénés, montrant que le puissant ethnocentrisme allemand s’exerce avant tout contre l’étranger, avant de hiéarchiser les éléments internes au groupe, par le privilège exclusif de la mère écartant définitivement le père lors d’une séparation de couple avec enfant.

Le livre de C.Laylle est les blogs parentaux livrent une description exhaustive et très précise des mécanismes diaboliques du phénomène de destruction lente et implacable du parent étranger par le «groupe allemand » hautement soudé que réalisent le parent aliénant, son entourage familial, les avocats, l’administration judiciaire, les services sociaux, l’école, les experts psychologues et les médecins ou pédiatres traitants. Ils décrivent le discours stéréotypé d’embrigadement intellectuel de chacun des intervenants du « groupe allemand »: il s’agit de la définition très précise d’un fonctionnement sectaire, telle qu’elle est mentionnée dans les ouvrages de référence sur le domaine en France (4)(5) : « la mise en oeuvre de pressions ou de techniques ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d’exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, à l'origine de dommages pour cette personne ou pour la société ».


L’univers de la famille maintenu en vase clos par les administrations en Allemagne
Dans tout groupe sectaire, l'identité familiale est attaquée. Dans certaines sectes, les droits des parents sur les enfants sont niés. Par exemple, « La Famille », nouvelle incarnation des Enfants de Dieu, forme des groupes de 3 à 20 enfants, sans lien direct avec les adultes qui en ont la charge. La Citadelle fait vivre parents et enfants en vase clos. De même les instances administratives allemandes en charge de la famille maintiennent parents et enfants en vase clos, employant notamment un jargon psycho-juridique qui leur est propre, déconnecté de toute réalité scientifique mais définissant pour les personnes manipulées les contours rassurants d’une idéologie d’apparence construite : « intérêt supérieur de l’enfant », « maintien dans l’environnement familier » (pour justifier l’interdiction de quitter le territoire), « protection de l’enfant contre les violences familiales » pour expliquer l’exclusion d’un parent.

Dans le rapport de la mission intergouvernemental de 2008 (5), il est souvent rappelé que les sectes qui se parent du terme d'Eglise, ou qui mettent en avant au quotidien une forme de pensée religieuse, ne peuvent avoir des comportements aussi caricaturaux. Elles sont intégrées à la vie quotidienne et les enfants du groupe ne sont pas coupés du monde extérieur. Le risque n'est plus alors la déscolarisation, mais la perversion de ce qui est appris à l'école. Les connaissances sont triées, et les valeurs de la société sont dénigrées. Ces groupes sectaires installés multiplient volontiers les associations écrans, se servant à la fois du parascolaire et des centres de formation. Des garderies, des crèches, des centres d'enfants ou des cours du soir proposent des enseignements parfois très prosélytes mais rarement présentés comme tels. Le piège le plus fréquent est l'alibi humanitaire, dont beaucoup de sectes se prévalent. Elles s'abritent derrière des associations comme l'Unicef ou la Croix-Rouge.


La dérive autarcique massive des services sociaux en Allemagne
Ces fonctionnements de dérives sectaires « officielles » en France est exacement superposable à l’univers de la famille en Allemagne tel que l’on peut le découvrir à travers le témoignage des parents d’enfants français retenus en Allemagne. Il est intéressant de constater à cet égard que les associations caritatives et/ou humanitaires sont très développées en Allemagne, et qu’une grande partie de l’aide sociale d’Etat leur est confiée, sous la forme de subventions. L’aide sociale est en effet très décentralisée en Allemagne, confiée sur le principe de subsidiarité à la plus petite entité locale, en l’occurrence les communes, sans aucun contrôle sur les activités menées ni l’organisation interne – il revient aux tribunaux de sanctionner les éventuelles infractions.

Or la loi allemande du 5 août 1964 relative aux associations (Vereingesetz), qui organise les règles procédurales de l’interdiction, prévue par la Constitution (art 9 §2), des associations dont les buts ou l’activité sont dirigés contre l’ordre constitutionnel, exclut très clairement de son champ d’application (§ 2 al. 2 chiffre 3 ) les communautés religieuses et philosophiques. Il est donc possible que de telles communautés déclarées comme associations existent malgré l’inconstitutionnalité de leurs actions et de leur doctrine, sans que la procédure d’interdiction de la loi de 1964 ne puisse leur être appliquée (6). Cette loi en vigueur depuis maintenant près de 50 ans n’est pas sans poser problème concernant les sectes, et il est probable qu’elle ait favorisé – et continue à le faire - non seulement la dérive sectaire d’associations déjà installées, mais également l’établissement de groupes sectaires en quête de respectabilité et de financement.

Cet humanitarisme est prétexte à un prosélytisme d'autant plus redoutable que les gens qui s'y livrent n'ont que rarement le sentiment de tromper leur clientèle. Le phénomène est bien connu de la lutte contre les dérive sectaires en France : c’est notamment le cas des aides psychologiques proposées par les associations caritatives à tendance sectaire, moyen d’encourager les fidèles potentiels à livrer leurs difficultés, et progressivement à entrer dans une relation de confiance, puis de dépendance avec le thérapeute à mesure que celui-ci pénètre l’intimité de leur être.

L’emprise potentielle en Allemagne des dérives sectaires et des « groupes de pressions psychologiques » selon la terminologie locale (« Psychogruppen ») est d’autant plus importante que la mentalité générale tend à freiner farouchement les moyens de lutte, sous la forme d’interminables débats juridiques : « La Cour constitutionnelle allemande a rappelé que sur la base de l’article 4 GG, toute violation de la liberté de culte devait être empêchée. Une telle violation apparaît dès qu’une personne porte atteinte à la volonté d’autrui. Tout en constatant l’importance des mouvements sectaires et leurs dérives, la commission d’enquête rappelle que l’article 4 GG ne contient aucune disposition constitutionnelle portant restriction à la liberté de religion ».  « Le problème du financement public de cellules privées d’information et de prévention contre les sectes a été longtemps controversé en Allemagne. Le Tribunal administratif fédéral a tranché en 1992 en considérant que l’Etat porte atteinte aux droits fondamentaux des mouvements religieux, pseudo-religieux ou philosophiques, lorsqu’il soutient de telles initiatives privées ; un financement public ne saurait être accordé que s’il repose sur une loi spéciale qui encadre et pose des limites à l’activité de ces cellules privées, afin qu’elles ne dépassent pas la frontière de la diffamation. Mais dans un communiqué du 9 octobre 1997, le Ministère fédéral pour la famille, les personnes âgées, les femmes et la jeunesse semble exclure la possibilité, sur la base de motifs constitutionnels, de créer un fondement légal à un financement par l’Etat d’institutions privées ouvertement opposées au phénomène sectaire » (6).

Pour un non-allemand, cette dimension inconsciente sectaire de la société allemande est foncièrement insaisissable. Fondamentalement, l’enfant appartient à la communauté, et son lien avec elle est très largement prioritaire sur son lien avec ses parents. Il s’agit là bien sûr d’une tendance générale, qui sans doute s’affaiblit à mesure que la société se mondialise, se déplace et se mélange. Il est probable que les jeunes Allemands de maintenant ont, à âge comparable, une dimension comportementale sectaire plus faible qu’il y a vingt ans. Cependant, parce que l’inconscient collectif évolue lentement, et d’autant plus dans une société hautement différentialiste comme l’Allemagne où le taux de mariages mixtes avec les populations immigrées reste parmi les plus faibles d’Europe28, cette dimension comportementale sectaire
demeure à un niveau suffisant pour générer des comportements régressifs de masse dans certaines situations critiques comme la gestion juridique d’une séparation de couple binational avec enfant.


Risques du fonctionnement sectaire pour l’enfant
Il est bien établi, concernant les groupes à tendance sectaire, que lorsqu'il n'est pas physique, le risque pour les enfants est psychologique. L'enfant est mis hors du circuit social - crèches, écoles, activités culturelles, clubs de sport, ou toute occasion de rencontre avec d'autres enfants. Une frontière est créée entre l'intérieur  de la secte et l'extérieur. Or, dans la secte, tout est obligatoire, alors que la société extérieure ne fixe que des interdits. L'esprit critique de l'enfant, qui n'a accès qu'à une seule source d'information, n'est pas stimulé.

Les enfants n'apprennent pas la diversité ni la pluralité de la société. Ils grandissent en vase clos, aprennent à raisonner en vase clos, et une fois adultes, ne sont pas armés pour faire face à la difficulté: ils tendent alors à réagir de manière stéréotypée, sans pouvoir intégrer une quantité importante de données pour en déduire un comportement adapté. L’autarcie mentale qui entoure encore aujourd’hui l’éducation des enfants en Allemagne est une survivance de siècles de tradition familiale ultra-autoritaire. Une vertigineuse entrée dans ce phénomène est fournie par la description par Catherine Laylle, dans son livre, de l’état dans lequel elle retrouve en octobre 1994, pour la première fois depuis leur enlèvement par le père allemand, ses deux garçons de sept et neuf ans, déjà sous emprise en seulement quatre mois : « Je me penche, je m’agenouille vers mon fils, les mains tendues. Il me repousse à coups de poing violents. Son air haineux me pétrifie. Et ces coups de poing, de pied, pour repousser sa mère ! » (1)

_________________________________________________
(1) Catherine Laylle-Meyer, Deux enfants derrière un mur, Ed.Fixot, Paris, 1996 (pour la traduction française ; langue originale anglaise).

(2) www.erwinetastrid.fr, lebensborn2-mafille-maeliss.skynetblogs.be/tag/jugendamt,
antoinekailouisghislain.skynetblogs.be, elvin.over-blog.com, manipulateurs-predateurs.blogs.nouvelobs.com,
elliotetaimeeassociation.wordpress.com, lespetitesmarionnettes.over-blog.fr.

(3) Parlement européen, commission des pétitions, Document de travail concernant les allégations de mesures discriminatoires et arbitraires prises par les autorités en charge de la jeunesse dans certains États membres, en particulier par le Jugendamt en Allemagne. 28 janvier 2009 (disponible sur le site internet du parlement européen).

(4) Rapport 2006 de l'Assemblée nationale sur les dérives sectaires : http://www.assemblee-nationale.fr/12/pd … apport.pdf

(5) Rapport 2008 de la mission intergouvernementale de lutte contre les dérives sectaires :
http://www.miviludes.gouv.fr/IMG/pdf/gu … plet-2.pdf

(6) Rapport de la Commission d'enquête "Sectes et Groupes psychologiques", présidée par M. Schätzle, 29 mai 1998, traduit et commenté par Juriscope, 1998

jean luc1

je vois pas le lien entre les enfants que tu prêtent défendre , et les secte .A moins que l'Allemagne ne soit qu'une vaste secte qui n'obéit qu'a un führer . je ne suis pas favorable à la jungenamt loin s'en faut , mais de là à parler de secte ,ce que je peut d'assurer c'est que mes enfants sont plus ouvert que les français que je trouve coincé  .
Par contre je trouve que tu as raisons lorsque l' Allemagne  ne respecte pas les lois , et les accords internationaux pour ces enfants donc en locurance , c'est malheureusement le cas .Mais je me dissocie de toutes interprétations concernant les races , sectes , etc ,etc,moi je m'en tient au fait , et rien d'autre .J'ai lu quelque uns de tes liens , mais je n’ai jamais vu de lien avec des organisations allemandes ,as tu des appuis d'organisation allemande , oui ou non, une réponse s'impose et si c'est oui lesquelles, merci de me répondre

jean  luc  ;)

forturic

Il n'a jamais été question ici de germanophobie primaire, mais de mise en corrélation de l'assimilation forcée des enfants binationaux en Allemagne avec des phénomènes historiques et anthropologiques connus, sur lesquels il existe un large consensus scientifique. Pour les mêmes raisons, le risque de dérive sectaire et le niveau de comportements sectaires (qui existent dans toute société) sont plus élevés en Allemagne qu'ailleurs. En effet, le modèle de famille souche qui est l'expression à l'échelle de la société de la structure psychanalytique moyenne de l'individu allemand, combine une assez forte tendance à l'obéissance (empreinte forte de l'autorité), avec une inclinaison psychique à considérer l'individu vivant hors du groupe national comme inférieur (ce que les chercheurs appellent le différentialisme). Or ce sont bien ces deux dimensions qui définissent la tendance sectaire. Il faut insister ici sur le terme de tendance moyenne: il s'agit bien là de tendances émotionnelles (donc inconscientes) distribuées de manière aléatoire sur un ensemble d'individu, et dont la valeur moyenne en Allemagne penche plus fortement qu'ailleurs vers la dimension autorité/inégalité des individus.  Il n’est pas question de groupes sectaires définis. Les organismes de lutte contre les sectes (cités dans l’article précédent) parlent d’ailleurs clairement de tendance sectaire, et ne limitent pas ce phénomène à un nombre défini d’organisations recensées.

Preuve de l'absence de toute germanophobie dans la notion de famille souche, cette structure n'existe pas (et loin s'en faut) qu'en Allemagne, et les peuples où elle a été retrouvée à travers l'histoire sont pour la plupart inventeurs de brillantes sociétés et porteurs d'avancées majeures dans l'évolution du monde: Israël dès la haute Antiquité (l'Ancien Testament est l'histoire symbolique type d'un peuple souche, avec l'inégalité des frères devant Dieu, et l'autorité très forte du Dieu unique), l'Athène antique (peuple hautement guerrier, inventeur de la démocratie), le Japon depuis le haut Moyen-Âge, et dès l'époque des grandes invasions, les peuples Germains dans leur ensemble. La façon dont la famille souche s'est établie et a évolué en Europe n'est pas clairement connue. L'Allemagne carolingienne était majoritairement de famille nucléaire (notamment les régions romanisée), et les premières données anthropologiques disponibles permettent de dater l'apparition de l'actuelle famille souche dans les territoires européen de langue allemande (et scandinaves) au début du Moyen-Âge (voir E.Todd : l’origine des systèmes familiaux, Editions Gallimard, Paris, 2011).

La famille souche jusqu’à l’industrialisation était le prototype de la société dite sectaire au sens littéral du terme, sans valeur péjorative : un ensemble pacifique de petites communautés agricoles propriétaires de leur terres, parcimonieuses et hautement prospères, convaincues de leur supériorité sur le reste de la planète et refermées sur elle-même, faisant régner l’ordre par une éducation autoritaire et autarcique. Historiquement d’ailleurs, les grandes tendances sectaires à travers l’histoire sont toutes nées de régions de famille souche : sociétés chrétiennes secrètes en israël durant l’Antiquité, innombrables églises protestantes dans les régions des Etats-Unis marquées par la famille souche irlandaise ou juive… Les Mormons, les Témoins de Jehovah sont la caricature de la secte moderne et intégrée, issue de la famille souche de l’Amérique du centre et de l’ouest.
Ces caractéristiques des sociétés souche sont loin de n’avoir que des défauts : la Scandinavie, l’Allemagne, le Japon et Israël qui sont les principales sociétés souche au monde (voir la carte : http://3.bp.blogspot.com/-MtogVVcH58w/T … kH_bofojs/), ont été et sont toujours des sociétés hautement éduquées, génératrices de progrès scientifique, sachant construire des économies stables et puissantes, et s’organiser de manière démocratique. La tendance sectaire (au sens littéral, encore une fois) de la famille souche à l’échelle de la société est loin de n’avoir que des défauts !

Elle a cependant un inconvénient majeur : les relations d’inégalité et d’autorité combinées sont très hautement anxiogènes pour l’individu, et dans les périodes historiques de transition idéologique, ce type de société verse facilement dans la folie collective : grande peur satanique du XVIe siècle où l’Allemagne du Sud brûlait des vieilles femmes innocentes accusées de sorcellerie, naissance du nazisme dans la grande désorientation idéologique sociale née de l’industrialisation, dégénérescence autoritaire du Japon durant la 2e guerre mondiale.

Aujourd’hui, l’Allemagne et le japon ont trouvé leur équilibre, l’une dans une expansion européenne où elle peut exprimer sa pulsion de supériorité, l’autre dans le repli identitaire et la domination économique depuis son île. Nul hasard à ce que l’on retrouve exactement les mêmes choix économiques, politiques et sociaux dans ces deux pays aussi éloignés géographiquement : peur panique de l’inflation et de l’interventionnisme d’Etat dans la monétisation, obsession de la propreté, faible taux de criminalité… la famille souche a ses raisons que la raison ne connaît point.
Toutefois l’anxiété profonde née de la combinaison autorité/inégalité n’a pas disparu dans ces deux pays, et se manifeste par une violence non plus centrifuge, mais dirigée contre soi-même : de tous les pays industrialisés hors période de transition démocratique (ce qui exclut le cas particulier des pays d’Europe de l’Est), l’Allemagne et le Japon ont de très loin les natalités le plus catastrophiques. Il s’agit rien moins que du suicide collectif de sociétés prises à la gorge par une angoisse fondatrice, incompréhensible à leurs yeux, et qu’elles n’osent plus (en raison de leur passé récent) exprimer contre l’extérieur. Les poncifs journalistiques sur les politiques d’incitation de la natalité en Allemagne sont absolument navrants. Ces politiques ont un effet infime sur la natalité, et leur absence est bien davantage la conséquence que la cause du refus des Allemands de donner la vie.

Le meurtre identitaire des enfants binationaux, qui n’est pas une exclusivité allemande mais une spécialité germano-japonaise (Autriche, Rép.Tchèque, Suisse et Israël sont aussi de la partie, à leur faible échelle démographique), est un micro-symptôme parmi d’autres de l’extraordinaire violence psychique qui anime aujourd’hui ces sociétés.

Rien d’étonnant à ce que les Allemands se refusent farouchement à l’idée que leur société sombre dans la schizophrénie collective : il n’y a pas plus ignorant d’une maladie psychotique que le malade lui-même…

jean luc1

forturic a écrit:

Il n'a jamais été question ici de germanophobie primaire, mais de mise en corrélation de l'assimilation forcée des enfants binationaux en Allemagne avec des phénomènes historiques et anthropologiques connus, sur lesquels il existe un large consensus scientifique.    Tu dit moi les quelles, celle sur la soit disant race aryenne , par exemple , si c`est ce genre de pseudoscientifiques , c`est dangereux comme téorie                                                                                                                                  Pour les mêmes raisons, le risque de dérive sectaire et le niveau de comportements sectaires (qui existent dans toute société) sont plus élevés en Allemagne qu'ailleurs.   Comment tu peut affirmer ça sur quelle base          En effet, le modèle de famille souche qui est l'expression à l'échelle de la société de la structure psychanalytique moyenne de l'individu allemand, combine une assez forte tendance à l'obéissance (empreinte forte de l'autorité),  il est possible qu'an Allemagne , on respecte plus la loi, mais en matière d`éducation , et de respect à l’obéissance des enfants envers leurs parents ,les français sont des champions , l#éducation á la française est extrêmement dur         avec une inclinaison psychique à considérer l'individu vivant hors du groupe national comme inférieur (ce que les chercheurs appellent le différentialisme) Attention lá je donne un autre nom LE RACISME ,parler de race inférieur est condamnable par les tribunaux en Allemagne, ici on rigole pas avec ça .                                                            Or ce sont bien ces deux dimensions qui définissent la tendance sectaire. Il faut insister ici sur le terme de tendance moyenne: il s'agit bien là de tendances émotionnelles (donc inconscientes) distribuées de manière aléatoire sur un ensemble d'individu, et dont la valeur moyenne en Allemagne penche plus fortement qu'ailleurs vers la dimension autorité/inégalité des individus.  Il n’est pas question de groupes sectaires définis. Les organismes de lutte contre les sectes (cités dans l’article précédent) parlent d’ailleurs clairement de tendance sectaire, et ne limitent pas ce phénomène à un nombre défini d’organisations recensées.
on ne naît pas sectaire , on le devient , il y a pas de race sectaire plus que d'autre ,quand 18%  des  français qui votent pour partis raciste , sectaire comme le FN, les allemands eux sont choqué , c`est croire que ta définition correspond plus á la France , qu'a L´Allemagne

Preuve de l'absence de toute germanophobie dans la notion de famille souche, cette structure n'existe pas (et loin s'en faut) qu'en Allemagne, et les peuples où elle a été retrouvée à travers l'histoire sont pour la plupart inventeurs de brillantes sociétés et porteurs d'avancées majeures dans l'évolution du monde: Israël dès la haute Antiquité (l'Ancien Testament est l'histoire symbolique type d'un peuple souche, avec l'inégalité des frères devant Dieu, et l'autorité très forte du Dieu unique), l'Athène antique (peuple hautement guerrier, inventeur de la démocratie), le Japon depuis le haut Moyen-Âge, et dès l'époque des grandes invasions, les peuples Germains dans leur ensemble. La façon dont la famille souche s'est établie et a évolué en Europe n'est pas clairement connue. L'Allemagne carolingienne était majoritairement de famille nucléaire (notamment les régions romanisée), et les premières données anthropologiques disponibles permettent de dater l'apparition de l'actuelle famille souche dans les territoires européen de langue allemande (et scandinaves) au début du Moyen-Âge (voir E.Todd : l’origine des systèmes familiaux, Editions Gallimard, Paris, 2011).
Tient ça t' arrange , de séparer Charlemagne , voilá un roi bien français ,pour toi c`est après que le sectarisme est venu, le problème est que les allemands ont fait leur unités que très tardivement , car il y avait pas d' autorités suprême

La famille souche jusqu’à l’industrialisation était le prototype de la société dite sectaire au sens littéral du terme, sans valeur péjorative : un ensemble pacifique de petites communautés agricoles propriétaires de leur terres, parcimonieuses et hautement prospères, convaincues de leur supériorité sur le reste de la planète et refermées sur elle-même, faisant régner l’ordre par une éducation autoritaire et autarcique. Historiquement d’ailleurs, les grandes tendances sectaires à travers l’histoire sont toutes nées de régions de famille souche : sociétés chrétiennes secrètes en israël durant l’Antiquité, innombrables églises protestantes dans les régions des Etats-Unis marquées par la famille souche irlandaise ou juive… Les Mormons, les Témoins de Jehovah sont la caricature de la secte moderne et intégrée, issue de la famille souche de l’Amérique du centre et de l’ouest.
Ces caractéristiques des sociétés souche sont loin de n’avoir que des défauts : la Scandinavie, l’Allemagne, le Japon et Israël qui sont les principales sociétés souche au monde (voir la carte : http://3.bp.blogspot.com/-MtogVVcH58w/T … kH_bofojs/), ont été et sont toujours des sociétés hautement éduquées, génératrices de progrès scientifique, sachant construire des économies stables et puissantes, et s’organiser de manière démocratique. La tendance sectaire (au sens littéral, encore une fois) de la famille souche à l’échelle de la société est loin de n’avoir que des défauts !

Elle a cependant un inconvénient majeur : les relations d’inégalité et d’autorité combinées sont très hautement anxiogènes pour l’individu, et dans les périodes historiques de transition idéologique, ce type de société verse facilement dans la folie collective : grande peur satanique du XVIe siècle où l’Allemagne du Sud brûlait des vieilles femmes innocentes accusées de sorcellerie, naissance du nazisme dans la grande désorientation idéologique sociale née de l’industrialisation, dégénérescence autoritaire du Japon durant la 2e guerre mondiale.                                                  Je pense que tu a pas entendu parler de l'inquisition qui était l'œuvre de l’église catholique dans toute l’Europe, elle s´est livrée á une terreur apostololique , notablement envers  Jan hus en Bohême sur ordre de Rome. Quand à la naissance du nazisme ton affirmation est fausse ,c`est la grande crise de 1929, qui a poussait des millions de gens dans le chômage, et la misère , les premiers nazis ont été recruté dans les chômeurs   

Aujourd’hui, l’Allemagne et le japon ont trouvé leur équilibre, l’une dans une expansion européenne où elle peut exprimer sa pulsion de supériorité, l’autre dans le repli identitaire et la domination économique depuis son île. Nul hasard à ce que l’on retrouve exactement les mêmes choix économiques, politiques et sociaux dans ces deux pays aussi éloignés géographiquement : peur panique de l’inflation et de l’interventionnisme d’Etat dans la monétisation, obsession de la propreté, faible taux de criminalité… la famille souche a ses raisons que la raison ne connaît point.   Ce sont des thème chère a E.TODD Parlon de ce monsieur , il etais dans les année 80 membre des jeunesse communiste , puis du partis communiste ,organisation qui prônait le centralisme demogratique , c'est a dire l’obéissance absolu au parti, à l’autorité du partis  , et là je sait de quoi je parle, j’étais responsable du partis en question,  comme   tous les communistes de ce temps lá,il voyait les allemands comme des nazis , il est contre l’euro ,enfin bref tous ce que fait L’Allemagne c'est nul
Toutefois l’anxiété profonde née de la combinaison autorité/inégalité n’a pas disparu dans ces deux pays, et se manifeste par une violence non plus centrifuge, mais dirigée contre soi-même : de tous les pays industrialisés hors période de transition démocratique (ce qui exclut le cas particulier des pays d’Europe de l’Est), l’Allemagne et le Japon ont de très loin les natalités le plus catastrophiques. Il s’agit rien moins que du suicide collectif de sociétés prises à la gorge par une angoisse fondatrice, incompréhensible à leurs yeux, et qu’elles n’osent plus (en raison de leur passé récent) exprimer contre l’extérieur. Les poncifs journalistiques sur les politiques d’incitation de la natalité en Allemagne sont absolument navrants. Ces politiques ont un effet infime sur la natalité, et leur absence est bien davantage la conséquence que la cause du refus des Allemands de donner la vie. Celas est dû à la mauvaise politique familiale  de l' Allemagne, par le manque de structure d'accueil des enfants , au prix exorbitant demandé aux familles lorsqu´il y a des places libre  400€ par mois, voir plus et par enfants pour un kripp groupe , alors que des millions de gens ont moins de 1000€ de salaire, rien a voir avec un quelconque suicide collectif 

Le meurtre identitaire des enfants binationaux, qui n’est pas une exclusivité allemande mais une spécialité germano-japonaise (Autriche, Rép.Tchèque, Suisse et Israël sont aussi de la partie, à leur faible échelle démographique), est un micro-symptôme parmi d’autres de l’extraordinaire violence psychique qui anime aujourd’hui ces sociétés.

Rien d’étonnant à ce que les Allemands se refusent farouchement à l’idée que leur société sombre dans la schizophrénie collective : il n’y a pas plus ignorant d’une maladie psychotique que le malade lui-même…


Si je comprend bien , il y a aucune organisation allemande qui vous soutient ,vu les thèses développé par toi , c' est tout á fait normal , pour changer les lois il faut le soutient de l’opinion publique allemande, c'est pour celas que des commentaires sont contre productif , et ne sert que les intérêts de la jungenamt  jean  luc

jean luc1

Je revient à l'origine du débat ,je tient à rappeler que notre forum est là pour aider et informer nos concitoyens.
Le parlement européen a été saisie du problème , une commission    s'est rendu en Allemagne, j'ai trouver un article du F A Z ,journal de référence en Allemagne, il est en allemand ,mais avec le traducteur automatique de google ,il vous donneras une bonne idée de l'article, je ne suis pas traducteur . http://www.faz.net/aktuell/politik/inla … 38622.html

bonne lecture

  jean  luc ;)

jean luc1

STRASBOURG (Parlement européen) - Parents divorcés: des députés européens épinglent l'AllemagneSTRASBOURG (Parlement européen) -                                                                         Parents privés de tout contact avec leurs enfants, droits de visite non respectés: le Parlement européen est saisi de plus de 120 pétitions dénonçant les procédures allemandes en matière de divorce et de garde d'enfants, notamment lorsqu'elles impliquent un parent étranger.

"Le nombre de sollicitations que nous recevons sur ce thème est faramineux. Il y a un problème structurel en Allemagne", estime l'eurodéputé français conservateur Philippe Boulland, qui avec cinq autres élus s'est rendu en novembre 2011 à Berlin dans le cadre d'une mission d'information consacrée à ces questions.

Lors d'une récente réunion de la commission des pétitions du Parlement, M. Boulland a résumé les dysfonctionnements qu'il a pu analyser au vu de tous les cas qui lui ont été soumis. La commission, a-t-il expliqué, va intervenir auprès du ministère allemand de la Famille pour lui demander de débloquer un certain nombre de cas caractérisés par une "entorse aux droits du citoyen".

Selon l'eurodéputé français, les problèmes surviennent souvent lorsque le parent non-allemand veut emmener l'enfant dans son pays, même pour une courte visite. Il est alors très aisé pour le parent allemand de s'adresser aux services de protection de l'enfance, le Jugendamt, et de leur affirmer, même sans preuve, que l'enfant risque d'être enlevé.

"C'est là que la machine infernale s'emballe", selon M. Boulland: le parent étranger se voit retirer son droit de garde ou de visite, sans même avoir été entendu par le juge et sans possibilité de faire appel, et peut ainsi perdre tout contact avec son enfant pendant de longues années.

C'est ce qui est arrivé à Marie Galimard-Geiss, venue manifester lundi devant le Parlement de Strasbourg. Avec d'autres mères confrontées au même problème, elle brandissait une pancarte proclamant "Libérez nos enfants".

Cette Française de 31 ans se bat depuis septembre 2010 pour revoir Astrid et Erwin, âgés aujourd'hui de 6 et 8 ans. Son erreur aux yeux des autorités allemandes: alors qu'elle vivait encore en Allemagne et qu'elle avait la garde de ses enfants, elle a manifesté l'intention de déménager à la frontière française. Son ex-mari l'a alors accusée de vouloir enlever les enfants en France, et la garde lui a été immédiatement retirée.

"Depuis, si je m'approche d'eux à la sortie de leur école, la maîtresse appelle la police", explique la Française, à qui la justice allemande réclame par ailleurs près de 500 euros de pension alimentaire par mois.

"On m'a proposé de voir mes enfants, mais uniquement dans les locaux du Jugendamt, en présence des fonctionnaires, et avec l'interdiction de leur parler français", déplore Marie Galimard-Geiss, qui après de nombreuses démarches entrevoit une lueur d'espoir: elle pourrait obtenir de passer les prochaines vacances de février avec sa fille.

Parmi la délégation d'eurodéputés venus aborder ces problèmes à Berlin, les deux élus allemands n'ont pas caché leurs réticences à voir leur pays ainsi montrés du doigt.

Les reproches à l'encontre de l'Allemagne relèvent d'une généralisation abusive, a ainsi plaidé le conservateur Rainer Wieland, qui réfute toute volonté systématique des tribunaux ou du Jugendamt de privilégier le parent allemand.

Mais la présidente de la mission, la socialiste bulgare Malinova Iotova, a relevé que seule l'Allemagne était visée par un grand nombre de pétitions concernant des divorces douloureux.

Pour la mère d'Astrid et Erwin, "il est temps que les autorités françaises cessent leur politique de l'autruche, et acceptent de considérer ce problème en face".
© 2012 AFP  20 minutes.fr  http://www.erwinetastrid.fr/

Ceci est mis pour information,celas concerne  30 000 couples franco-allemand, aussi je tient à rappeler que le forum est un lieu entraide pour les expatrier,mais pas un lieu de revendication, pour les personne qui aurais des problème de ce genre avec la justice familliale allemande, elle peuvent contacter l'association  erwin et astrid http://www.erwinetastrid.fr/

jean  luc ;)

jean luc1

En Allemagne, les enfants de couples binationaux divorcés auraient beaucoup de mal à garder contact avec leur parent de nationalité étrangère, selon un rapport très critique de la commission des pétitions du Parlement européen. Près de 120 pétitions accusent les services allemands de la protection de l’enfance, le Jugendamt, de faire de la discrimination envers le parent qui n’est pas allemand, dans le cadre d’une séparation. Les personnes pétitionnaires mettent en avant un dysfonctionnement du système et décrivent un processus récurrent : lors d’un divorce, le parent allemand saisit les services sociaux pour leur expliquer que son ex-conjoint compte emmener l’enfant hors du pays. Le Jugendamt interdit alors, en urgence, tout contact entre le parent étranger et l’enfant.
Pour sa défense, l’eurodéputé français conservateur Philippe Boulland déclare que cette instance juridique « fait du très bon travail dans 90 % des cas. Mais quand il y a une erreur, une machine infernale s’emballe et on ne peut pas revenir en arrière. Cela n’arrive qu’en Allemagne… »
Pour améliorer les procédures abusives en cas de divorce des couples mixtes, le rapport préconise certains changements. D’abord de permettre à chaque parent une audition devant le tribunal compétent, avant toute décision relative à la garde de l’enfant. Les instances allemandes sont aussi invitées à prévenir le parent étranger à l’avance en cas d’annulation de la rencontre prévue avec son enfant. Il ne serait plus aussi question de lui interdire de s’adresser à son enfant dans sa propre langue.source

jean luc1

Un père divorcé extradé en Allemagne.

Il devrait être jugé outre-Rhin pour non paiement de pension alimentaire à son ex-épouse allemande.

Lionel Gilberti devrait être jugé en Allemagne. La justice française a validé jeudi le mandat d'arrêt européen émis outre-Rhin à l'encontre de ce père de famille divorcé de son ex-épouse allemande. "La chambre de l'instruction de la cour d'appel de Colmar a dit que le mandat d'arrêt européen était légal", a indiqué Me Grégory Thuan, l'avocat du père de famille.
Condamné pour non paiement de pension ?

Le conseil a ajouté que les juges avaient "ordonné l'extradition de Lionel Gilberti vers l'Allemagne". Ce dernier devrait être jugé dans un pays où il risque une condamnation pour non paiement de pension alimentaire à son ex-épouse allemande. Lui assure avoir cessé de payer la pension alimentaire pour Julia, 12 ans, et Quirin, 11 ans, en signe de "protestation".lire le reste de l'article

[color=#D12EB7]je trouve que la justice française se couche vite dans cet affaire ,si c'est la France qui fait ça ,elle attendras des années avant d'avoir gain de cause . color]

   jean  luc ;)

Pascale1962

franchement, je trouve le droit allemand en bien des points beaucoup mieux que le droit francais. Je suis séparée de mon mari (la  séparation se passe bien, mais je m'étais renseignée en détail sur bcp de points "pour le cas où". Je trouve que les femmes en cas de séparation sont bcp plus protégées par la  loi qu'en France! (qu'elles  soient allemandes  ou étrangères, la loi appliquée est la même).

jean luc1

Pascale1962 a écrit:

franchement, je trouve le droit allemand en bien des points beaucoup mieux que le droit francais. Je suis séparée de mon mari (la  séparation se passe bien, mais je m'étais renseignée en détail sur bcp de points "pour le cas où". Je trouve que les femmes en cas de séparation sont bcp plus protégées par la  loi qu'en France! (qu'elles  soient allemandes  ou étrangères, la loi appliquée est la même).


Tu as la chance d'avoir un ex mari qui a l’intelligence de ne pas appeler la jungenamt a son secoure . Il suffit d'une dénonciation que tu emmène les enfants en France ,pour que la jungenamt intervienne .
lis ce document http://www.jugendamt-wesel.com/COMMUNIQ … _Revel.pdf .
Tu comprendras qu'il y a des choses contraires aux droits internationale ,et que dans ce genre de procédure il y a une discrimination contre les étrangers .
Celas dit ces cas ne concerne qu'une petite minorités 350cas pour la France .  ce courriel ne concerne ne concerne que les couple bi-nationaux .

En matière de droit de garde ,les hommes sont largement discriminée par rapport aux femmes ,il obtienne dans 10% des cas le droit de garde . Et si le couple vit en union libre ,le père est écarté sans avoir aucun recours ,1 seul a pu avoir gain de cause dans toute l'Allemagne depuis 1945 ,c'etais en 2011 avec la cour constitutionnelle.

   jean  luc ;)

Pascale1962

jean luc1 a écrit:
Pascale1962 a écrit:

franchement, je trouve le droit allemand en bien des points beaucoup mieux que le droit francais. Je suis séparée de mon mari (la  séparation se passe bien, mais je m'étais renseignée en détail sur bcp de points "pour le cas où". Je trouve que les femmes en cas de séparation sont bcp plus protégées par la  loi qu'en France! (qu'elles  soient allemandes  ou étrangères, la loi appliquée est la même).


Tu as la chance d'avoir un ex mari qui a l’intelligence de ne pas appeler la jungenamt a son secoure . Il suffit d'une dénonciation que tu emmène les enfants en France ,pour que la jungenamt intervienne .


même si c'Est seulement pour les vacances???

Sinon, je reconnais que la situation des pères  non mariés et non allemands n'est pas drôle... (je n'ai souvent vu la situation que de mon point de vue de femme).

jean luc1

Pascale1962 a écrit:

même si c'Est seulement pour les vacances???

Sinon, je reconnais que la situation des pères  non mariés et non allemands n'est pas drôle... (je n'ai souvent vu la situation que de mon point de vue de femme).


Il suffit que l'autre parent (allemand )avertit la jungemamt ,d'un risque que les enfants ne reviennent pas en Allemagne ,pour que celle ci agisse en urgence ,et envoi la police pour récupérer les enfants ,elle a pas besoin de preuves .relit bien le pdf que j'ai donner .
Maintenant tout dépend des relations que tu as avec ton ex,pour les couples oú c'est la guerre ,les vacances sont sont un excellent prétexte pour la jungendamt .
Si tu as un avocat pose lui des questions ,tu verras ces réponses .

   jean  luc ;)

Jeff232

.

Jeff232

J'ai un petit souci que j'aimerai bien que vous m'aidiez.
Marie a une allemand et 1 enfant, depuis une année ma femme m'a quittée cause de problème finance.
Ma carte de résidente En Ireland est a sa fin vu qu'elle était obtenue lors du mariage.

Pouvez-vous m'aider a trouver une solution pour la libre circulation duparent d'un enfant allemand afin que je puisse visiter mon enfant sans aucun problème de visa.

Jusqu'à présent le divorce n'est pas encore annoncé.

Merci

oursine

Bonjour Jeff,


Je t'envoie ceci pour référence et avooir une idée du droit européen.:

http://www.dossierfamilial.com/question … enfant,605

Vu que tu habites dans un pays de la CE tu devrais tomber sous le coup de la loi, malgré ta nationalité congolaise, puisque vous êtes mariés.
Cependant d'après l'article, si vous divorcez c'est le tribunal allemand qui devra juger l'affaire puisque ta femme vit en Allemagne avec votre enfant.
Les décisions de droit de visite seront alors prises par le juge allemand aussi.

Tu devrais quand même te renseigner auprès d'un avocat irlandais spécialiste du droit civil européen qui pourra mieux s'attacher à ton cas en particulier et t'aider en cas de divorce.

Puisque tu es encore marié et père de l'enfant, tu devrais pouvoir obtenir un visa de regroupement familial ou de visite. Va te renseigner à l'ambassade allemande à Dublin. Fais vite avant que ton visa irlandais soit périmé!

A ta place je me renseignerai aux 2: ambassade et avocat!
Vite!

Christine

Jeff232

Merci pour la réponse Mm christine

jean luc1

Si ta femme habite en Allemagne voilá ce qui peut arriver ,si ta femme demande l'aide de la jungenamt http://www.jugendamt-wesel.com/COMMUNIQ … _Revel.pdf .
En la matiére l'Allemagne se fout complétement du droit européen ,seul le droit allemand compte .Les péres allemands ont déjas d'énormes difficultés pour faire valoir leurs droits ,en la matiére il y a pas d'égalité homme -femme ,alors un étrangers qui maitrise mal l'allemand ,c'est une aubaine pour la jungamt . Ce que je te souhaite vraiment c'est que ton ex femme ne fasse pas intervenir la jungamt ,car tu auras aucune chance d'avoir un visas . Jean luc ;) 
PS: pour ton permit de séjour ,tu doit voir avec le service etranger en Irlande ,pour renouveler ou te faire préciser ta position exate sur ce probléme

Jeff232

Si ce le cas, je me vois plus proche de mon enfant car j'ai déjà une réponse du ministre, disant que j'ai plus personne dans le pays donc me renouveller sera pas possible.

oursine

Tu parles de difficultés financières. Alors est-ce que tu travailles?
Si on ne renouvelle pas ton permis de séjour, c'est que tu n'as pas de moyen de subsistance, non?
Dans ce cas, il sera difficile de plaider si tu ne peux pas apporter de soutien financier...

Enfin, si tu veux aller en Allemagne pour rejoindre ta famille:  Va à l'ambassade d'Allemagne et demande ce qui est possible  en matière de visa puisque vous êtes encore mariés. Sans parler ni de divorce, ni de séparation!  Tu verras bien...

Christine

jean luc1

Quel est ta situation financiére ,des diplômes ? Car en cas de divorce ,il est difficile d'avoir un visas pour regroupement familliale ? En plus tout dépend de ta femme . moi je te conseille de prendre un avocat pour ta situation en Ireland . Lorsque que vous vous etez marié c'etais sous quel loi irlandaise ,ou allemande . jean  luc ;)
Donc c'est le juge irlandais qui trancheras ,seulement voilá le jugement risque de rester sans effet pour ta femme et encore moins pour ton enfant l'Allemagne n'extrade pas ses resortissants de plus la jungenamt va la protéger si elle le demande . Qui a confier la garde de l'enfant un juge ,ou elle est partie avec un beau matin ?  jean  luc ;)

Jeff232

La loi irlandaise

jean luc1

donc c'est le juge irlandais qui décide pour le divorce et la garde de l'enfant ,mais á mon avis le jugement resteras lettre morte ,car l'Allemagne ne laisse pas sortir ses enfants .Surtout si elle fait appelle á la jungenamt . jean  luc ;)

oursine

Non non, ce n'est pas la loi du pays où on se marie qui compte, mais la loi du pays où on habite au moment de la demande de divorce.

Mais pour l'instant il n'y a pas de divorce!!

Elle est partie et normalement elle n'a pas le droit de quitter le domicile conjugal. Prends un avocat, Jeff!
Elle n'a pas le droit de séparer son enfant de son père sans raison valable!!

Jugendamt ou pas!

Christine

jean luc1

bien sûr qu'il doit prendre un avocat ,pour faire valoir ses droits ,aussi bien pour son divorce ,mais aussi pour son permit de séjour ,voilá ce que dit le droit européen http://europa.eu/youreurope/citizens/fa … dex_fr.htm . Des cas comme ça il y en a plusieurs centaines de cas qui sont toujours pas régler .Il ferais intérréssant de savoir si elle partie avec l'enfants aprés avoir obtenue le droits de garde  . jean  luc ;)

prend contact avec cet association en Ireland
Parental Equality - EN / Translation

Shared Parenting and Joint Custody Support Group 1 Muirhevna, Dublin Road, Dundalk, Co. Louth, Ireland. Ph.: 042 33163
ou prendre contact ici aussi  asso pour l'égalité homme -femme

http://home.connect.ie/smacsuibhne/pe/nl9802/nl9802.htm

jean luc1

Un père français extradé vers l'Allemagne pour pension impayée
http://www.leparisien.fr/images/2013/10/14/3224785_pere-extrade_640x280.jpg
Un père français divorcé, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt européen émis par l'Allemagne parce qu'il refuse de verser une pension alimentaire à son ex-épouse allemande, a été remis aux autorités locales lundi matin.

Lionel Gilberti, 42 ans, «a été remis aux autorités allemandes en fin de matinée» à Kehl à la frontière franco-allemande.
La police française est venue le chercher peu après 9 heures à son domicile de Habsheim (Haut-Rhin), a expliqué son avocat français, Grégory Thuan. Selon son conseil, il devait être amené vers la région de Landshut en Bavière (sud de l'Allemagne) où le parquet avait émis le mandat d'arrêt européen.

«Il n'avait pas le choix. Cette décision était exécutoire depuis déjà un certain temps», a ajouté l'avocat. Lionel Gilberti se savait en effet condamné depuis novembre 2012, quand la justice française avait définitivement validé le mandat d'arrêt. Mais «son avocate allemande va faire un recours en nullité et demander sa remise en liberté», a expliqué Me Thuan.

Une centaine de pétitions dénoncent les procédures allemandes

Lionel Gilberti a exprimé son amertume peu avant son arrestation par la police française. «J'ai été traité comme un criminel, j'ai cherché refuge dans mon pays en pensant que les autorités allaient m'aider et ce que je vois c'est que je ne reçois aucune aide et pire encore qu'on ne reconnaît pas mes droits en France», a-t-il dit d'une voix calme sur Europe 1.

Quand la Cour de cassation avait validé fin novembre le mandat d'arrêt européen émis, Lionel Gilberti avait alors expliqué refuser de payer quelque 6000 € d'arriérés de pension alimentaire que lui réclame la justice allemande, ne sachant même pas où vivaient ses enfants qu'il n'a pas revus depuis trois ans. Selon lui, c'est la raison pour laquelle il a «seulement suspendu la pension alimentaire». D'après son défenseur, «il a déjà payé bien plus que la somme réclamée».

Depuis 2006, le Parlement européen a été saisi de plus d'une centaine de pétitions dénonçant les procédures allemandes en matière de divorce et de garde d'enfants, notamment lorsqu'elles impliquent un parent étranger. lire le reste de l'article  jean  luc ;)

jean luc1

Une enfant enlevée en Allemagne avant décision de justice (Partie 1) http://cdn.ruvr.ru/2013/12/11/1184927305/7sem_ya.jpg
Le 26 septembre 2013, les gendarmes de la brigade des Baux-de-Provence, sans attendre la décision de la Cour d'appel du 19 décembre, ont remis de force Soléa à sa mère allemande spécialement venue d'Allemagne. Cédric Laurent, 39 ans, le père de la petite fille, avait informé très tôt la justice du danger de remettre l'enfant à sa mère. Celle-ci, contrairement au jugement français initial qui mentionne une adresse française, vit dans son pays d'origine. Cédric Laurent n'a pas été entendu ni par la justice ni par la gendarmerie. Même la requête du 9 août 2013 de son avocat au procureur Pons, demandant d'attendre la décision de la Cour d'appel du 19 décembre et de ne surtout pas remettre l'enfant à l'Allemagne, n'a pas eu le moindre effet sur le procureur français. L'avocat avait écrit : « car connaissant la mauvaise volonté des autorités allemandes à ne pas reconnaître les décisions françaises, Cédric Laurent ne pourra plus revoir sa fille... ». Soléa, 6 ans, a disparu outre-Rhin.

Menaces. LeTribunal de Grande Instance de Tarascon avait tranché en juillet 2011 et décidé des droits de visites et de vacances de l'enfant avec son père en France, non loin du domicile français de la maman. Cédric Laurent, qui a le droit de visite, ne voit plus sa fille et ne peut plus lui parler. « Je viens de recevoir une lettre écrite par la mère disant que ma fille ne veut pas me parler, qu’elle a peur de moi. Hier, je viens même de recevoir une plainte pour diffamation de la mère pour l'article paru dans la Provence relatant le rapt de ma fille ». Il faut, par la force et la menace, empêcher de dire de quelle manière l'Allemagne avec sa justice actuelle garde les enfants et ne pas révéler au public français l'ampleur des rapts d'enfants. Une technique connue par de nombreux parents français.

Planification du rapt. La future maman allemande vit et travaille en France depuis 2005. Adriana M. parle couramment le français. Le couple vit depuis l'été 2005 à Cunlhat, dans le Puy de Dôme (63). Le 9 janvier 2007, Soléa vient au monde à la maternité de Beaumont (63). Adriana M. déclare Soléa Laurent comme nom destiné à l'enregistrement de l'acte de naissance et reconnaît Cédric Laurent comme étant le père. Soléa Laurent obtient un acte de naissance français sur lequel figure l'identité de son père et de sa mère, date et lieu de naissance et une pièce d'identité française au nom de Soléa Laurent. Le couple vit ensemble de 2005 à 2007 à Cunlhat (63) et de 2007 à 2011 à Paradou en Provence (13). En 2011 le couple qui n'est pas marié se sépare et passe au tribunal de Tarascon le 28 juin 2011.

Le 26 juillet 2011, le jugement du TGI de Tarascon donne, avec l'accord du père, la résidence de Soléa Laurent à la mère au domicile français (Paradou), là ou Soléa a grandi. La villa, qui, est baptisée en son nom, se trouve à 6 kilomètres du domicile du père. La décision du 26 juillet stipule les droits de visites et les vacances avec le père. Mais trois mois avant le jugement français, profitant de vacances en Allemagne, Adriana M. avait contacté en mai 2011 le Jugendamt pour demander l'exclusivité de la garde parentale de Soléa et une pension alimentaire à Cédric Laurent. Adriana M. évita de déclarer son action au TGI de Tarascon. (Cédric Laurent et la justice en seront informés en 2012).
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2013_12_10/Une-en … ie-1-3179/
jean luc ;)

jean luc1

Le 26 septembre 2013, les gendarmes de la brigade des Baux-de-Provence, sans attendre la décision de la Cour d'appel du 19 décembre, ont remis de force Soléa à sa mère allemande spécialement venue d'Allemagne. Cédric Laurent, 39 ans, le père de la petite fille, avait informé très tôt la justice du danger de remettre l'enfant à sa mère. Celle-ci, contrairement au jugement français initial qui mentionne une adresse française, vit dans son pays d'origine. Cédric Laurent n'a pas été entendu ni par la justice ni par la gendarmerie. Même la requête du 9 août 2013 de son avocat au procureur Pons, demandant d'attendre la décision de la Cour d'appel du 19 décembre et de ne surtout pas remettre l'enfant à l'Allemagne, n'a pas eu le moindre effet sur le procureur français. L'avocat avait écrit : « car connaissant la mauvaise volonté des autorités allemandes à ne pas reconnaître les décisions françaises, Cédric Laurent ne pourra plus revoir sa fille... ». Soléa, 6 ans, a disparu outre-Rhin.

Menaces. LeTribunal de Grande Instance de Tarascon avait tranché en juillet 2011 et décidé des droits de visites et de vacances de l'enfant avec son père en France, non loin du domicile français de la maman. Cédric Laurent, qui a le droit de visite, ne voit plus sa fille et ne peut plus lui parler. « Je viens de recevoir une lettre écrite par la mère disant que ma fille ne veut pas me parler, qu’elle a peur de moi. Hier, je viens même de recevoir une plainte pour diffamation de la mère pour l'article paru dans la Provence relatant le rapt de ma fille ». Il faut, par la force et la menace, empêcher de dire de quelle manière l'Allemagne avec sa justice actuelle garde les enfants et ne pas révéler au public français l'ampleur des rapts d'enfants. Une technique connue par de nombreux parents français.

Planification du rapt. La future maman allemande vit et travaille en France depuis 2005. Adriana M. parle couramment le français. Le couple vit depuis l'été 2005 à Cunlhat, dans le Puy de Dôme (63). Le 9 janvier 2007, Soléa vient au monde à la maternité de Beaumont (63). Adriana M. déclare Soléa Laurent comme nom destiné à l'enregistrement de l'acte de naissance et reconnaît Cédric Laurent comme étant le père. Soléa Laurent obtient un acte de naissance français sur lequel figure l'identité de son père et de sa mère, date et lieu de naissance et une pièce d'identité française au nom de Soléa Laurent. Le couple vit ensemble de 2005 à 2007 à Cunlhat (63) et de 2007 à 2011 à Paradou en Provence (13). En 2011 le couple qui n'est pas marié se sépare et passe au tribunal de Tarascon le 28 juin 2011.

Le 26 juillet 2011, le jugement du TGI de Tarascon donne, avec l'accord du père, la résidence de Soléa Laurent à la mère au domicile français (Paradou), là ou Soléa a grandi. La villa, qui, est baptisée en son nom, se trouve à 6 kilomètres du domicile du père. La décision du 26 juillet stipule les droits de visites et les vacances avec le père. Mais trois mois avant le jugement français, profitant de vacances en Allemagne, Adriana M. avait contacté en mai 2011 le Jugendamt pour demander l'exclusivité de la garde parentale de Soléa et une pension alimentaire à Cédric Laurent. Adriana M. évita de déclarer son action au TGI de Tarascon. (Cédric Laurent et la justice en seront informés en 2012).
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2013_12_10/Une-en … ie-1-3179/
jean luc ;)

  PS: ceus qui vivent avec un allemand (non marie)doivent réfléchir avant de faire des enfants  .

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