Arrivée en Grèce

Pour la sécurité sociale il faut demander à votre caisse en cas de déménagement.
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Pour le compte bancaire c'est bien d'en avoir un en Grèce pour faire les transferts. Il suffit d'aller dans une banque avec son passeport, son numéro AFM le numéro des impots et on ouvre le compte. Certaines banques demandent un dépot lors de l'ouverture.

Il existe sur le site du consulat français en Grèce (Athènes/thessalonique) un livret téléchargeable guide du français à l'étranger où vous trouverez les réponses à qq unes de vos questions, selon votre lieu de résidance possibilité aussi de se rendre sur place à paris site du ministère de l'extérieur. Pour l'AFM la procédure est longue et dépend de la bonne volonté de votre interlocuteur mais plus simple si vous avez un passeport, la CNI étant rédigée uniquement en français moi j'ai du faire une traduction officielle. Avoir un compte en Grèce parait plus sage, ici pas beaucoup de virement ou chèque ou même tip, les factures se règlent en liquide le plus souvent et si vous gardez votre compte en France vous allez être coincé par le plafond de retrait de l'ordre de 500 euros/semaine selon les banques même avec une carte visa internationale (payer en carte n'est pas non plus tès courant et souvent les commerçants font la grimaces pour les petites sommes car ils ont une retenue de l'ordre de 10% je crois à réserver pour les grandes enseignes). Enfin les mutuelles ne sont pas non plus une pratique très courante ici mais certaines mutuelles françaises ont une couvertures internationales. enfin à votre arrivée, il est recommandé de vous inscrire au consulat de france, procédure obligatoire si vous avez par exemple des papiers d'identité à refaire une fois en Grèce.

Attention, la vie à Athènes n' est plus ce qu' elle était bien au contraire, les habitants sont les plus touchés par la crise que partout ailleurs, les commerces continuent de fermer les uns après les autres y compris les entreprises ce qui provoque une énorme pauvreté et un stess de plus en plus fort. Très nombreux sont les Grecs à quitter la capitale pour retourner dans leur province souvent les îles où la vie est beaucoup moins rude.