Le casque de conquistador est passé de mode et la nouvelle administration américaine vient de supprimer l'espagnol du site de la maison blanche. Parler la langue du pays est indispensable partout. C'est toujours au visiteur de s'adapter, pas à l'habitant. Cette notion s'impose d'autant plus à celui désireux de s'établir. Le touriste de passage pourra se débrouiller d'un cocktail de langage des signes, d'un zeste de dictionnaire, le tout nappé de billets de banque Ça passe très bien et partout.
En Bolivie comme ailleurs, parler la langue officielle est le plus précieux des passeports, celui qui ouvre nombre de portes et génère des sourires.
Oui je parle espagnol. Mon épouse est Andalouse. Ça aide...
Peu de Boliviens parlent une autre langue que l'espagnol (sauf le quechua ou autres langues natives) et le visiteur devra intégrer cette donnée.