Bonjour,
Depuis 6 ans les TPG ne recrute plus aucun frontalier. Pour travailler au TPG il faut résider dans le canton de Genève.
Pour Les TPLausanne c'est la même chose.
Donc pour être conducteur, il va falloir résider en Suisse, vous ne pourrez pas être frontalier.
Dans les milieu médical c'est la même chose ils commencent depuis 1 an a serrer la vis, les HUG (hôpital universitaire de Genève) ne prend plus depuis 1 an de frontalier en poste fixe, seulement en poste temporaire.
En 2015 Poggia a demandé au TPG de ne plus recruter aucun frontalier et de former des chômeurs Genevois. Résultat. Le nombre de Chauffeur frontalier au TPG est passé de 70% en 2015 a 42% en 2017 et a 28% fin 2019 et on devrait être sous les 25% fin 2020. Le but est qu'il n y ai plus aucun frontalier au TPG d'ici 2030 (les plus anciens paratnt a la retraite sont remplacés par des résident Genevois.
Des ex-chômeurs au volant des TPG
Enquête Depuis 2015, la régie publique a engagé près de 140 conducteurs, dont la moitié provient de l’Office cantonal de l’emploi. Certains dénoncent une discrimination à l’encontre des frontaliers.
suivant la directive sur la préférence cantonale chère à Mauro Poggia, conseiller d’Etat en charge de l’Emploi, les TPG veulent renforcer leur tentative de réduire le taux du chômage local. «Plus de 50% de notre financement provient de l’Etat, c’est normal que l’on donne en retour, explique Eric Spielmann. Cela fait d’ailleurs plusieurs années que nous collaborons avec l’OCE. Donner une chance à un chômeur, en lui payant en plus une formation, est aussi très bénéfique pour nous. Celui-ci est, en effet, d’autant plus motivé au travail.»
Résultat: sur les 1130 conductrices et conducteurs TPG recensés à la fin de l’année 2016, 58% résident en Suisse, dont 55% à Genève, et 42% résident en France. Chiffres à l’appui, force est de constater qu’au cours des cinq dernières années, le nombre d’employés vivant en Suisse n’a cessé de croître aux TPG – passant de 1020 à 1082 – tandis que celui des collègues domiciliés en France diminuait (de 859 à 803). Certains dénoncent une discrimination à l’encontre des frontaliers. «Avec quelle impudeur les autorités cantonales genevoises se targuent de violer les principes qui fondent les accords bilatéraux et de libre circulation tout en les défendant publiquement à chaque votation!» s’emporte Antoine Vielliard, maire de Saint-Julien, sur son blog hébergé par notre journal.
Article de mars 2017
Donc si votre souhait est de devenir frontalier a Genève, vous ne trouverez jamais de travail. Je vous conseille de rester sur Bordeaux, sinon vous aurez de très mauvaise surprise car sans travail ça devient vite la galère.