campagne electorale allemande

Très bien dit Jean-Luc, quand il y a une catastrophe d'une ampleur pareille avec autant de morts et sinistrés on n'en rit pas, un comportement déplacé, aucun savoir-vivre, il ne faut pas voter pour un tel individu!

C'était super choquant!

bien sûre que c'etais choquant , 200 morts , et lui qui se tape sur le ventre en rigolant , les allemands le l'aime pas . pour ceux qui ont pas suivit https://www.expat.com/forum/viewtopic.php?id=944338  .jean Luc

Allemagne : un mois avant les législatives, le suspense reste entier

Dans un sondage donné mardi, le parti social-démocrate SPD est pour la première fois donné en tête devant les conservateurs d'Angela Merkel et les écologistes, à un mois des élections qui aboutiront à l'entrée en fonction d'un nouveau chancelier. Une remontée surprise qui rebat les cartes d'un scrutin plus que jamais indécis. 

Les élections législatives allemandes de septembre prochain vont-elles déboucher sur une surprise ? L'alliance conservatrice formée par l'Union chrétienne-démocrate (CDU) et le parti bavarois CSU dégringole dans les sondages depuis le début de l'année. Et pour la première fois depuis 2006, le Parti social-démocrate (SPD) est donné en tête des intentions de vote de ce scrutin, qui aboutira à l'entrée en fonction du successeur d'Angela Merkel, la chancelière ayant annoncé qu'elle ne se représentera pas après avoir été à la tête du pays pendant 16 ans.

Selon une enquête Forsa pour les chaînes RTL et N-tv diffusée mardi, le SPD est passé devant avec 23% des intentions de vote, talonné par l'union CDU-CSU (22%, son score le plus bas depuis 1984). Les sociaux-démocrates reviennent de loin : ils plafonnaient pendant de nombreux mois autour des 15%, derrière l'alliance conservatrice et les Verts (qui cumulent désormais 18% des intentions de vote selon ce dernier sondage). Les libéraux du FDP (12%), l'extrême droite AfD (10%) et l'extrême gauche Die Linke (6%) terminent le classement.
 
Le CDU mené par Armin Lachet embourbé dans les difficultés

La CDU, avec son allié bavarois CSU, a chuté dans les sondages à 22% des intentions de vote, contre environ 30% il y a quelques semaines. Depuis le début de l'année où il caracolait à 36%, la chute est vertigineuse.

Samedi dernier, Angela Merkel n'a eu d'autres choix que de s'engager pour la première fois dans la course en participant à un meeting de son camp conservateur à Berlin. Elle a apporté son soutien ferme à son dauphin Armin Laschet, se disant "profondément convaincue" qu'il lui succèderait à la chancellerie. De quoi peut-être permettre de glaner des points pour les conservateurs - Angela Merkel continue de jouir d'une popularité record malgré ses 31 ans de carrière politique.



Fragilisé par une série de maladresses, Armin Laschet s'en est pris à ses deux principaux rivaux, les sociaux-démocrates et les Verts, assurant vouloir "combattre avec tout ce que je peux pour que ce pays ne soit pas dirigé par des idéologues". Son parti, qui a largement dominé la vie politique de l'Après-Guerre, "veut gouverner non pas parce que nous avons envie de gouverner mais parce que nous devons gouverner pour que l'Allemagne emprunte le bon chemin", a-t-il déclaré samedi devant une centaine de militants.
La remontée surprise du SPD

Avec un score actuel de seulement 18%, les écologistes traversent de leur côté un long passage à vide depuis le début de l'été, loin de l'euphorie qui avait suivi en avril l'annonce de la candidature d'Annalena Baerbock. Les Verts avaient même alors dépassé les conservateurs dans les sondages.

La surprise est donc venue du SPD, emmené par le vice-chancelier et ministre des Finances Olaf Scholz. S'ils arrivent en tête aux élections (prévues le 26 septembre prochain), les sociaux-démocrates pourraient ainsi bâtir plusieurs coalitions, avec les Verts et Die Linke, avec les écologistes et les libéraux ou avec les conservateurs et libéraux.

Réputé peu charismatique et piètre orateur, Olaf Scholz a en tout cas su développer une image de compétence auprès des électeurs quand Armin Laschet et Annalena Baerbock multipliaient les bourdes et devaient se défendre d'accusations de plagiat.  https://www.lalsace.fr/politique/2021/0 … ste-entier  .jean luc 

Ps: première chose la CDU-CSU et le SPD totalisé dans les année 60 85% des voix les 10-15% restant aller au FDP qui avais le rôle de faiseur de roi ,en s'alliant avec l'une ou l'autre formation . maintenant ces deux formations rassemble seulement  45% des voix , et ont donc perdu toute chances de faire une coalisions avec seulement 3 partie , il faudra un 4eme partie seras soit les vert ,soit les libéraux , le linke , je crois pas . je remarque que l'AFD ne profite pas de la crise covid et a même perdu des points . le jours où laschet cdu a rit aux éclats ,alors que l'Allemagne pleurer ses morts , ce jour lá il as perdus les élections ,Annalena Baerbock  a oublier de déclarer 25 000€ au fisc allemands, ça pardonne pas non plus , le plagiat , c'est la cerise sur le gâteaux , Olaf Scholz lui rassure , et ne fait pas de fautes . jean Luc

Allemagne. Le candidat du parti de Merkel dégringole dans les sondages mais ne jette pas l’éponge   Les conservateurs allemands ont fait front lundi derrière leur candidat Armin Laschet pour succéder à Angela Merkel lors des élections fédérales du 26 septembre, en dépit de sa prestation jugée décevante lors d’un débat la veille avec ses rivaux.

À moins d’un moins des élections qui désigneront le successeur d’Angela Merkel à la chancellerie allemande, Armin Laschet, le chef de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) et candidat du bloc conservateur CDU/CSU à la tête de l’Allemagne, a perdu dimanche un débat télévisé houleux avec ses deux principaux rivaux, selon un sondage, tandis que les enquêtes d’opinion montrent qu’il ne cesse de baisser dans les intentions de vote face aux sociaux-démocrates (SPD).

Un nouveau sondage de l’institut Insa place le SPD en tête avec 25 % des suffrages, devant l’alliance CDU/CSU (20 %) et les Verts (16,5 %).

Armin Laschet est sous le feu des critiques après avoir été filmé le mois dernier en train de rire lors d’une visite d’une ville frappée par des inondations. De manière générale, il ne semble pas parvenir à emporter l’adhésion des électeurs, en dépit du soutien des responsables conservateurs, qui saluent sa combativité.

Armin Laschet sera-t-il celui qui fera tomber le CDU ?

« Nous devons nous battre pendant les quatre prochaines semaines », a déclaré à Bild TV Jens Spahn, ministre de la Santé et partisan de Laschet, rejetant ainsi le scénario du remplacement de ce dernier par son ancien rival, le ministre-président de Bavière Markus Söder.

« On ne change pas l’entraîneur pendant le match », a déclaré Jens Spahn. Les difficultés de la CDU que laissent présager les sondages interviennent après 16 ans au pouvoir et quatre victoires consécutives aux élections fédérales avec Angela Merkel, qui s’apprête à quitter ses fonctions.

Markus Söder, battu par Armin Laschet pour prendre la tête du bloc conservateur en vue des échéances électorales, a estimé pour sa part que son ancien rival avait jeté dimanche de bonnes bases pour le prochain débat à trois, prévu dans deux semaines.

« De mon point de vue, c’était exactement ce que nous espérions pour nous donner un nouvel élan », a-t-il déclaré à la presse à Munich.

Les socio-démocrates prennent la tête des sondages d’opinion

Parmi les électeurs interrogés par l’institut de sondage Forsa juste après le débat de dimanche, 36 % pensaient que le candidat du SPD, le ministre des Finances Olaf Scholz, avait gagné, contre 30 % pour la candidate des Verts, Annalena Baerbock, et 25 % pour Armin Laschet.

« Laissons les électeurs décider de ce qu’ils pensent être un chancelier », a déclaré Armùin Laschet lors d’une conférence de presse.

« Je n’ai pas eu l’impression qu’il y ait eu un feu d’artifice d’idées », a-t-il encore commenté Armin Laschet à propos de la prestation de son rival du SPD, le plus populaire dans les sondages. En dépit de son avance, Olaf Scholz devrait toutefois s’allier à deux autres partis pour être en mesure de gouverner.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/oth … ar-AANUanm  jean Luc

Suis bien d'accord  avec l'idée  de J.Luc en ce qui concerne le " costume trop grand" .

Le costume  est en effet déjà  trop grand sur le plan intérieur,  quant au plan international, là c'est plus  un costume  trop  grand  mais une toile de tente!!!! Non mais...., vous le voyez le Laschet face à Vlad????
Il va le bouffer  tout cru le boyard du Kremlin et l'autre pourra toujours rigoler  bêtement....
Presque aussi  c** que DSK.... !!!
Comme  s'il ne savait  pas que l'endroit  où  se déroulait  l'intervention  de Steinmeier  était truffé de micros et caméras... scrutant le moindre de ses clignements d'yeux ou de ses haussements de sourcils!  Et cet andouille emplumé rigole en tirant la langue comme un môme de 8 ans  à la récré!
Et son excuse débile  et bidon: " on n'entendait pas ce que disait le Président "
Non mais je te jure, plus foireux tu meurs.... Quand bien même  le Président  de  la  République  réciterait le Bottin sur l'air de la Carmagnole, on ferme son clapet et on prend  un air de circonstance. C'est du B-A= BA de politicard...  Et ça vaut pour tous ceux  qui étaient  avec Laschet , car il ne rigolait  pas tout seul!!! Sauf que eux sont moins exposés!

Quant  à la p'tite Baerbock, son tailleur vert est bôôôcoup trop petit pour l'ampleur de la tâche....
Aucune expérience  de gouvernement  ni même de  responsabilité  locale  d'importance... Là c'est Biden qui n'en  reviendrait pas, par comparaison  avec Kamala H !
Et quand on voit que la 'tite Madame Pastèque  ( vert dehors rouge dedans.. ) n'est  même pas fichue de savoir OÙ elle se trouve dans sa propre  circonscription lors dun déplacement  électoral  et en confond 2 régions,  ça  fait peur pour les dossiers  à venir!
Un peu comme si elle déclarait à Nancy :" Et ici,  en Pays minier sur les bords de Moselle , on sait bien que...." .
Pas de pot Mimine! 
À Nancy c'est la Meurthe qui coule ( la Moselle c'est à Toul et Metz) et le Pays minier, c'est 70-80km plus au Nord vers Forbach ou Freyming- Merkebach , à la frontière  allemande!!!! 
Ben voui, cest vrai  cà ! Moselle, Meurthe, Meurthe& Moselle, 2 départements,  2 rivières,  3 noms comment voulez vous qu'on  s'y  r'trouve !!!!

C'est sûr  que Scholz n'est ni fun ni sexy, mais ce n'est sûrement  pas  ce qu'on lui  demande!  En tous cas, je lui ferais bien davantage  confiance qu'aux  2 autres "Noeunoeu et Nénette"...
Mon mari se tord les mains  devant la télé à chaque fois que l'Armin dit une conn**ie  à un journaliste  en se lamentant :
" mais pourquoi y z'ont pas pris Röttgen ou encore Habeck! C'est les seuls qui ont les épaules! On va être la risée  du monde qui ne va pas en revenir que ce soit ça ( peu importe lequel /la )   qui succède a Merkel .. et même  si , en ce moment, il n'y a pas de mots assez durs  pour elle ds la presse, on va la regretter  "Mutti " !!!!"
Encore 3 bonnes semaines de suspense ..." Abwarten und Tee trinken" , comme on dirait en Frise orientale, champions du monde de la consommation  de thé  ( livre des records  2021) .

dans ma famille personne va voter pour la CDU . pour ma part je trouve que ce partis est trop poreux avec les milieux d'affaires . Quand à Laschet il as été nommer candidat uniquement pars qu’il vient du land qui as le plus adhérent CDU , en plus la base as pas été consulter ,il y as pas eu de congrès comme dans les autres partis , il as étais nommé par un très petit carrés de responsables de la CDU , le peuple a été écarté. jean Luc 

Petite question qui me taraude: Que reprensente la partie Songstige du graphique plus haut ?
C'est juste derrier AfD et FDP c'est pas negligeable,non?

De la a ce que Merkel remette le couvert pour sauver Laschet et ses conneries, il n'y a qu'un pas... Au moins le temps que ca se calme....

La candidate des Verts fait vraiment becassine je trouve

Je plains les votants la XD

" Sonstige ", ce sont  les autres partis  peu  représentatifs  ( comme celui de la protection animale)
Biwn d'accord  pour " Bécassine"  ( du Trampoline...) Elle m'énerve  dès  qu'elle  ouvre la bouche avec son air de " où  vais-je, où  cours-je, dans quel état  j'erre?"
Ils vont la regretter  leur Mutti  je te le dis. Je ne donne  pas 6 mois a la presse pour  retourner  sa veste!
@J .L,  qd tu dis que personne  ds ta famille  ne va voter  CDU,  est ce wue ce sont des gens  qui habituellement  le font?🤔
Je ne veux  surtout  pas  me montrer  indiscrete, nais si  la reponse est oui, ca en dit long sur le peu de confiance  que recueille Laschet.....
Bonne soirée

amaretto1971 a écrit:

Petite question qui me taraude: Que reprensente la partie Songstige du graphique plus haut ?
C'est juste derrier AfD et FDP c'est pas negligeable,non?

De la a ce que Merkel remette le couvert pour sauver Laschet et ses conneries, il n'y a qu'un pas... Au moins le temps que ca se calme....

La candidate des Verts fait vraiment becassine je trouve

Je plains les votants la XD

il y as je crois 44 partis en lice ,des partis religieux, en passant par les pirates ,ou le NDP(ultra nazis)
Afd et Fdp sont à 12%dans les sondage . la gauche à 7% .non Merkel part , c'est sûre . la candidate  verte manque d'expérience , va pour bécassine .  jean luc 

Chanounou a écrit:

" Sonstige ", ce sont  les autres partis  peu  représentatifs  ( comme celui de la protection animale)
Biwn d'accord  pour " Bécassine"  ( du Trampoline...) Elle m'énerve  dès  qu'elle  ouvre la bouche avec son air de " où  vais-je, où  cours-je, dans quel état  j'erre?"
Ils vont la regretter  leur Mutti  je te le dis. Je ne donne  pas 6 mois a la presse pour  retourner  sa veste!
@J .L,  qd tu dis que personne  ds ta famille  ne va voter  CDU,  est ce wue ce sont des gens  qui habituellement  le font?🤔
Je ne veux  surtout  pas  me montrer  indiscrete, nais si  la reponse est oui, ca en dit long sur le peu de confiance  que recueille Laschet.....
Bonne soirée

non ma famille n'a jamais voter CDU , mais ma femme avais confiance en Mutti, Laschet est un guignol pour elle , elle préfère Scholz comme chancelier il rassure , mais vert pour la politique du gouvernement  pour certains français c'est difficile de comprendre , mais en Allemagne on peut voter pour un candidat direct , car on pense qu'il pourras aider la région á Berlin (1eme voix) et voter pour un autre partie (programme politique)(2eme voix) . on risque d'avoir une coalisions à  quatre  partis
SPD CDU-CSU VERT,SPD CDU-CSU FDP,SPD VERT FDP, SPD VERT LINK , moi la coalisions SPD,VERT,LINK ou rot grune rot me pose un problème , car elle ouvriras la porte à une futur alliance possible pour l'avenir avec la CDU-CSU AFD ,les spd s'alliant avec l’extrême gauche , pourrais pousser la CDU-CSU a faire pareille avec l’extrême droite .  jean Luc

Allemagne : Angela Merkel passe à l'offensive alors que son parti est en chute libre dans les sondages
- La chancelière allemande a pris à partie son partenaire de coalition, le SPD, au sujet d'une éventuelle coalition avec le parti d'extrême gauche Die Linke, alors que la campagne électorale gagne en intensité
Alors que la campagne électorale allemande entre dans ses dernières semaines, la chancelière allemande Angela Merkel a taclé, mardi, son partenaire de coalition, le Parti social-démocrate (SPD), qui n'exclut pas une éventuelle coalition avec le parti d'extrême gauche Die Linke.

S'exprimant devant le Parlement, la chancelière Merkel a déclaré qu’après les élections du 26 septembre, l'Allemagne aura, soit un gouvernement de coalition stable, dirigé par les chrétiens-démocrates (CDU/CSU), soit un gouvernement de coalition formé par les sociaux-démocrates, qui pourrait également inclure "d'anciens communistes eurosceptiques et hostiles à l'OTAN".

"Cette élection est particulièrement importante car elle déterminera l'orientation de notre pays dans les moments les plus difficiles", a souligné Angela Merkel, qui a ouvertement critiqué le vice-chancelier Olaf Scholz, candidat du SPD à la chancellerie.

"Le meilleur choix pour notre pays est un gouvernement dirigé par la CDU/CSU avec Armin Laschet comme chancelier", a-t-elle déclaré, ajoutant qu'un tel gouvernement sera synonyme de modération, de fiabilité et de stabilité en Allemagne.

Merkel, qui a été la personnalité politique la plus populaire du pays, n'est pas candidate à un nouveau mandat et n'a pas joué un rôle actif dans la campagne politique.

La chancelière sortante a toutefois dû intervenir lorsque son bloc conservateur a connu un recul record dans les derniers sondages, adoptant un ton plus sévère à l'égard de son rival de centre-gauche, les sociaux-démocrates.

Des enquêtes récentes menées par les instituts de sondage INSA et Kantar-Emnid ont montré que les sociaux-démocrates ont pris une nette avance sur le bloc CDU/CSU de Mme Merkel, pour la première fois en 15 ans.

Le sondage INSA, publié lundi, montre que le soutien au SPD a augmenté à 26 %, contre 18 % le mois dernier. Le bloc de Mme Merkel a reculé à 20,5 %, contre 27,5 % le mois précédent.

Le sondage place le soutien aux Verts, un parti écologiste, à 15,5 %.

La dernière enquête de Kantar-Emnid montre également que les sociaux-démocrates sont en tête avec 25 %, avec quatre points d'avance sur les chrétiens-démocrates (21 %).  https://www.aa.com.tr/fr/monde/allemagn … s/2357976#  jean Luc  

PS: là on attise les peurs , vrais le linke rassemble les anciens communistes eurosceptique anti l’Otan ,
mais la CDU oublie que c'est le peuple qui décide, en plus rien ne dit que la CDU ne soit pas au gouvernement comme partenaire junior avec le SPD et les vert ,ou les libéraux . Si la CDU se retrouve dans l’opposition , elle avait qu'a choisir un bon candidat ,pas un guignol comme Laschet  qui rit au éclats quand nous ont pleuré 180morts , quand on manque de respect pour les morts et les sinistrés on peut pas être chancelier ,la seule solution de l'empêcher d'être chancelier est de couler la CDU,il y as d'autre solution , ou appeler Söder à la rescousse au poste de chancelier .jean Luc 

Les élections en Allemagne, c'est beaucoup plus sexy que vous ne croyez.

L’Allemagne vote le 26 septembre. Une page d’histoire se tourne avec la fin de 16 ans de gouvernance Merkel. La campagne bat son plein : le 2ème débat télévisé c'est dimanche. Vu d’ici, les élections allemandes sont perçues comme austères, ternes, pas sexy. A tort: elles sont passionnantes.   
Angela Merkel le 7 septembre au Bundestag, sa dernière séance parlementaire en tant que chancelière

Il y a presque tous les ingrédients d’un bon film. D’abord, il y a de l’action et du suspense. A 16 jours du scrutin, l’incertitude est totale. Le paysage politique est très émietté, aucun parti n’écrase les autres.

Ils sont trois à pouvoir l’emporter : les sociaux-démocrates de centre gauche (à 25% dans les sondages), les chrétiens démocrates de centre droit héritiers de Merkel (évalués vers 20%), et les écologistes (16%). Ajoutons que deux autres partis devraient dépasser les 10% (les libéraux et l’extrême droite) et que le nombre d’indécis est très élevé. Et vous vous retrouvez avec une fin de campagne échevelée.

L’héritier désigné d’Angela Merkel, Armin Laschet, aujourd’hui distancé, multiplie les annonces et les déplacements pour essayer de refaire son retard. Le débat télévisé de dimanche soir, sur les grandes chaines ZDF et ARD, s’annonce donc déterminant.

En plus le suspense se poursuivra certainement après le vote. Parce qu’il faudra former un gouvernement de coalition. Personne n’aura la majorité pour gouverner seul. Il faudra même peut-être une coalition à trois. Et du coup, un parti arrivé 3ème ou 4ème, les Verts, les Libéraux, peut très bien se retrouver en position de faiseur de rois. Bref, suspense total.
Un suspense absolu

Mais une chose est sûre, l’Allemagne aura un nouveau visage ! Et là encore, c'est un très bon ingrédient : il y a du neuf. Un nouveau cycle commence. Angela Merkel va s’en aller, après avoir connu 4 présidents français, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron ! Elle a présidé sa dernière séance du Parlement avant-hier.


L’Allemagne va s’incarner dans un nouveau visage. Et c’est d’ailleurs sur ce sujet que se déroule la campagne : le visage, la personnalité des candidats jouent un rôle plus important que les programmes. A ce jeu là, le social-démocrate Olaf Scholz, actuel ministre des Finances, a pris une longueur d’avance sur ses deux rivaux le chrétien démocrate Armin Laschet et la verte Annalena Baerbock.
Le réveil de la social-démocratie

Conséquence en chaine : cette situation pourrait conduire au retour au pouvoir du centre gauche social-démocrate que l’on disait à la dérive il y a encore quelques mois. De cette social-démocratie en perte de vitesse depuis 10 ans presque partout en Europe. Là aussi, coup de théâtre.

Du nouveau également avec le score probable des Écologistes. Ils ne l’emporteront sans doute pas comme ils ont pu un moment l’espérer, car leur tête de liste a commis des erreurs.  Mais même s’ils sortent à 15 ou 16%, ce sera un niveau historique qui les mettra sans doute en position d’arbitre, pour influencer les choix politiques du pays. Là encore, une petite révolution au cœur de l’Europe.
Pour afficher ce contenu Twitter, vous devez accepter les cookies Réseaux Sociaux.



Le moteur économique et l'enjeu de la Défense

Voilà qui nous conduit aux sujets de fond, avec beaucoup d’enjeux ! Et ça aussi c’est passionnant.

Quelle orientation économique va prendre l’Allemagne, qui est le moteur de l’Europe ? Va-t-elle continuer à privilégier ses exportations ou favoriser une plus grande intégration avec ses voisins (option plausible avec les sociaux-démocrates) ?

Quelle politique de Défense adoptera Berlin ? Plus d’investissements dans l’Europe dans la Défense et dans les partenariats franco-allemands ou le maintien de la priorité à l’OTAN ? Il serait intéressant de voir les Écologistes à l’œuvre sur ce sujet.

Et ainsi de suite : quelle politique énergétique face aux enjeux du climat, quelle attitude face à la Russie et à la Chine, plutôt ménagées par Angela Merkel ? Les grands équilibres en dépendent, en particulier en Europe.
Les vertus de la stabilité et du compromis

Alors pourquoi on persiste à regarder ça, de France, comme un truc austère et casse pieds ? Parce qu’il y a au moins deux différences majeures avec la France.

La première, c’est que les électeurs allemands ne cherchent pas la même chose que les électeurs français. Là où nous, nous avons envie d’être séduits par un candidat, ils cherchent à être convaincus. Ça n’a rien à voir. Les candidats à la chancellerie parlent d’abord au cerveau des électeurs. Donc vu de chez nous, ça parait terne. Mais vu de chez nos voisins, c’est un gage de sérieux.

La deuxième différence, c’est qu’en Allemagne, la stabilité est une vertu, tout comme l’art du compromis (les deux sont liés). Là où la France se berce de l’illusion, à chaque élection, de faire table rase du passé avec une nouvelle vision de l’avenir, l’Allemagne cherche de la continuité. Et elle part du principe que dans ce but, il faut trouver des terrains d’entente entre partis, donc des gouvernements de coalition. Vu de France, c’est de l’eau tiède. Vu d’Allemagne, c’est du bon sens.

Vous savez ce que disait l’ancien chancelier allemand Helmut Schmidt ?

    « Si vous avez des visions, allez plutôt voir le médecin ! ».

Pour pouvoir voter je suppose que cela est réservé au possesseur de la nationalité allemande?

amaretto1971 a écrit:

Pour pouvoir voter je suppose que cela est réservé au possesseur de la nationalité allemande?

certes seul les nationaux et bi-nationaux ,ont le droit vote pour c'est ces élections , mais elles   nous concernent aussi il est mieux de connaître les politique des uns et des autres. jean Luc

En Allemagne, la gauche veut “faire payer davantage les ultrariches”.

À dix jours des élections législatives allemandes, l’hypothèse d’une coalition gouvernementale de gauche est de plus en plus plausible outre-Rhin. Parmi les mesures phares d’un tel gouvernement : la mise en place d’un impôt sur la fortune.
 

On retrouve [l’impôt sur la fortune] dans les programmes électoraux du SPD, des Verts et de Die Linke. Le défi réside dans sa mise en œuvre, car il n’est pas si facile de le rendre conforme à la Constitution. Mais il est clair qu’un gouvernement de centre gauche fera payer davantage les ultrariches.
Dietmar Bartsch
COPRÉSIDENT DU GROUPE PARLEMENTAIRE DIE LINKE AU BUNDESTAG

“Les conservateurs ont très peur de perdre le pouvoir, à juste titre”, affirme Dietmar Batsch dans les pages du Spiegel. À l’approche des élections législatives du 26 septembre, le magazine de Hambourg a interrogé le coprésident du parti de gauche radicale Die Linke, en bonne position pour faire partie du gouvernement allemand si le favori des sondages, le social-démocrate Olaf Scholz, l’emporte. “Ils craignent qu’avec un gouvernement de centre gauche il y ait des changements sérieux, bien que nécessaires, sur des questions clés comme l’injustice sociale ou le changement climatique”, a-t-il déclaré, avant d’affirmer que son parti s’engagerait sur le plan de la fiscalité. “Il est clair que la gauche fera payer davantage les ultrariches.”
À lire aussi Allemagne. Au Bundestag, la mise en garde de “Mamie Merkel” contre le communisme

Depuis plusieurs semaines, la CDU-CSU alerte sur l’éventualité d’une coalition gouvernementale “rouge-rouge-verte” incluant Die Linke. Angela Merkel elle-même est sortie de sa réserve pour dénoncer une alliance avec l’héritier lointain du parti communiste est-allemand. Ce dernier rejoint le SPD sur le plan social, en demandant notamment la mise en place d’un impôt sur la fortune, l’augmentation du smic et l’encadrement des loyers. Concernant la politique étrangère, en revanche, la gauche radicale se prononce pour une sortie de l’Otan et pour un rapprochement avec Moscou.

Les sociaux-démocrates du SPD n’ont pas exclu la possibilité d’une coalition “rouge-rouge-verte”, mais ils ont aussi évoqué un partenariat avec les libéraux du FDP, taxés de 13 % des intentions de vote, et avec les Verts (15 %). Selon le dernier sondage mené dimanche 12 septembre par l’institut Insa, 26 % des électeurs envisagent de voter pour le SPD, tandis que 20 % des Allemands souhaitent se tourner vers les conservateurs de la CDU-CSU. Die Linke rassemble 6 % des intentions de vote.  https://www.courrierinternational.com/a … ltrariches           jean luc 

PS: je pense que l’impôt sur la fortune serais une grosse erreurs , car la France l'a fait , et les riches sont partis ailleurs et paye plus leurs impôts en France, il suffirais de de réduire les niches fiscale , voir de les supprimer , pour voir les impôts augmenter. jean Luc

@JL,
Cest quoi la source des 2 articles au dessus ( analyse électorale)
Merci
Bonne journée,

Chanounou a écrit:

@JL,
Cest quoi la source des 2 articles au dessus ( analyse électorale)
Merci
Bonne journée,

https://www.courrierinternational.com/a … ltrariches . voila une petite erreur . jean Luc

Blanchiment d'argent : Olaf Scholz, favori des législatives allemandes, s'explique au parlement
Berlin - Le favori des élections législatives allemandes, Olaf Scholz, a défendu lundi son action de lutte contre le blanchiment devant des députés qui l'ont convoqué, à quelques jours des législatives, dans une embarrassante affaire mettant en cause le ministère des Finances qu'il dirige.
Dans la dernière ligne droite avant le scrutin de dimanche, le social-démocrate a dû se justifier devant la commission des Finances du Bundestag sur la non-transmission à la justice, par des fonctionnaires de son ministère, d'éléments concernant une opération présumée de blanchiment.

Olaf Scholz a riposté en assurant que son ministère avait "amélioré continuellement" ces dernières années la lutte contre la criminalité financière, énumérant les efforts entrepris par son gouvernement.

Mais aucun ministre "ne peut résoudre (les problèmes) en claquant des doigts", a-t-il asséné aux parlementaires, ont rapporté des sources internes à l'AFP.
   

Alors que les députés s'attendaient à auditionner le ministre par visioconférence, en raison de son agenda de campagne, il a surpris la trentaine de membres de la commission en se présentant en personne.

Ce rebondissement n'a pas amadoué les députés qui lui réclament des explications, suite à la perquisition, début septembre, des locaux du ministère des Finances à Berlin par le parquet d'Osnabrück.

Les représentants de l'opposition, mais aussi les élus conservateurs CDU/CSU, partenaires de coalition du SPD, ont accusé le ministre, avant le début de la session, de graves défaillances dans la gestion du ministère qu'il occupe depuis 2018.

Le député libéral (FDP) Florian Toncar a dit tenir M. Scholz pour responsable d'un "espace de non-droit dans la lutte contre le crime organisé".

Représentant du SPD à la commission, Jens Zimmermann a accusé les adversaires politiques de M. Scholz, écologistes et conservateurs d'Angela Merkel au premier chef, de créer avec cette affaire "un épouvantail", alors que M. Scholz reste en tête des derniers sondages. 

Il est crédité d'autour de 25% des intentions de vote, contre un peu plus de 20% pour la droite et 15% pour les Verts.

- Paiement vers l'Afrique - 

Le point de départ de l'affaire examinée par les députés, en 2020, porte sur des paiements suspects à destination de l'Afrique d'un montant supérieur à un million d'euros.

Un rapport sur cette affaire, reçu par l'Office central d'enquête sur les transaction financières (FIU), sous tutelle du ministère des Finances, n'a "pas été transmis aux autorités judiciaires", ce qui a empêché "l'arrêt de ce paiement", selon le parquet.

Or, cette transaction avait pour toile de fond du trafic d'armes et de drogues ainsi que du financement de terrorisme.

La justice soupçonne d'autres manquements similaires. Elle estime que "des soupçons de blanchiment d'argent se chiffrant en millions d'euros" n'ont "pas été transmis à la police et à la justice".

Pour "vérifier si et, le cas échéant, dans quelle mesure, la direction et les responsables des ministères (...) ont été impliqués dans les décisions de la FIU", le parquet a donc ordonné récemment des perquisitions aux ministères des Finances et de la Justice.

L'opposition au Bundestag autour des Verts, des libéraux et de la gauche radicale, a alors convoqué Olaf Scholz, jugeant sa responsabilité engagée.
- Complot? -

Irrité par ces perquisitions en pleine campagne électorale, M. Scholz a critiqué la méthode des enquêteurs, dénonçant à demi-mot un complot politique le visant.

Menacés par une défaite historique, les conservateurs de la CDU se sont aussi saisis de cette affaire.

"Quand un parquet perquisitionne un ministère, la bonne réaction est de dire : nous allons aider la justice" et non de dénoncer des complots de manière "populiste", a tancé le chef de file des conservateurs, Armin Laschet.

"Il est tout à fait clair qu'il incombe toujours aux autorités de coopérer les unes avec les autres (...) et c'est ce que nous faisons", a assuré Olaf Scholz lundi, tentant d'éteindre l'incendie.

Le ministre n'en est pas à sa première affaire embarrassante : son administration a été critiquée pour son absence de vigilance l'an dernier lors de la faillite de la société Wirecard, plus gros scandale financier de l'après-guerre dans le pays.

M. Scholz avait là aussi dû répondre aux questions musclées des parlementaires, dans le cadre d'une commission d'enquête spéciale. https://www.lexpress.fr/actualites/1/mo … 58759.html  jean Luc 


PS; cette affaire n'est pas sortie par hasard , c'est bien un scud
envoyer par la CDU  , le service en question est á Cologne, le ministre lui est à Berlin , il faudrais être con pour donner des ordres de ce genre alors que l'on est candidat depuis 2020

Comme par hasard dirait ce cher Zemmour, ce genre d'affaire sort toujours juste avant des elections.... C'est partout pareil c'est hallucinant

En Allemagne, le meurtre d'un étudiant par un anti-masques perturbe la campagne des législatives
La mort d'un employé d'une station-service, tué samedi à Idar-Oberstein par un client refusant de porter le masque, provoque de vives réactions en Allemagne, dans un climat de campagne déjà tendu.
Samedi dernier, un étudiant de 20 ans, employé d'une station-service a été abattu par un client qui refusait de porter un masque anti-Covid au moment de payer ses bières. L'auteur présumé, un homme de 49 ans, s'est rendu le lendemain à la police. Selon le procureur, l'accusé a déclaré qu'il se sentait "acculé" par les mesures de restrictions sanitaires, qu'il vivait comme une "atteinte croissante à ses droits." 

Le fait divers a provoqué un vif émoi dans le pays, à une semaine des élections législatives marquant la fin de l'ère Merkel. La chancelière allemande a condamné, par la voix de sa porte-parole, un meurtre "horrible" et dénoncé une "violence qui laisse sans voix." Les principaux candidats à sa succession ont exprimé de vives condamnations. Olaf Scholz, le candidat social-démocrate (SPD), s'est dit sur Twitter "très choqué que quelqu'un ait été tué parce qu'il voulait se protéger et protéger les autres." 
LIRE AUSSI >> Elections législatives : et si l'Allemagne passait à gauche ?

Le favori pour les élections de dimanche a directement mis en cause le mouvement des "Querdenker", les "libres penseurs" en français, vivement opposés à la politique sanitaire du gouvernement allemand. "Ce sont ceux qui tiennent des discours incendiaires, qui divisent, qui ont finalement contribué à alimenter un climat dans lequel cet acte est devenu possible dans l'esprit de cet homme", a déclaré Olaf Scholz, mercredi, à Cologne.  "La violence n'est pas un moyen"

"Je suis choquée par le terrible meurtre d'un jeune homme qui ne demandait qu'à suivre les règles en vigueur, à être prudent et à faire preuve de solidarité", a de son côté réagi la candidate écologiste, Annalena Baerbock.

"Toutes ces agressions et toute cette violence, aussi dans la parole, doivent prendre fin, a déclaré le candidat conservateur du parti d'Angela Merkel, Armin Laschet. C'est pourquoi j'en appelle à tous ceux qui ont un avis différent : la violence n'est pas un moyen." Le candidat CDU-CSU, impopulaire après plusieurs faux pas durant ces derniers mois, a été la cible de critiques après la diffusion d'un clip de campagne dans lequel un anti-masques interrompait son discours. Le commentaire suivant accompagnait les images : "D'abord réfléchir, puis discuter. Discuter avec ceux qui ont une attitude critique. Oui, avec eux, tout à fait." De quoi provoquer de vives réactions chez les opposants d'Armin Laschet, qui ont réclamé dans la foulée le retrait du clip.
LIRE AUSSI >> Alice Schwarzer : "La vie d'Angela Merkel et son parcours sont du pur féminisme"

Déjà présent dans la campagne, le sujet des anti-masques pourrait de nouveau s'inviter lors du dernier débat télévisé, ce jeudi soir. Le parti d'extrême droite Alternative für Deutschland (AfD), à la traîne dans les intentions de vote, tente déjà de mobiliser les réfractaires aux mesures sanitaires. Un discours dénoncé par des parlementaires du Bundestag, qui accuse l'AfD de cautionner les discours les plus radicaux. 
"Haine et harcèlement"

Le meurtre de samedi a réveillé la crainte d'une radicalisation du mouvement des anti-masques, très présent en Allemagne. La mouvance des "Querdenker" a été directement mise en cause par le ministre des Affaires étrangères Heiko Maas dans le meurtre, même si l'appartenance de l'auteur présumé à cette mouvance n'a pas encore été établie. Mais, souligne Jasper von Altenbockum, rédacteur en chef au service politique du Frankfurter Allgemeine Zeitung, "l'extrémisme de droite sait très bien exploiter ce courant à ses propres fins." "La haine et le harcèlement de ces personnes incorrigibles divisent notre communauté et tuent des gens, a ajouté le ministre des Affaires étrangères. Ils n'ont pas leur place dans notre société."  jean Luc 

Allemagne. La CSU ouvre la voie à un gouvernement mené par les sociaux-démocrates en lâchant Laschet

Le patron du parti bavarois a estimé mardi que le chef du SPD avait « plus de chances » pour devenir le prochain chancelier que celui de la CDU, le parti-soeur pourtant de la CDU.
Les sociaux-démocrates du SPD, arrivés en tête des élections allemandes, sont prioritaires pour tenter de former le prochain gouvernement, a estimé mardi 28 septembre 2021 le parti conservateur bavarois, allié à celui d’Angela Merkel.

Le chef de file du SPD "Olaf Scholz a plus de chances de devenir chancelier en ce moment, clairement", a déclaré lors d’une conférence de presse le dirigeant du parti conservateur bavarois CSU, Markus Söder, se démarquant ainsi clairement de son homologue de la CDU, Armin Laschet, qui entend encore tenter de succéder à Angela Merkel en Allemagne en dépit de la deuxième place obtenue dimanche.
Une question de "morale"

"Aucun mandat pour gouverner ne peut être légitimé moralement à partir de ce résultat électoral" obtenu dimanche par les conservateurs, le plus mauvais obtenu depuis 1949, a fait valoir Markus Söder, qui avait au printemps l’ambition de concourir à la chancellerie, avant de devoir s’effacer au profit d’Armin Laschet, moins populaire que lui. "Le résultat d’une élection ne peut être réinterprété […], il faut l’accepter, c’est une règle de base de la démocratie", a-t-il martelé.

"Le SPD n’est pas devant de beaucoup, mais il est quand même devant les partis de l’union" (CDU et CSU) au terme des élections législatives, a de son côté souligné le chef du groupe CSU au Bundestag, Alexander Dobrindt.
Une "coalition feu tricolore" à négocier en premier

"Par conséquent, on ne peut pas revendiquer un droit automatique à un gouvernement de l’union" et "on doit comprendre que les Verts et le FDP (le parti libéral) soient les premiers à discuter avec le SPD", en vue de former le prochain gouvernement a-t-il ajouté.

Une telle coalition entre SPD, écologistes et libéraux, baptisée "feu tricolore" selon les couleurs associées à chaque parti, est la "première solution évidente", a asséné de son côté Markus Söder.
Pass sanitaire européen : facilitateur ou frein pour voyager ?

Armin Laschet, déjà lâché par plusieurs députés de son camp ou cadres de son parti, voit ainsi l’étau se resserrer un peu plus autour de lui. Si la CSU se désolidarise du parti d’Angela Merkel, celui-ci ne pourra même pas tenter de former une coalition avec Verts et libéraux, faute de disposer de suffisamment de députés au Bundestag sans l’apport des parlementaires bavarois.
Allemagne. La CSU ouvre la voie à un gouvernement mené par les sociaux-démocrates en lâchant Laschet
https://www.ouest-france.fr/europe/alle … 1fbac55cd7 .jean Luc

Ps:grosse défaite de la CDU , et si mutti Merkel avais rien fait ,elle aurais été encore plus grave , victoire annoncé pour le SPD, progression pour les verts , mais aurais pu faire mieux si la candidate étais pas nunuche ,belle progression des libéraux , alors que la télé allemande les as ignorer pendants les trois débats . alors ses deux faiseurs de roi vont discuter déjas entre eux  , pour voir comment faire pour mettre leurs divergences de cotés , là ils risquent  gros  car si ils empêchent une coalition de se former les électeurs les sanctionnerons  . Markus Söder est t'il un traître à son camps , non pas du tout , il y as pas de règle , mais   le partis arrivé en tête as toujours été prioritaire pour faire une coalisions,  Laschet  veut passer outre cette règle non écrite , car c'est un arriviste , Söder lui as rappelé ce principe

Qui aurait pu penser que l'Allemagne basculerait à gauche??? Qu'est-ce que cela va changer au niveau économique, social et migratoire???

STEFFIFI a écrit:

Qui aurait pu penser que l'Allemagne basculerait à gauche??? Qu'est-ce que cela va changer au niveau économique, social et migratoire???

le SPD n'est pas de gauche ,mais de centre gauche il est sociale démocrate , mais pas socialiste comme le ps , les vert eux vont de la gauche jusqu’à la droite, il y les gaucho et les réalos (centre droite) en ce moment ils sont réalo, les libéraux eux sont de droite . la prochaine coalition ne seras pas de droite noir ,jaune ,verte (Jamaïque coalisions) ou de gauche rouge ,vert,jaune (ampele  coalisions), ou encore rouge noir (grande coalisions) mais centre droit ou gauche . il y as rien de vraiment fondamentale qui va changer , sauf en ce qui concerne l’environnement .Une   chose est sûre quelque soit la couleur de la coalisions , elle défendras les intérêts de l'Allemagne ,et non de l'Europe ou de la France.jean Luc

Ah oui, c'est compliqué chez vous Au moins, les écolos ne sont pas enfermés dans n ultra-gauchisme dangereux.

Donc, le SPD, c'est bien le Parti de Schröder? C'était comment à l'époque niveau économique et social?

Karma! L'erreur d'avoir écarté  Markus Söder au profit de Laschet et bam sanction!
Markus Söder doit l'avoir mauvaise je pense en taclant Laschet au passage...

amaretto1971 a écrit:

Karma! L'erreur d'avoir écarté  Markus Söder au profit de Laschet et bam sanction!
Markus Söder doit l'avoir mauvaise je pense en taclant Laschet au passage...

je pense qu'il va lui faire mordre la poussière . celas as été une énorme faute, en plus laschet n'a pas été nommer par les militants , mais simplement par les apparatchik du partis . les allemands voulais Söder , pas laschet , pour le descendre ils ont  descendu la CDU ,la défaite est simplement historique. jean Luc 

Maintenant quelle sera la politique migratoire de ce cher olaf face à celle que proposait angela? si j'ai bien compris olaf est plus à gauche que angela?

je dirais la mains gauche d’Olaf pourrais tenir la mains droite d’Angela ,il y auras pas beaucoup de changement en la matière . se seras la continuité . jean Luc

Merci j-luc de ta lumière, rien de neuf sur ce sujet, on verra bien très prochainement

la différence  des programmes entre la CDU et le SPD est très mince .donc se seras dans la continuée . le plus intéressant seras de voir si les verts peuvent gouverner avec les libéraux , s'il veulent pas ou peuvent pas s'entendre, ils serons sanctionner gravement , dans ce cas on retourneras grande coalisions inversé SPD-CDUCSU . Dans les années 50 les deux grand partis CDU-CSU et  SPD réunissaient 85%  des voix , aujourd’hui 47 %, les deux grand partis sont en déclaint constant de puis plus de 30 ans . jean luc

STEFFIFI a écrit:

Ah oui, c'est compliqué chez vous Au moins, les écolos ne sont pas enfermés dans n ultra-gauchisme dangereux.

Donc, le SPD, c'est bien le Parti de Schröder? C'était comment à l'époque niveau économique et social?

avant la chute du mur c'etais le modèle du capitalisme sociale de marché, il y avais 3 partis la CDU_CSU , le SPD , le faiseur de chancelier le FDP . puis il y as eu les verts bourgois ecolo  genre mai 68 dans fin des  année 80 ,il rentre  au Bundestag en 1983, parti anti système , auprès la chute du mur de Berlin apparais le PDS (communiste) qui fusionneras avec l'aile gauche du SPD (oscard Lafontaine) et deviendras le der linke    partie anti capitaliste(la gauche), avec Schöder  le SPD perd son électorat de gauche , dans les année 2000 apparais l'AFD parti anti européen , dont la direction seras chassé par les menbres venus du NDP , partis devenue anti musulman , anti juif, hitlérien, anti étranger donc anti français . avant la chute du mur l’économie marchais bien , pas de chômage ou peu très bonne couvertures sociale par ex  le chômage á 75% du salaire pendant 3 ans ,maintenant c'est 60% pendant 1an ,les minimum sociaux à la baisse les lois harzt IV ont engendrés une mobilité accrue du marché du travail , une montée de la pauvreté, et de l’exclusion qui concerne 20% de la population , même ses lois ont profité aux 80% restant  . jean Luc 

Ah oui, c'est pire qu'avant, alors qu'on nous vante sans arrêt le modèle économique allemand...

STEFFIFI a écrit:

Ah oui, c'est pire qu'avant, alors qu'on nous vante sans arrêt le modèle économique allemand...

oui et non á la fois , car les lois harzt IV on permit à de nombreuses personnes ont pu se reconvertir ,mais pour avoir les aides sociales il faut avoir dépenser tout son capitale financier avant d'avoir  une aide ,on attend que la personne soit au fond du trou pour aider avec des aides qui permette pas de remonter . celas motive aussi les gens pour trouver un travail .  en fait se sont les gens les moins qualifier qui sont les premières victimes , lá je parle pas de maçons ou plombier , ou électriciens , mais de gens dans les chaînes de montage , ou comme manœuvres , ou maîtrisant mal la langue et pas seulement les étrangers. la flexibilité du marché du travail as permit de changer d'entreprises plus souvent , avant il faillais des mois de préavis, voir un an avant de pouvoir partir pour les anciens salariers , maintenant 3 mois celas suffit , voir un mois. il y as du pour et du contre .  avant un salariers avais une garantie pour rester a vie dans l'entreprise , il pouvais pas être licencier , donc avant d'embaucher les entreprises regardaient à deux fois , maintenant vite dedans, vite dehors . c'est pour cette raison que l'on préfèrent les grand groupes , ou on as une meilleurs sécurités . 30% des salariers de l'automobile sont des intérimaires employés par des sous-traitant , ceux là sont les première victimes de la révolution automobile électrique , il y as moins de pièces à monter ,donc moins de besoin d'ouvriers spécialisé , par contre on as plus besoin d'electro-monteur spécialiste des moteurs électrique .  C'est pour cette raison que les gens qui sont bien diplômer s'en sorte mieux .  jean luc

Les lois harzt IV permette de financer de vaste programme de reconversion . il faut se reconvertir en permanence . je prend un exemple celui de pharmacien , il y as 40 ans pas d'ordinateur , ni internet,ni Google et compagnie, le métier as complètement changé .il y as 15 ans le responsable d'une filiale d'officine de  pharmacie n'exister pas , il y avais environ 25-30 000 officine aujourd’hui 19 000 . Ma femme as dû suivre la révolution numérique avec l'internet sur 40 ans d'expérience ,elle as passer au moins 1ans en stage divers dans le cadres de la formation continue.  jean Luc

Allemagne: vers un gouvernement SPD-Verts-libéraux
Le rouge des sociaux-démocrates, l’orange des libéraux, et le vert des écologistes: telle est la coalition baptisée «feu tricolore» que souhaitent officiellement former en Allemagne, le SPD, le FDP et les Grünen. Dix jours après les élections législatives, les trois partis qui disposent d’une majorité arithmétique au Bundestag, se retrouveront jeudi pour de premières consultations, préalable indispensable au lancement de futures négociations de gouvernement. La vie politique s’est accélérée après que les deux partis minoritaires et néanmoins faiseurs de rois - Verts et droite libérale - ont annoncé leur intention de discuter exclusivement avec le SPD d’Olaf Scholz, arrivé en tête du scrutin. Par là même, les conservateurs d’Armin Laschet sont écartés du jeu et ne pourraient le réintégrer que si les pourparlers «feu tricolore» échouaient.



«Le pays ne peut pas se permettre un long immobilisme», a justifié la tête de file des Verts, Annalena Baerbock, tandis que Berlin est attendue sur la scène internationale. Les Grünen entretiennent plus d’affinités avec le SPD, en particulier sur le terrain social. Le FDP est plus proche de la CDU, notamment sur les baisses d’impôts, mais son président, Christian Lindner, a dû se rendre à l’évidence: le parti d’Angela Merkel, qui affronte une crise ouverte, n’est pas en état de former un gouvernement.
Mariage de raison inédit

C’est donc un mariage de raison inédit qui s’esquisse, associant pour la première fois depuis 1961, trois partenaires de coalition. Seule la région du Rhénanie-Palatinat (Bonn) expérimente aujourd’hui un tel gouvernement, mais sur le plan fédéral, l’équation est tout autre. «Nous ne sommes pas au bout de nos peines», a prévenu le second vice-président des Verts, Robert Habeck, eu égard aux nombreuses divergences existant entre Verts et libéraux. À l’inverse du FDP, partisan de l’orthodoxie budgétaire, les écologistes entendent assouplir les règles de financement des investissements publics. Les deux ne partagent pas le même sentiment d’urgence dans la lutte contre le réchauffement climatique, tandis que le SPD s’inquiète de ses répercussions industrielles.


Les désaccords sont identiques sur l’Europe. «Lors des discussions sur l’emprunt communautaire, les libéraux étaient sur la même ligne que le chancelier autrichien Kurz», hostile à cette mesure, s’inquiète la députée écologiste du Bade-Wurtemberg, Franziska Brantner. La perspective évoquée dans la presse de voir le président du FDP, Christian Lindner, occuper le poste de ministre des Finances, a de quoi inquiéter Rome et Paris, estime La Repubblica. Le cas échéant, «la pression allemande pour revenir aussi vite que possible à l’austérité fiscale et monétaire deviendra très forte» écrivait récemment le quotidien italien. Le vainqueur du SPD, Olaf Scholz, actuel titulaire du poste, fait preuve d’un conservatisme similaire dans la gestion des finances publiques. Mais le parti social-démocrate met en avant son agenda social.

En revanche, Verts et libéraux plaident pour la libéralisation de la consommation de drogues, le vote à partir de 16 ans et la suppression d’un texte punissant la promotion de l’IVG. L’heure des compromis devrait bientôt sonner. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon … ar-AAPcTjS  .jean Luc  

PS: il y auras pas d’instabilité politique , la constitution ne permet pas d'avoir une majorité , il devras y avoir une coalisions "tricolore " rouge (SPD) orange (FDP)  VERT (GRUNEN). la CDU est en crise, de nombreux députés  ne soutienne plus Laschet qui est aussile patron de la CDU

Les carottes ont l'air un peu cuites pour Laschet! Peut-être pas pour la coalition  "Jamaïque" ( noir-vert/-jaune  ou encore CDU/CSU -Grüne- FDP ).

Chanounou a écrit:

Les carottes ont l'air un peu cuites pour Laschet! Peut-être pas pour la coalition  "Jamaïque" ( noir-vert/-jaune  ou encore CDU/CSU -Grüne- FDP ).

une coalisions avec la CDU comme chef de file me parais pas souhaitable , les électeurs les ont virés ou avec Söder comme chancelier  . là je peut dire que la France va souffrir avec lui .  jean Luc 

Allemagne : Armin Laschet prêt à quitter la tête de la CDU ?
Le chef de file des conservateurs a franchi un pas vers son retrait à la tête du parti, jeudi 7 octobre. Et ce, après de vives critiques à son égard.



Allemagne : Armin Laschet prêt à quitter la tête de la CDU ?
Le chef de file des conservateurs a franchi un pas vers son retrait à la tête du parti, jeudi 7 octobre. Et ce, après de vives critiques à son égard.
Moins d'un an apres avoir pris dans la douleur la tete du parti d'Angela Merkel, Armin Laschet a precise qu'il allait demander la tenue d'un congres de la CDU, dont la date et le lieu restent a determiner, afin de decider << de l'avenir et la reorganisation >> a la tete du parti.
Moins d'un an après avoir pris dans la douleur la tête du parti d'Angela Merkel, Armin Laschet a précisé qu'il allait demander la tenue d'un congrès de la CDU, dont la date et le lieu restent à déterminer, afin de décider « de l'avenir et la réorganisation » à la tête du parti. © JOHN MACDOUGALL / AFP


Armin Laschet serait sur le départ. Après des élections désastreuses pour son camp, et de vives critiques contre lui depuis, le chef de file des conservateurs allemands a amorcé son retrait de la direction de la CDU, le parti d’Angela Merkel. Jeudi 7 octobre, à Berlin, il a annoncé qu’il allait « aborder rapidement la question de la nouvelle équipe de la CDU, du président au présidium et jusqu’au comité exécutif fédéral ». L’homme politique était très attendu sur ce sujet, affaibli et sous pression depuis le scrutin du 26 septembre dernier qui n’a pas joué en faveur des conservateurs allemands.

Moins d’un an après avoir pris dans la douleur la tête du parti d’Angela Merkel, il a précisé qu’il allait demander la tenue d’un congrès de la CDU, dont la date et le lieu restent à déterminer, afin de décider « de l’avenir et la réorganisation » à la tête du parti. « Depuis le retrait d’Angela Merkel de la présidence du parti, nous avons un débat incessant » autour de la direction de la formation, a-t-il également insisté. Selon le quotidien Bild, ce congrès pourrait se tenir durant la première quinzaine de décembre à Dresde (est).
Le plus mauvais score électoral du camp conservateur

Armin Laschet est rendu personnellement responsable du plus mauvais score électoral (24,1 %) jamais réalisé par les conservateurs dans l’histoire de l’Allemagne moderne. Difficilement élu à la tête de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) en janvier, il avait ensuite dû batailler avec Markus Söder, chef de la CSU, l’avatar bavarois de la CDU, pour être le candidat des conservateurs à la chancellerie.


Auteur d’une campagne ratée malgré l’implication in extremis d'Angela Merkel, Armin Laschet continue de marteler qu’une coalition dite « Jamaïque », c’est-à-dire avec les libéraux et les Verts, reste possible. Son parti est « toujours prêt pour (une coalition) Jamaïque » avec les Verts et les libéraux du FDP, a-t-il insisté jeudi. « La (coalition) Jamaïque est une chance pour un vrai nouveau départ dans notre pays », a-t-il ajouté.
Vers un gouvernement de coalition

Mais les écologistes et les libéraux, arrivés respectivement en troisième et quatrième position du scrutin, mènent des discussions préliminaires avec le SPD en vue de former un gouvernement de coalition rapidement et d'éviter ainsi une longue paralysie redoutée dans toute l’Europe. À l’issue d’un premier round de discussions jeudi, les formations ont décidé de se retrouver dès lundi pour des pourparlers approfondis qui se poursuivront mardi puis vendredi.



Aucun des partis n’a toutefois voulu dire quand ces discussions pourraient aboutir à la formation d’une coalition dite « feu tricolore » (rouge du SPD, vert des écolos, jaune des libéraux, NDLR). D’importants obstacles se dressent encore sur le chemin d’une alliance, notamment sur les questions fiscales. Mais, en cas d’accord sur les grandes lignes d’une future alliance, les trois partis entameront alors des négociations de coalition à proprement parler. Tous ont néanmoins répété vouloir aller vite. Le chef de file du SPD, Olaf Scholz, qui deviendrait chancelier en cas d’alliance, avait assuré dès le soir des élections vouloir un gouvernement « avant Noël ».
Qui pour succéder à Armin Laschet ?

Depuis la défaite du 26 septembre, les rivaux en interne d'Armin Laschet, tels Friedrich Merz ou Jens Spahn, qui défendent une ligne plus à droite, sont en position pour la succession. Markus Söder, le chef de la CSU bavaroise, s’était fait une raison juste après le scrutin législatif. La décision est « un clair rejet de la coalition jamaïcaine », avait-il analysé, jugeant que s’ouvrait pour les conservateurs « une période à laquelle il faut (se) préparer », une probable cure d’opposition après seize années d’ère Merkel.



Mercredi, en marge d’un sommet UE-Balkans, la chancelière elle-même avait douché les espoirs conservateurs en relevant que son camp n’avait pas « le meilleur résultat électoral » pour pouvoir prétendre former une coalition. À l’issue de la première réunion des députés conservateurs au Bundestag, le chef du groupe parlementaire, un proche d’Armin Laschet, n’avait été réélu que pour six mois, et non un an comme le veut la pratique.

   
Un signe que le camp CDU9CSU anticipait son passage dans l’opposition et un remaniement de ses équipes. L’attelage « Jamaïque » est loin d’être l’option privilégiée par les Allemands. 53 % souhaitent une coalition entre SPD, Verts et FDP et 74 % estiment que la CDU-CSU devrait se retirer dans l’opposition, selon un sondage Forsa publié mercredi. https://www.lepoint.fr/europe/allemagne … 5_2626.php  jean Luc

PS:
Enfin il part ,il aurais du le dire au soir Du Waterloo électorale subie le 25-9-2021 . il faut savoir aussi que sa candidatures n'est pas un modèle de démocratie puisque aucun congrès ,n'a validé sa candidature , seul quelques fonctionnaires du partis se sont réuni pour l’élire. jean Luc

Gouvernement de coalition : amis allemands, ne traînez pas !


Alors que Verts, libéraux et sociaux-démocrates négocient, près de trois semaines après les législatives, les autres Etats de l’Union européenne attendent anxieusement, conscients qu’aucune initiative majeure ne pourra avancer sans Berlin.


Editorial du « Monde ». Près de trois semaines après les élections législatives du 26 septembre, des négociations en vue de former une coalition gouvernementale tripartite progressiste commencent à Berlin jeudi 7 octobre. Les dirigeants des Verts et du Parti libéral FDP, arrivés respectivement en troisième et en quatrième position aux élections et eux-mêmes en discussion depuis plusieurs jours, ont annoncé mercredi l’ouverture de pourparlers avec les sociaux-démocrates du SPD, arrivés premiers.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Allemagne, les négociations entre les sociaux-démocrates, les Verts et les libéraux s’amorcent pour former un gouvernement

Les choses sérieuses commencent donc, et il est temps. L’objectif de cette négociation à trois est de trouver un accord suffisamment solide sur un programme commun de gouvernement pour former une coalition dite « feu tricolore », d’après les couleurs des trois partis, vert pour les écologistes, jaune pour le FDP et rouge pour le SPD. C’est la procédure du régime parlementaire allemand, et elle a de multiples vertus, la première étant d’assurer la stabilité gouvernementale outre-Rhin.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Allemagne : en Rhénanie-Palatinat, les leçons de la coalition « feu tricolore »

Mais il ne s’agit pas que de l’Allemagne. Vingt-six pays attendent anxieusement qu’un gouvernement en ordre de marche sorte de ces tractations : ce sont les vingt-six autres Etats membres de l’Union européenne, qui savent qu’aucune initiative majeure ne peut être prise dans le cadre européen tant que la fumée blanche n’est pas sortie à Berlin. La France est en première ligne, non seulement parce qu’elle forme avec l’Allemagne un tandem censé fournir le moteur de la dynamique européenne, mais aussi parce qu’elle prend le 1er janvier la présidence tournante de l’UE. Paris a un certain nombre d’ambitions pour ces six mois de présidence ; l’absence d’un interlocuteur opérationnel à Berlin paralyserait la plupart de ses initiatives, d’autant plus que la campagne pour l’élection présidentielle d’avril viendra rapidement parasiter l’agenda européen.
Nouveau souffle

Il est donc impératif que les partis allemands parviennent à former un gouvernement d’ici à Noël. L’expérience de 2017 avait été désastreuse : après une première série de négociations sous l’égide de la chancelière Angela Merkel, le FDP avait claqué la porte et Mme Merkel avait ouvert de nouveaux pourparlers, qui avaient fini par aboutir à la « grande coalition » du bloc démocrate-chrétien CDU/CSU avec le SPD. Le tout avait pris plus de cinq mois, pendant lesquels aucune réponse n’avait été apportée aux propositions françaises de relance de l’Europe. Beaucoup reconnaissent aujourd’hui à Berlin le coût pour l’Europe de cette longue pause. Il serait encore plus lourd aujourd’hui, compte tenu du contexte mondial.

L’autre intérêt pour les Européens est la nature de l’accord gouvernemental qui sortira des négociations. La bonne nouvelle est qu’une coalition SPD-Verts-FDP, si elle se confirme, constitue ce qui ressemble le plus à une alternance outre-Rhin. L’Allemagne a besoin d’un nouveau souffle après seize ans de merkélisme : les idées neuves des Verts et l’impulsion de ces deux petits partis moins usés que la CDU et le SPD, de même que la relève des générations qu’incarnent leurs leaders, devraient apporter cette fraîcheur à un gouvernement qui serait selon toute vraisemblance dirigé par Olaf Scholz, chef du SPD et ancien ministre des finances de Mme Merkel.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Elections en Allemagne : les députés Verts et sociaux-démocrates rajeunissent le Bundestag

L’enjeu européen est immense. Le premier sujet sera l’avenir des règles budgétaires communes, qu’il est indispensable d’assouplir si l’on veut encourager la reprise et investir massivement dans un futur décarboné et numérique, mais il y a bien d’autres sujets. Amis allemands, bonne chance – et ne traînez pas : le temps presse !
https://www.lemonde.fr/idees/article/20 … _3232.html
   jean luc 

PS: le problème c'est pas la première réunion ,les verts et les libéraux se sont déjas rencontré pour voir si il y as la possibilité de faire une collision . Les discutions vont bon trains . les allemands attendent un gouvernement tricolore ,il faut du temps pour faire un programme de coalisions . en France le président gagne les élections avec 25% des voix , rafle la majorités des députées, et installe ses potes aux poste du gouvernement ,et impose au français sa vision des choses pendants 5 ans . ici rien de tout celas le vainqueur avec 25% des voix doit chercher une coalisions pour avoir la majorité , on fait des compromis ,un programmes qui tient compte des partis de la coalisions,  on met dans un même plat du paprika rouge , jaune , vert , on mélange et on sort un programme sauce paprika avec du poivre de Cayenne (rouge) des herbe de Provence (vert) ,et de curry (jaune) et c'est partis pour 5 ans . jean Luc