comme le disait Milor,j'avais traité ce sujet des voitures précédemment mais je n'avais pas à ce moment là les réelles explications de tous ces déboires.
Maintenant que sont ou seront mises à jour toutes les magouilles de la famille et en comprenant mieux les raisons,je me dis que cela ne pourra aller que vers le mieux car on était au pire.
Cette organisation mafieuse a enfin tourné court!!
*Et je reviens donc dans ce pays que j'ai quitté depuis trois mois pour redonner vigueur à notre entreprise.
Notre devoir aujourd'hui en tant qu'expat est d'apporter notre savoir-faire, notre argent pour que la liberté puisse s'établir.
Car sans argent, et avec la pauvreté qui risque de s'installer si le tourisme ne reprends pas, certains extrémismes risquent de venir à la rescousse dans ce pays démocratique.
Ce que n'a pas compris Ben Ali c'est qu'à éduquer les foules,ont les rends apté à se rebeller et à réclamer des droits et du travail.
Ce pays a des ailes et il nous faut lui apprendre à voler loin des sombreurs de l'obscurantisme qui est le piège dans lequel il risque de tomber si les pays Européens ne l'aide pas,en tout cas pas à la manière de MAM ou de l'internationale socialiste.
Les opportunités sont immenses et les entreprises principalement Françaises qui avaient refusées de se soumettre au joug benalien vont revenir.
Je ferai parti des premiers convois avec tous ceux qui martyrisés par le tyran,fort d'une expérience européenne ou internationale acquise,franchiront le pas du retour au pays.
C'est la force de ce pays, ce qui est le revers positif de ces départs contraints, que de revenir avec cette richesse de savoir et d'organisation acquise à l'étranger.
Les capitaux vont affluer avec tous ceux qui vont rentrer et grâce à eux, les anciens parias du régime, la misère devrait reculer.
Bref: la Tunisie,nouveau fer de lance d'un islam qui se voudra tourner dorénavant vers la toute démocratie,loin des intérêts privés de ses dirigeants et marchands d'armes.
Je l'espère en tout cas et c'est pour cela que je reviens de mon expatriation forcée vers la France.
Mais que l'on nous aide,nous les combattants qui devont prendre le relais des autres,ceux qui ont payés de leur vie afin que l'économie du pays reparte .
C'est avec grande intelligence que ce soulèvement n'a pas touché aux intérêts touristiques
Sans argent, on ne peut rien faire et toutes les manifestations ne serviront à rien sauf à éconduire cette révolution et celles qui se préparent ailleurs.
Ce pays risque d'être une plaie et l'exemple à suivre ou pas selon qu'on dirige ou qu'on est sous je joug.
Mais probablement est-ce déjà le cas, que de nombreux pays essaieront de contrecarrer ce qui s'est passé pour maintenir dans leur pays leur dictat économique entièrement dirigé par ceux qui gouvernent.
Fragile liberté donc qui ne servira à rien si la Tunisie ne se remet pas au travail et ne montre pas la confiance qu'on peut avoir en elle.
Claire