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Expat.com

L'économie tunisienne peut-elle encore éviter la banqueroute ??

Nouvelle discussion

mariane225

http://www.kapitalis.com/kapital/34-eco … route.html

milord

Tout simplement non, car la France payera ce qu'il faut pour cela!!!La Tunisie, est , et sera toujours de toute façon une économie sous perfusion..
Francis

mariane225

Bonne déduction et réaliste

milord

Que peut attendre la Tunisie des aides extérieures? Réponse de M. Ennabli, sous forme de boutade: «Tout le monde parle d’aider la Tunisie, mais les aides on ne les voit pas venir, sinon elles restent très faibles». «Il y a certes les prêts, mais peut-on se permettre d’emprunter davantage?», s’interroge le gouverneur de la Bct qui s’empresse de répondre: «Nous devons compter d’abord sur nous-mêmes».

gaudi

Il n'y a pas d'altruisme en économie.
Si la France va "aider" la Tunisie, c'est parce qu'elle représente pour elle un important marché qu'elle veut maintenir.

Exemple: la vaste majorité du parc automobile en Tunisie est de fabrication française, la Tunisie n'a pas ouvert son marché aux fabricants coréens et asiatiques comme l'a fait l'Algérie.
Ce sont des accords confidentiels certainement.

magali et jean-luc

et allez encore une pique de Gaudi sur la France et les Français.

Quelle fabrication Française ? en France on fabrique des toyota et quelques un des modèles Renault ou Peugeot.

Mais peut-être que les coréens et les asiatiques ne donnaient pas de bakchich

On peut exprimer nos opinions avec modération, en relativisant, sans généraliser et sans blesser les autres, éviter les préjugés, éviter les ghettos et chercher à écouter et comprendre l'autre au lieu de recourir aux jugements de valeur et aux stéréotypes.

Professeur vite au stylo rouge

milord

Je vais faire attention de na pas faire de fautes, sinon,pan!!!
Je ne savais pas que Isuzu était Français lol
Cdlt
francis

gaudi

Arrêtez votre obsession avec gaudi, essayez de vous concentrer sur le contenu, sinon je vais vous demander de me payer les classes particulières.

Quand je dis de fabrication française, je parle des Renault, Peugeot, Citroên, qui sont des fabricants français, qu'ils montent leur appareils en Slovénie ou en Espagne, ça reste un capital français.

magali et jean-luc

Mince, Gaudi fait aussi des fautes ? vite vite leurs avec un s mais chut!!!!!!!!!!!!!!!!

Yud

Chers membres,

Je ne pense pas que le sujet de la discussion soit l'orthographe des uns et des autres! Peut-on alors s'il vous plaît de revenir sur le sujet initiale!

Merci pour votre aimable compréhension.

gaudi

Je ne vois aucun "leur" dans mon dernier message.
Mais, admettons que je fasse des fautes, le français n'est pas ma langue maternelle, je vis en Espagne depuis longtemps, je parle 6 langues, avec tous les risques d'interférences linguistiques.
Mais, ce qui est "impardonnable" c'est qu'un français "de souche" ne domine pas la langue de Molière et mutile sa langue nationale.
Allez- Monsieur Jean-Luc, je vous recommande la Bibliothèque Verte, éditée par Hachette et avec ça je termine cet échange
(hors-sujet), car je veux respecter les normes de ce forum.

Armand

Yud a écrit:

Chers membres,

Je ne pense pas que le sujet de la discussion soit l'orthographe des uns et des autres! Peut-on alors s'il vous plaît de revenir sur le sujet initiale!

Merci pour votre aimable compréhension.


Encore une fois!

milord

Pourquoi tant d'agressivité ?
même si nous faisons des fautes d'orthographe, car ça peut arriver à tous et à chacun, est-ce si grave quand on a des choses à exprimer ?
Lors de l'inscription au forum, y a t-il une clause d'avoir une bonne orthographe ? par contre la courtoisie est normale lors d'une discussion

Perso quand tu dis Gaudi :
"il n'y a pas d'altruisme en économie.
Si la France va "aider" la Tunisie, c'est parce qu'elle représente pour elle un important marché qu'elle veut maintenir."

je le pense aussi
(ce n'est en aucun cas une attaque contre un pays, entre autre la France)
mais en économie il est plus question d'intérêts, non ?

Toutes relations inter pays (et même certaines interventions)ne sont qu'économiques, vous ne croyez pas ?

gaudi

Paquita:
Ce que je voulais dire c'est que l'aide internationale n'est pas désintéressée.
Il y a toujours des objectifs économiques et/ou politiques.
Quelques Etats pratiquent une coopération internationale relativement désintéressée (Pays Scandinaves, Hollande et Canada).

milord

@ Gaudi : j'ai très bien compris ce que tu voulais dire et je suis tout à fait d'accord avec toi

lilouta

gaudi a écrit:

Paquita:
Ce que je voulais dire c'est que l'aide internationale n'est pas désintéressée.
Il y a toujours des objectifs économiques et/ou politiques.
Quelques Etats pratiquent une coopération internationale relativement désintéressée (Pays Scandinaves, Hollande et Canada).


moi aussi je suis tout à fait avec toi mon cher gaudi.

gaudi

Merci Paquita et chère Lilouta.

Milord: Isuzu:
Pour votre information, avant les camionnette bâchées Peugot 404 et 504 étaient les reines de la route en Tunisie, elles ont disparu, on ne les fabrique plus, donc, la Tunisie a importé ces véhicules utilitaires du Japon (montage en Tunisie et fabrication du plateau en Tunisie) et certains tunisiens les importent des pays du Golfe pendant leur retour définitif.

magali et jean-luc

Milord,

les 404 sont de 1960, et oui  4 ans après 1956 !!!

ces camionnette(S) sont "colector" pour les nostalgiques et elles ont été longtemps les reines de l'Afrique pour peugot, peugeot excusez moi.

Aujoud'hui, est-ce que l'on trouve des Suzuki et des toyota en Tunisie ?

gaudi

La 404 va se décliner en une véritable gamme, des familiales aux coupés et cabriolets. Dans les années 1970, la 404 trouvera une nouvelle jeunesse en s'exportant en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Sa carrière éblouissante s'achèvera en 1988, après près de trois millions d’exemplaires.

http://www.live2times.com/1960-arrivee- … -e--10875/

djerba

http://www.letemps.com.tn/article-55059.html

La BOURSE CONTINUE EN BAISSE TRES FORTE
chute vertigineuse de 2,07% de Tunindex - Le vent baissier continue de marquer les échanges à la Bourse de Tunis où la forte abondance de l’offre s’est encore accentuée avec des ratios de Couverture à 143% et  de Tendance  à seulement 70%.
Ceci s’est traduit par la poursuite de la baisse sensible et assez généralisée des cours comme en témoigne la balance des variations qui s’est inscrite largement dans le rouge avec 46 baisses contre seulement 2 progressions.

djerba

JOURNAL DU JOUR

l’indice phare TUNINDEX a encore prolongé sa sensible descente pour subir  une glissade  de  -2,07% pour passer sous la barre de 4200 points en terminant à 41581373 points. Ainsi, le principal baromètre de la place aura connu [b]une forte chute de 18,66% depuis début 2011.

Et après Gaudi va encore me dire que ce n'est pas vrai:D

gaudi

Ça y est Djerba a trouvé la mauvaise nouvelle du jour pour la Tunisie, elle peut dormir tranquille ce soir.

C'est une évidence que les bourses souffrent des effets psychologiques de la situation transitoire du pays (révolution + réclamations sociales + prochaines élections, etc.)
La bourse de Tokyo a chuté 11% en un seul jour à cause du Tsunami.
Je donne un autre exemple vécu: l'indice général de la Bourse de Madrid a perdu plus de 40% de sa valeur en 2008 et l'Espagne n'a pas connu de révolution en cette année, c'est seulement l'effet de la peur de la crise financière aux USA.



Pourquoi, il n'y a pas autant de zèle pour publier les bonnes nouvelles sur la Tunisie que les mauvaises.
Il y a deux jours sur la Une de tous les journaux en Espagne et le journal télévisé de TVE et certainement sur les autres medias européens, on a parlé d'une bonne nouvelle venue de la Tunisie que personne n'a évoqué ici: La Haute commission chargée de préparer les élections du 24 juillet de l'assemblée constituante tunisienne a opté pour un scrutin de listes à la proportionnelle et qui respecteront la parité hommes-femmes. Une décision saluée par l'UE, un modèle à suivre même pour les pays européens disait la directrice de l'Institut International des Etudes Arabes et du Monde Musulman de Madrid.

djerba

il était noté aussi il me semble que actuellement les femmes n'étaient à chaque fois qu'en dernière position et que elles n'auraient aucun role mais c'est vrai que je ne lis que les journaux tunisiens pas espagnols.
Et je n'ai pas pu en parler car coupure internet planet pendant trois jours.
Pour moi, je suis contre la parité obligatoire, car une femme peut être plus méritante ou pas, comme  l'a dit un journaliste:
"Sans aucune approche sexiste je trouve que le principe de parité homme - femme ne met pas vraiment en valeur la contribution de la femme tunisienne dans la vie politique et socio-économique. au contraire il enlève une partie de la dignité de la femme qui consiste au principe du merite.
en effet et dans la plupart des listes électorales qui ne seront proposées pour l'assemblée constituante, les femmes auront droit à un rôle de figurante et seront obligées de suivre des principes et des objectifs imposés par les têtes des listes.
nous tunisiens avons été pionniers en matière de droit de la femme sur le plan civique - abstraction faite du côté religieux - mais avec le principe de parité nous avons fait malheureusement un pas en arrière en offrant de la charité à la femme et lui enlever la dignité du combat politique démocratique. il aurait été meilleur de laisser les principes d'équité et de mérite jouer leurs rôles entre les différents candidats adverses ou de même
liste."

djerba

[b]Une autre bonne nouvelle[/b], nous avons un déferlement de lybiens ses derniers jours, à Zarzis, djerba ce sont des partisans de kadhafi et ils ont de l'argent,
par  contre a remada ce sont les autre lybiens qui arrivent affamés, un autre camp vient d'être monté

d'autres nouvelles de la frontière:

Les tunisiens attaquent les islamistes
Ras Jdir
(frontière tunisio-libyenne)

Tout portait à croire que la situation allait dégénérer au poste-frontière de Ras Jdir, frontière tuniso-libyenne, situé à plus de 500 km au sud-est de Tunis, n’était le sang-froid des uns et la sagesse des autres. Alors que les groupes de réfugiés continuaient à affluer de la Libye, plus d’une centaine de personnes armées de barres de fer, de manches à balai, de branches d’olivier et de gourdins, se sont ruées vers le campement d’un groupe d’islamistes installé à l’intérieur du poste-frontière.
Toutes scandaient des slogans anti-islamistes et proféraient des menaces à leur encontre. «Nous ne voulons plus de ces barbus dans la ville. Nous refusons leur diktat. Ils doivent partir d’ici», lance un sexagénaire furieux.
Il veut à tout prix démonter l’une des tentes où sont entreposés des stocks de produits alimentaires. D’autres jeunes lui emboîtent le pas et malmènent les occupants des tentes portant de longues barbes, la tête surmontée d’un képi et vêtus de tenues afghanes (une longue tunique et un pantalon large qui arrive à peine aux chevilles).
De la résistance  aux barbus
En fait, en touchant au gagne-pain des habitants, les islamistes ont signé leur «arrêt de mort», déclare un militaire.
«Ils ont interdit aux Libyens de venir acheter les pâtes et vendre le carburant.
De quel droit ? Ils savent très bien que la population de Benguerdane survit grâce au commerce avec les Libyens. Que veulent-ils ? Nous voir mourir de faim ?», lance en colère un jeune d’une trentaine d’années, qui fait dans la revente informelle du carburant libyen.
Un autre abonde dans le même sens. Armé d’une barre de fer, il veut coûte que coûte régler le compte à l’un des barbus, qui se présente, selon lui, comme étant l’émir.
«Ils nous ont créé un Etat dans un Etat et les autorités ne font rien.
Chaque jour, ils font des halakat (des rencontres) dans certaines mosquées de la ville. Ils obligent les transporteurs publics à séparer les femmes des hommes et les directeurs des lycées à bannir la mixité dans les classes. Aujourd’hui, ils viennent nous couper nos vivres. Jamais nous ne les laisserons faire. Ils doivent passer sur nos corps», crie-t-il.
La tension monte d’un cran.
Les islamistes tentent de s’expliquer. Ils demandent aux jeunes de «se calmer» en attendant l’arrivée de « Amir al mouminine » (l’émir des croyants).
«Partez d’ici, nous ne voulons plus de vous. Vous donnez une piètre image de l’Islam. Nous ne voulons plus de vous. Vous trahissez votre pays et votre religion», déclare l’un des plus vieux protestataires.
La soixantaine largement dépassée, il est le premier à avoir envahi le campement des islamistes, en leur crachant en plein visage. Il veut en découdre avec eux à coups de branche d’olivier qu’il porte dans ses deux mains et s’en prend aux militaires en leur reprochant leur «passivité».
Une tension inquiétante
C’est alors que l’un des barbus intervient : «Qui êtes-vous pour nous demander de partir ? Etes-vous le ministre de l’Intérieur ? Personne ne nous fera partir d’ici, bi indhni Allah (avec la bénédiction de Dieu.)»
Une déclaration qui met le feu aux poudres et exacerbe la colère des jeunes. Les militaires arrivent en force et séparent les deux belligérants.
Les islamistes se retirent dans un coin. Ils scrutent discrètement les jeunes contestataires qui se regroupent un peu éloignés de la barrière du poste-frontière.
Ils refusent de partir jusqu’à ce que les autorités «chassent» des lieux ceux qu’ils qualifient «d’intrus». Pour eux, ces derniers ont «dépassé leurs limites». Il a fallu des heures de discussions menées par des officiers de l’armée pour que le calme revienne.
Un calme plutôt précaire, car que ce soit dans la ville, dans le camp des réfugiés ou au poste-frontière de Ras Jdir, les altercations avec les islamistes sont de plus en plus fréquentes.
D’abord à cause de leur comportement ségrégationniste.
Dès qu’un groupe d’Africains arrive, les islamistes se précipitent vers eux avec des bouteilles d’eau minérale et des biscuits, en leur posant la question : «Etes-vous musulmans ?» Si la réponse est positive, ils leur distribuent l’aide.
Dans le cas contraire, ils reviennent avec cette aide aux tentes. Ce qui est totalement contraire aux principes qui régissent les activités humanitaires.

milord

djerba a écrit:

il était noté aussi il me semble que actuellement les femmes n'étaient à chaque fois qu'en dernière position et que elles n'auraient aucun role mais c'est vrai que je ne lis que les journaux tunisiens pas espagnols.


50/50  obligatoire :
http://www.tunisienumerique.com/2011/04 … stituante/http://www.tunisienumerique.com/2011/04 … ommefemme/

et c'est un journal tunisien  ;-)  ;-)

djerba

oui obligatoire à 50/50 dans la liste pas dans les personnes élues et pas en tête de liste
Tunisie : "Mode de scrutin inapproprié, la femme sera une figurante"
http://www.gnet.tn/temps-fort/tunisie/k … u-325.html

djerba

La nouvelle loi a introduit le principe de parité homme/femme sur les listes électorales. Est-ce vraiment à l’avantage de la femme ?
Tout d’abord, les partis politiques n’ont pas tous des femmes en leur sein. La femme n’est pas une sous-race, c’est une citoyenne égale à l’homme. C’est une question de principe de ne pas traiter la femme de cette manière touchant sa dignité. Il s’agit aussi d’une question de procédure et d’application, la présence de la femme en 2è, 3è ou 4ème position, lui conférera un rôle de figurante, puisqu’elle n’aura que très peu de chances d’être élue. Et puis, il ne faut pas oublier les régions intérieures. Il faut prendre en considération la culture et l’état d’esprit qui prévalent dans certaines régions de la Tunisie.

milord

question difficile que même ici en Europe nous n'avons pas encore résolue ...j'ai toujours été contre les quotas mais comment faire ? perso je n'ai jamais trouvé de réponses ...

magali et jean-luc

L'économie tunisienne peut-elle encore éviter la banqueroute ??

revenons à la question !!!!!!!!!!!

voir ce soir le reportage de  "capital" sur M6.

mariane225

La parité pourrait être révisée à 30 pour cent !!!

http://www.businessnews.com.tn/B%C3%A9j … 20,24374,1

djerba

Pour l'instant c'est l'incertitude, peut etre en aout nous pourrons répondre à cette question mais pour l'instant????????

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