transport d'argent de france à mada....

Tout à fait d’accord avec vous Lys, nos attaches c’est nous qui les créons, mais quand il n’y en a plus, on peut se permettre de vivre sa vie ailleurs et profiter de la vie qu’il nous reste, je n’aime pas non plus tout ces attroupements je préfère une vie simple et sans prises de tête, alors oui vivons notre vie comme bon nous semble:cool:

Lys de Nosy Bé a écrit:

Le monde est tellement grand et à découvrir que je vois pas pourquoi je retournerais chaque année très exactement dans le pays où j'ai vécu presque 20 ans !!!
Peut être suis je bien aidée dans mon désir de ne plus retourner en France parce que je n'y ai plus de famille et plus de maison personnelle (à part des habitations de rapport)...
Je comprends bien qu'avec des enfants bi nationaux il est peut être important de créer une attache avec  la France, leur créer des souvenirs d'enfance et des liens avec peut être leurs petits cousins et cousines !

J'ai, personnellement, je pense, plusieurs raisons objectives à aimer rentrer en FRANCE chaque année :

- en premier lieu car je dispose de deux (2) billets d'avion contractuels/an ANTANANARIVO-LYON pour toute ma petite famille;

- d'autre part parce que j'estime que, quand on travaille et réside à l'année à MADAGASCAR - et surtout à ANTANANARIVO -, il est plus qu'essentiel de pouvoir "s'aérer" régulièrement;

- mon travail m'amène, de plus, à régulièrement voyager - en moyenne trois (3) ou quatre (4) voyages/an hors de MADAGASCAR et un (1) tous les mois en province -;

- nous avons, en outre, un pied-à-terre en FRANCE dans une région - le BEAUJOLAIS - où on cultive une qualité de vie particulière;

- enfin, mes enfants sont nés à MADAGASCAR et ils sont très "curieux" et demandeurs pour découvrir la FRANCE et l'EUROPE. L'année dernière, c'était la CATALOGNE, les années précédentes la VALLÉE DU RHÔNE, les ALPES, .....

On sait également tous deux, chère Lys, que nombre de ceux qui ont l'habitude de dire "je ne suis pas rentré en FRANCE depuis dix (10) ans mais cela ne me manque pas", n'ont, de manière beaucoup plus concrète, tout simplement pas les moyens financiers d'envisager des vacances hors de MADAGASCAR.