Six villes canadiennes attirent les immigrants
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Combien de fois nous entendons les futurs immigrants se poser la question avant même de débarquer dans leur nouveaux ''chez eux'' au Canada :
'' Quelle endroit choisir pour élire son domicile? ''
Quoi de normal que de se poser la question, surtout que la majorité immigrent vers un endroit ou ils n'ont jamais mis les pieds. L'inconnu en personne.
De ce fait, lors de notre recherche sur la ville dans laquelle nous allons débarquer, nous nous préoccupons de certains éléments (ou critères) essentiels, qui diffèrent bien sure d'un immigrant à un autre, car tout le monde ne valorise pas de la même façon les différents aspects de la vie qu'il inspire à vivre; mais qui à la fin converge à la même finalité : le bien être et la qualité de vie tant convoitée.
La société, la santé, l'économie, l'environnement, l'éducation, l'innovation et le logement, voilà principalement ce que cherche un immigrant avant de s'installer et un immigrant intelligent est celui qui s'informe bien comme il faut avant d'emboiter le pas. Certes que les statistiques restent que des chiffres, mais ce sont des chiffres qui ''parlent''. De plus les multitudes témoignages des immigrants sont nu éléments essentiels pour se faire une idée de son futur endroit ou vivre, mais à prendre avec modération, car il a été dit plus haut à chacun sa façon de concevoir le bien-être de lui-même.
Ces 3 dernières années, à chaque avril je vous livre la fameuse étude annuelle (faite pas Moneysense magazine) sur les meilleures villes ou il fait bon de vivre au Canada, (bon ce n'est pas la peine de vous rappeler que la meilleure reste toujours Ottawa ). Aujourd'hui le Conference Board du Canada a émis son deuxième rapport évaluant la capacité d'attraction des villes canadiennes.
Les six villes les mieux classées au palmarès sont :
Ottawa (au chapitre de l'innovation et de l'éducation),
Waterloo (pour l'excellence de sa haute technologie en éducation et dans les affaires)
Calgary (premier rang dans la catégorie de l'innovation et le deuxième dans la catégorie du logement)
Richmond Hill, (résultats supérieurs dans les catégories de l'éducation et de l'innovation)
Vancouver (par son climat enviable et d'un dynamisme de sa population)
St. John's (excellents résultats dans les catégories de la santé et de l'environnement).
Désolé les Montréalais et Torontois, mais vous ne figurez pas sur la liste
Pour les intéressés je vous laisse savourer le rapport et on se donne rendez-vous en avril prochain in cha allah pour l'édition 2010 de l'étude annuelle de Moneysense magazine sur les meilleures villes ou il fait bon de vivre au Canada (quoique nous avons notre petit idée sur la meilleure ville ! )
Bonne lecture :
http://www.conferenceboard.ca/press/new … 0-60f.aspx
News Releases 10-60F
Six villes canadiennes sur 50 réunissent lensemble des qualités qui attirent les immigrants
Ottawa, le 13 janvier Calgary, Waterloo, Ottawa, Vancouver, St. Johns et Richmond Hill ont ce que les immigrants recherchent quand ils choisissent lendroit où ils éliront domicile, affirme le deuxième rapport du Conference Board du Canada évaluant la capacité dattraction des villes canadiennes.
« Les villes qui ne réussiront pas à attirer de nouveaux venus auront de la difficulté à rester prospères et dynamiques, explique Mario Lefebvre, directeur, Centre des études municipales. Ces six villes occupent les premières places, toutes catégories confondues, ce qui nous permet de penser quelles présentent lensemble des qualités nécessaires pour attirer des immigrants. Même sil est difficile dimaginer un groupe plus diversifié de villes, chacune a des qualités particulières qui en font une ville aimant auprès déventuels nouveaux venus, du Canada et de létranger. »
Létude Villes aimants II : Comparer le pouvoir dattraction de 50 villes canadiennes analyse et compare les caractéristiques qui rendent les villes canadiennes attrayantes auprès des travailleurs spécialisés et des populations mobiles. On y compare le rendement de ces villes en fonction de 41 indicateurs regroupés en sept catégories : la société, la santé, léconomie, lenvironnement, léducation, linnovation et le logement.
La difficulté que pose lévaluation du pouvoir dattraction général dune ville tient au fait que tout le monde ne valorise pas de la même façon les différents aspects de la vie urbaine. Pour chacune des sept catégories, nous avons déterminé des facteurs de pondération. Pour les immigrants ayant un diplôme universitaire, la catégorie de léducation est celle qui compte le plus (21 p. 100) dans leur choix dune ville où sinstaller, suivie des catégories de la société (20 p. 100), de linnovation (19 p. 100) et de léconomie (13 p. 100). Pour les immigrants sans diplôme universitaire, la catégorie qui lemporte de loin sur toutes les autres est celle de léconomie (33 p. 100), suivie de la catégorie de la société (20 p. 100).
« Quand ils choisissent un endroit où vivre, les immigrants détenteurs dun diplôme universitaire préfèrent les villes dont les résultats au chapitre de léducation et de la société sont supérieurs. Ceux qui nont pas de diplôme universitaire valorisent davantage la vigueur économique dune ville, précise Mario Lefebvre. Toutefois, notre étude montre quune ville qui réussit à attirer un certain type dimmigrants réussit en fait à tous les attirer. Cest pourquoi les responsables des politiques doivent faire attention lorsquils conçoivent des politiques qui ne visent à attirer que les diplômés universitaires. »
Résultats généraux
Les six villes les mieux classées au palmarès avec une note globale de A Calgary, Waterloo, Ottawa, Vancouver, St. Johns et Richmond Hill, Ont. sont parfois petites parfois grosses, situées dans différentes régions du Canada, et incluent aussi bien des centres urbains que des banlieues. Plus précisément,
les solides résultats de Calgary dans la catégorie de léconomie nont rien de surprenant étant donné le rendement de la ville à ce chapitre depuis les dix dernières années, mais Calgary occupe aussi le premier rang dans la catégorie de linnovation et le deuxième dans la catégorie du logement;
la réputation mondiale dont jouit Waterloo pour lexcellence de sa haute technologie en éducation et dans les affaires est bien méritée. Classée première en éducation, la ville de Waterloo affiche aussi de très bons résultats dans les catégories de léconomie, de linnovation et du logement;
Ottawa tire profit dun secteur public solide et hautement scolarisé. La capitale du pays excelle au chapitre de linnovation et de léducation et, mis à part la santé, sen tire bien dans lensemble des autres catégories;
Richmond Hill, au nord de Toronto, connaît une rapide croissance et est devenue la deuxième ville la plus diversifiée du Canada. Une main-duvre fortement scolarisée contribue à ses résultats supérieurs dans les catégories de léducation et de linnovation;
Vancouver jouit dun climat enviable et dun dynamisme quelle doit à sa population jeune, diversifiée et multiculturelle;
St. Johns a atteint un niveau de productivité très élevé qui dépasse même ceux de Calgary et dEdmonton. La ville enregistre aussi dexcellents résultats dans les catégories de la santé et de lenvironnement.
Quatorze villes ont obtenu la note de « B » au classement général et, de par leurs résultats, Edmonton, Victoria, Markham, Vaughan, Kingston, Oakville et Guelph sont systématiquement dans la première moitié de ce groupe. Toronto reçoit aussi une note globale de « B ». Elle est handicapée par de piètres résultats dans les catégories de la santé et de lenvironnement (un nombre insuffisant de médecins pour un tel bassin de population et de trop nombreux jours où la qualité de lair est mauvaise), mais elle prend la tête de toutes les villes dans la catégorie de la société, en particulier pour la forte proportion dhabitants nés à létranger et dhabitants employés par le milieu culturel. Globalement, la région métropolitaine de recensement (RMR) de Toronto remporte cinq des 14 premières places. Entre 2001 et 2006, elle a attiré 35 p. 100 des immigrants au Canada (environ 85 000 par an), mais ce succès est partiellement mitigé par les départs vers dautres villes canadiennes (environ 25 000 par an). London, Halifax, Lévis, Regina, Québec et Burlington reçoivent aussi des notes de « B ».
Au total, 21 villes obtiennent des notes de « C », dont trois des plus gros centres urbains du Canada : Winnipeg, Montréal et Hamilton. Malgré une note globale de « C », Mississauga avec sa forte proportion dimmigrants récolte un « B » pour son pouvoir dattraction auprès des immigrants détenteurs dun diplôme universitaire. Quatre des villes en banlieue de Vancouver Richmond, Burnaby, Coquitlam et Surrey ont reçu des « C », comme la ville voisine dAbbotsford. En général, les banlieues de Vancouver sont à la traîne aux chapitres de la santé et de léconomie. Sherbrooke, Gatineau, Kitchener, Barrie, Saskatoon, Moncton, Brampton, Kelowna, Thunder Bay, Peterborough, St. Catharines et Sudbury récoltent aussi des notes de « C ».
Le groupe des « D » réunit neuf villes de petite et moyenne tailles quatre en Ontario (Oshawa, Brantford, Windsor et Cambridge), quatre au Québec (Longueuil, Saguenay, Trois-Rivières et Laval) et Saint John, au Nouveau-Brunswick. En plus davoir bien souvent des économies éprouvées, sept de ces neuf villes présentent une faible croissance démographique et les deux autres un déclin de leur population (Saint John et Saguenay). Ces neuf villes sont aussi celles qui récoltent les pires résultats dans les catégories de linnovation et de léducation.
Résultats par catégorie
Société Les plus grosses villes du Canada sont celles qui enregistrent les meilleurs résultats dans cette catégorie où Toronto et Montréal volent la vedette avec les deux seuls « A ». Les banlieues de Toronto obtiennent aussi de bons résultats, tout comme Vancouver et Victoria.
Santé Dans cette catégorie, qui mesure surtout laccès aux soins de santé par habitant, ce sont les villes de petite et de moyenne tailles qui dominent. Seules les villes de Kingston et St. Johns obtiennent un « A ». Vancouver et Québec sont les deux seules grandes villes à se classer parmi les dix premières. Les villes de banlieue, qui sappuient généralement sur les services offerts par le centre urbain, sont celles qui ont le plus de chemin à faire dans ce domaine : dix des 12 dernières villes du classement sont voisines de Toronto, de Montréal ou de Vancouver.
Économie Même si les classements sont établis daprès des données de 2006 et donc antérieures à la récession, le Conference Board sattend à ce que les villes qui présentaient alors de fortes économies se redressent et affichent les meilleurs résultats après le ralentissement. Calgary, Edmonton et Vaughan sont les seules à remporter un « A » dans cette catégorie. Léconomie solide dEdmonton en fait une ville particulièrement attrayante auprès des immigrants sans diplômes universitaires. Cinq villes de la banlieue de Toronto se retrouvent parmi les 10 premières de la catégorie, aux côtés dOttawa et de Waterloo.
Environnement Sept des huit villes de la Colombie-Britannique étudiées dans ce rapport remportent un « A » et se retrouvent dans le peloton des dix premières, en raison principalement de la qualité de leur air et de leur doux climat. Montréal est dernière au classement et Longueuil pas très loin. Mississauga, Burlington, Vaughan et Oakville récoltent aussi un « D ».
Éducation Les « villes universitaires » de Waterloo et de Kingston dépassent de loin leurs homologues et remportent les deux seuls « A ». Les villes de petite et moyenne tailles dominent les résultats pour le nombre denseignants par étudiant. Notamment, quatre petites villes de lOntario (Burlington, Waterloo, Peterborough et Guelph) raflent tous les « A » pour cet indicateur.
Innovation Calgary, Richmond Hill et Ottawa obtiennent des « A » pour linnovation. Les villes dont les économies reposent largement sur la fabrication ou les ressources ne sen tirent généralement pas si bien dans cette catégorie.
Logement Les villes de petite et moyenne tailles sont habituellement celles qui remportent les meilleurs résultats dans cette catégorie. Cela tient en particulier à labordabilité des logements. La ville de Lévis, en banlieue de Québec, est en tête et cinq autres villes du Québec se retrouvent parmi les dix premières. Cest tout le contraire pour les huit villes de la Colombie-Britannique étudiées où les prix des logements sont habituellement très élevés. En conséquence, ces villes, se retrouvent dans la moitié inférieure du classement et cinq dentre elles, dont Victoria et les villes de la vallée du bas-Fraser, obtiennent un « D ».
Cette étude a été financée par 15 organisations municipales et régionales de partout au Canada. Le rapport complet (de 120 pages) est disponible en anglais sur le site de la bibliothèque électronique du Conference Board e-library au coût de 225 $.
source:
http://www.conferenc...ase/10-60f.aspx
Merci Abdel ! Ces statistiques sont intéressantes, mais il faut toujours faire attention aux statistiques, parce que justement (c'est mentionné dans le texte) tout dépend de ce que quelqu'un cherche dans la vie. On pourrait en discuter longtemps, vous en conviendrez.
J'habite Longueuil (arrondissement Greenfield-Park) qui a un bien mauvais score (D),ce qui me surprend beaucoup d'ailleurs. Et pourtant, nos taxes ne sont pas élevées dans notre secteur (mais je sais qu'elles vont augmenter, on nous l'a dit ... et peut-être de 7% !!!), mais je peux faire toutes mes courses à pied, je suis à 10 minutes de bus d'un grand centre commercial, l'autobus est à deux minutes de marche de chez moi, je suis à 15 minutes du métro pour aller à Montréal.
De chez nous, en auto, nous sommes au centre-ville de Montréal en 15 minutes ! Il y a des librairies, des disquaires, des restos, des cafés dans le vieux Longueuil, j'ai l'hôpital tout près ... bref, je suis bien ici. Étant en plus dans un vieux quartier, nous avons un assez grand terrain et, surtout, beaucoup d'arbres matures. Et les voisins sont sympathiques et s'entraident, alors ...
Alors tout ça doit être pris avec un grin de sel
4 ans plus tard, le conférence Board livre la nouvelle version 2014 des villes les plus attrayantes au canada:
http://www.conferenceboard.ca/e-library … x?did=6478
Bonne lecture!
Six Villes Canadiennes sur 50 Reçoivent la Plus Haute Note Pour Leur Capacité à Attirer de Nouveaux Arrivants.
Classement des villes canadiennes en fonction des caractéristiques qui séduisent le plus les migrants
Ottawa, le 18 septembre 2014 – Dans un rapport où il évalue le pouvoir d’attraction des villes canadiennes, le Conference Board indique que Waterloo, Calgary, Ottawa, Richmond Hill, Vancouver et St. John’s continuent à attirer de nouveaux arrivants.
« Le fait d’attirer des travailleurs qualifiés est essentiel pour la compétitivité du Canada. Les villes qui ne parviennent pas à attirer de nouveaux habitants auront du mal à demeurer prospères et dynamiques », selon Alan Arcand, codirecteur, Centre des études municipales.
Faits Saillants
Waterloo, Calgary, Ottawa, Richmond Hill, Vancouver et St. John’s restent les villes les plus attrayantes aux yeux des nouveaux arrivants depuis notre précédent rapport, publié en 2010.
Le fait d’attirer des travailleurs qualifiés constitue un facteur déterminant pour la compétitivité du Canada et de ses villes. Les collectivités qui ne parviennent pas à attirer de nouveaux venus auront du mal à demeurer prospères et dynamiques.
Lorsqu’ils choisissent un endroit où vivre, les gens apprécient surtout les villes qui hébergent des centres d’innovation.
Le rapport intitulé Villes aimants III : Comparer le pouvoir d’attraction de 50 villes canadiennes analyse et compare les caractéristiques qui permettent aux villes canadiennes d’attirer de nouveaux arrivants. Le rendement de ces villes est comparé selon 43 indicateurs regroupés en sept catégories : société, santé, économie, environnement, éducation, innovation et logement. Les données reposent sur le Recensement du Canada et l’Enquête nationale auprès des ménages de 2011.
Les qualités qui rendent une ville attrayante ont survécu à l’épreuve du temps. Les six villes les plus attrayantes du classement de 2010 arrivent encore en tête du classement de cette année.
Les villes qui décrochent un A : une forte capacité d’attraction :
Les six villes qui décrochent un A ont reçu de bonnes notes dans au moins deux catégories et présentent des avantages qui incitent des gens à venir s’y installer, tels qu’une économie prospère, une culture de l’innovation ou une excellente qualité de vie. Elles se situent d’un bout à l’autre du pays, sont de grande ou de petite taille, et comprennent des centres urbains et des villes de banlieue.
Waterloo semble être l’une des villes préférées des migrants grâce à sa réputation bien méritée en matière d’innovation et d’éducation. Elle se classe première au chapitre de l’éducation, deuxième pour l’innovation et troisième pour l’économie.
Calgary est la seule ville à occuper la première place dans deux catégories : l’économie et l’innovation, ce qui lui permet de se positionner dans le haut du classement, malgré des résultats médiocres en matière d’éducation, de santé et d’environnement.
Ottawa doit ses attraits aux bons résultats qu’elle obtient dans quatre catégories déterminantes : société, éducation, innovation et économie. Son point faible est la santé, qui lui vaut un C en raison de son petit nombre de travailleurs de soutien dans le secteur de la santé.
Richmond Hill doit sa position à ses excellents résultats dans les catégories Éducation, Innovation et Société. Elle est la troisième ville la plus diversifiée du Canada et revendique fièrement le titre de ville ayant le plus grand nombre de diplômés en ingénierie, sciences et mathématiques par habitant.
Vancouver est attrayante pour sa qualité de vie supérieure dans l’ensemble, attestée par ses excellents résultats dans les catégories Société, Éducation et Environnement. Elle représente l’une des principales destinations des nouveaux Canadiens. Son gros point faible est le logement qui, en raison de son manque d’abordabilité, lui vaut un D, la classant en 44e position sur 50.
St. John’s doit son classement à ses excellents résultats dans les catégories Économie et Santé. La ville affiche le deuxième meilleur ratio d’omnipraticiens et de médecins spécialistes par tranche de 100 000 habitants. Elle obtient ainsi la deuxième place dans la catégorie Santé et est l’une des deux seules villes à décrocher un A à cet égard.
Les villes qui obtiennent un B : un pouvoir d’attraction satisfaisant :
Les six villes susmentionnées sont suivies au classement d’un groupe diversifié constitué de 14 villes de banlieue ou villes carrefours qui obtiennent un B, dont Toronto et trois de ses banlieues – Oakville, Markham et Mississauga.
Toronto devance toutes les villes du classement dans la catégorie Société, mais se contente d’un C pour l’innovation, la santé et l’environnement. Le groupe est complété par deux villes de la banlieue de Vancouver (Burnaby et Coquitlam); quatre villes des Prairies (Edmonton, Regina, Saskatoon et Winnipeg); et quatre centres gouvernementaux : Victoria, Halifax, Québec et Kingston.
Les villes qui reçoivent un C : une marge d’amélioration potentielle :
Parmi les 17 villes ayant reçu un C figure Montréal, l’un des plus grands centres urbains du Canada. Outre Montréal, six autres villes du Québec écopent d’un C : Gatineau, Lévis, Sherbrooke, Laval, Saguenay et Longueuil.
On trouve aussi dans ce groupe six petites et moyennes agglomérations de l’Ontario : Vaughan, Guelph, London, Kitchener, Burlington et Thunder Bay. Richmond (Colombie-Britannique), Surrey, Kelowna et Moncton obtiennent elles aussi un C.
Dans l’ensemble, les villes qui reçoivent un C affichent de faibles résultats dans les catégories Économie ou Société, et parfois même dans les deux. Les villes de ce groupe ont des progrès à faire pour améliorer leur capacité à attirer de nouveaux arrivants.
Les villes qui écopent d’un D : un faible pouvoir d’attraction :
Globalement, les 13 villes qui écopent d’un D, lequel les positionne dans la moitié inférieure du classement, doivent essentiellement leur place à leurs faibles résultats dans les catégories Économie, Innovation, Société et Éducation.
Ces villes peinent à attirer de nouveaux arrivants et 9 d’entre elles ont connu une faible croissance démographique entre 2006 et 2011, tandis que deux ont subi une baisse de leur population. Soulignons que nombre de ces villes se situent en Ontario, notamment les grands centres que sont Hamilton et Brampton, ainsi que le Grand Sudbury, Windsor, Barrie, St. Catharines, Brantford, Cambridge et Oshawa. Abbotsford, Trois-Rivières et Saint John complètent ce groupe.
Les conclusions de ce rapport seront présentées lors du webinaire du Conference Board intitulé City Magnets: Attracting and Retaining Skilled Workers to Canadian Cities, qui se tiendra le 23 octobre 2014, à 14 h (HNE)
Abdel
Bon matin Abdel, merci pour cet apport très intéressant.
Bien entendu, cela représente des statistiques donc il faut en prendre et en laisser, néanmoins cela donne une forte idée
Bonne journée
Merci Francknathalie05,
Bien sûr. Comme chaque étude avec des chiffres il faut les analyser et faire parler ces statistiques.
J’essaie de ma part de comprendre l’attractivité des villes telles : Vancouver et St. John’s
Car selon moi, Calgary et Ottawa avec leur dynamisme et leur statut particulier (l’une est la capitale économique de la province la plus riche et l’autre est la capitale fédérale gouvernementale) cela est évident qu’elles attirent et continueront à attirer les migrants (nouveaux ou anciens).
Waterloo et Richmond Hill cela se comprend par leur juxtaposition du Golden Horseshoe ou fer à cheval doré (une des régions qui connaît la croissance la plus rapide d'Amérique du Nord). Le secteur haute-technologie y est très important, surtout dans les régions de Waterloo et d'Ottawa
Vancouver: Certes que presque la moitié des citoyens de cette ville (ainsi que de Toronto et) sont issus de l’immigration, mais en 2001 et pour la première fois en 40 ans, elle est devenu victime d'un solde migratoire négatif: les gens qui quittent la ville sont plus nombreux que ceux qui y arrivent ; de plus, malgré son emplacement unique et la beauté de ses environs, Vancouver a l'économie d'une métropole nord-américaine de taille modeste. Le coût de la vie est de plus en plus montré du doigt.
Quant à Saint John's, je n’ai pas entendu, lu ou reçu des témoignages des gens de la vie là-bas. Peut-être juste une chose « Aller vivre à Terre Neuve c'est un choix. Cela ne s'adresse pas à tout le monde ». Son économie se fonde sur les ressources naturelles et son rôle en tant que capitale de la province : La ville est le centre des affaires, de l'éducation et du gouvernement de la province.
Mais est ce suffisant pour y attirer les gens ?
dans quelle cathegorie est classee la ville de manitoba
ramsezdouala a écrit:dans quelle cathegorie est classee la ville de manitoba
Sauf erreur de ma part, Manitoba n'est pas une ville mais une province
AH ! d'accord toutes mes escuses car je ne m'y connais pas bcp
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