Jean Alain Rodríguez
“Están todos los que son y son todos los que están” sourec: C. El Caribe du 29.5.17
Attendons, ce procureur est le même qui à pourchassé les pilotes français (2013) de Punta Cana car le gouvernement dominicain ne voulait (pouvait) pas payer les frais d'immobilisation et de remise en état du jet (Falcon 50 sté. Afflelou) soit disant incriminé. (le chef de l'anti drogue qui était en première ligne devant les caméras n'a pas fait long feux.et n'a jamais voulu donnes ses sources ...)
Je ne ne me prononce pas sur ce qui pourrait être délicat à juger, mais juste sur les règles de l'aviation civile, les pilotes n'étaient pas attaquables. Sa mauvaise foi n'est plus à démontrer,
Le procureur dominicain pouvait-il perdre à l'issue du procès intenté contre les quatre Français accusés de trafic de drogue, après leur arrestation sur l'aéroport de Punta Cana en mars 2013, et dans le Falcon 50 desquels vingt-six valises contenant 700 kilos de cocaïne ont été trouvées ? Les deux pilotes, l'organisateur du vol et leur passager ont toujours nié toute implication dans ce trafic.
Les enjeux de ce procès paraissent bien trop importants. Il y a bien sûr l'honneur de la République dominicaine, mais aussi l'avion d'affaires... Après plus de deux ans dans un hangar, sa remise en état de vol et sa restitution coûteraient beaucoup d'argent aux Dominicains... En août dernier, les accusés vont attendre plus de dix heures le verdict d'un procès dont l'impartialité est contestée par leurs avocats.
"Il ne faut plus venir ici"
Après cette attente interminable, le jugement est prononcé : "Le tribunal déclare les accusés coupables de trafic de substances illicites et de trafic international. Ces crimes sont sanctionnés d'une peine de vingt ans de prison." Condamnés à la peine maximale ! Le tribunal a donc suivi intégralement le réquisitoire d'un procureur accusé de falsification de preuves et de tentative de corruption par les défenseurs.
Les coaccusés dominicains sont acquittés ou condamnés à des peines réduites. Les Français font appel, restant libres jusqu'au nouveau procès. "On reproche à un pilote d'être dans l'avion. Il ne faut pas venir en République dominicaine", dit consterné Pascal Fauret au magazine "13h15 le samedi", tandis que l'autre pilote, Bruno Odos, confirme : "Oui, il ne faut plus venir ici." En condamnant les Français, les juges permettent à la République dominicaine de garder le Falcon 50...
Si les huile comptent sur lui pour faire tomber les corrompus, ils seront sûrs d'avoir les résultats demandés et des appels qui risquent d'aboutir parce que ce petit bonhomme est un petit monsieur qui fait passer les intérêts des puissants du lieu et du moment devant la loi, c'est un arrogant vaniteux et incompétent.
"El, no es fiable si la persona quiere hacer las tareas del hogar, él y el fiscal deben impecable, no sólo el CAS"
NB: je ne me suis pas fait un copain, mais il le savait déjà..