Allemagne: les nouvelles économiques,et du marché du travail
Dernière activité 07 Janvier 2017 par jean luc1
47133 Vues
328 réponses
Abonnez-vous a cette discussion
Nouvelle discussion
L'Allemagne "sur le chemin du plein emploi"
L'Allemagne est sur le chemin du plein emploi, a affirmé le directeur de l'Agence fédérale allemande pour l'emploi, Frank-Jürgen Weise, dans une interview parue jeudi dans le tabloïd Bild.
"Globalement nous nous approchons du plein emploi", a déclaré M. Weise. Pour les salariés allemands, "le risque de se faire licencier est au plus bas depuis 15 ans", selon lui. Par crainte d'éventuelles pénuries de main d'oeuvre, les entreprises favorisent au contraire le maintien en poste de leurs employés, a-t-il expliqué.
Mais le chômage, qui pointe depuis plusieurs mois déjà à 6,7% de la population active, affecte les différentes régions allemandes de façon très inégale, a nuancé M. Weise. En Bavière, les entreprises ont des difficultés à recruter, alors que d'autres Länder ont encore plus de 10% de chômeurs. "Le chômage de longue durée reste très problématique", a-t-il reconnu.
M. Weise a déclaré s'attendre pour 2015 à une "légère augmentation" du chômage partiel, du fait notamment des répercussions économiques des sanctions occidentales contre la Russie. Le mécanisme de chômage partiel voit l'Agence indemniser les salariés en chômage. http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/a … ploi.dhtml
Le taux de chômage a touché un plus bas sans précédent de 6,6% en novembre en Allemagne, soulignant l'écart énorme qui sépare la première économie européenne de certains de ses partenaires de la zone euro quant à la situation de l'emploi.
Le nombre de chômeurs a diminué plus que prévu, de 14.000 à 2,872 millions, suivant les statistiques CVS publiées jeudi par l'Office fédéral du Travail. Le nombre total de chômeurs est au plus bas depuis 23 ans.
Une population employée record, des salaires en hausse et des taux d'intérêt bas dopent la demande intérieure en Allemagne, dont l'économie pâtit cependant de la confrontation entre les pays occidentaux et la Russie sur le dossier ukrainien et de la faiblesse économique d'autres pays de la zone euro.
Selon Eurostat, qui publie des données harmonisées différentes des chiffres nationaux, le taux de chômage de l'Allemagne était de 5% en septembre, soit moins de la moitié du taux de chômage français et sous la moyenne de l'Union européenne qui est de 10,1%.
Le nombre de demandeurs d'emploi en France à fin octobre sera publié jeudi à 18h00 par le ministère du Travail.
En Italie, le taux de chômage était de 12,6% en septembre et de 24% en Espagne, selon Eurostat.
"Un marché de l'emploi dynamique continue de soutenir la croissance salariale en Allemagne et donc la consommation privée, tout cela se combinant à une inflation très basse", observe Christian Schultz, économiste chez Berenberg.
Il estime que les dépenses des ménages resteront un pilier de la croissance et la crise ukrainienne ne produit ses effets sur l'économie allemande que par le canal de la confiance et de l'investissement productif, ajoute-t-il. Suite...Le taux de chômage à un plus bas record en Allemagne en novembre lire la suite de l'article
Allemagne / Eco : l'industrie allemande s'est réveillée en octobre Les commandes d'usines allemandes ont bondi de 2,5% en octobre par rapport à septembre, nettement au-delà des attentes moyennes de la place (+0,5%). En glissement annuel, la hausse atteint 2,4%. Les commandes domestiques ont fortement augmenté (+5,3%), tandis que les commandes externes sont en hausse plus modérée (+0,5%). Les biens intermédiaires (+2,5%) et les biens d'équipement (+3%) ont tiré la tendance, qui a été grevée par les biens de consommation (-0,1%). http://www.boursier.com/actualites/macr … 06713.html jean luc
ça me rassure! en Espérant que ça rejaillisse sur les voisins européens et sur l'embauche des jeunes...
C'est pas l'allemagne qui m'inquiète ,mais la France crise économique,morale ,et politique . jean luc
jean luc1 a écrit:C'est pas l'allemagne qui m'inquiète ,mais la France crise économique,morale ,et politique . jean luc
Moi aussi Jean-Luc...
cette semaqine ,un conselller proche du président ,a démissioner ,a cause d#une sombre affaire de prise d'intêret dans une affaire incompatible avec sa fonction ,c'est le 6eme proche de Hollande á être débarquer . Coté possitif la haute autoritée fait son boulot ça déménage . il est enarque aussi ,le probléme est lá l'ENA ,le club des copains et des coquins . jean luc
Allemagne: Les étrangers paieront entre 6 et 130 euros pour circuler sur les autoroutes et les nationales allemandes
Le gouvernement allemand va adopter ce mercredi un projet de péage pour automobilistes qui permettra de faire payer les étrangers mais irrite Bruxelles et les voisins de l'Allemagne.
La vignette coûtera entre 6 et 130 euros
Le texte prévoit qu'à compter de 2016, les automobilistes seront taxés pour l'utilisation des autoroutes et routes nationales allemandes sous forme d'une vignette annuelle comprise entre 6 et 130 euros selon l'âge de la voiture, de la cylindrée du moteur et certains critères environnementaux. Pour le moment, en Allemagne, seuls les poids lourds s'acquittent d'un péage. Le projet de loi cite la nécessité d'impliquer les utilisateurs «avec une contribution adéquate dans le financement de l'entretien et de l'extension» du réseau routier.
>> Autoroutes payantes ou gratuites, les différents systèmes en Europe.
Comme un péage applicable aux seuls étrangers contreviendrait aux règles européennes, le projet retenu crée une vignette pour tous. Mais pour s'assurer que dans les faits, les étrangers seront effectivement les seuls à payer en plus, la taxe dont s'acquitte déjà tout propriétaire de voiture en Allemagne sera minorée pour éviter une double charge. Cette réduction fait l'objet d'un projet de loi séparé, qui sera adopté lui aussi mercredi par le gouvernement.
Les étrangers pourront acheter une vignette annuelle, une vignette valable dix jours pour dix euros ou bien une de deux mois pour 20 euros. http://www.20minutes.fr/strasbourg/1502 … allemandes jean luc
Plus forte hausse des salaires en Allemagne depuis 23 ans.
Les salariés allemands ont vu leur salaire augmenter de 1,9% cette année, ce qui porte le salaire moyen outre-Rhin pour un salarié à temps plein à 3541 euros.
Publicité
«La plus forte augmentation des salaires depuis vingt-trois ans!» titre triomphalement le Bild. S'appuyant sur les statistiques de l'Office fédéral des statistiques (Destatis), le journal détaille le «cadeau de Noël» fait aux salariés: 1,9 % d'augmentation des salaires corrigé de l'inflation en 2014. Ce qui porte le salaire moyen outre-Rhin pour un salarié à temps plein à 3 541 euros. Après avoir comprimé les rémunérations pendant la première décennie des années 2000, l'Allemagne lâche franchement la bride. Les salariés du secteur du tabac ont par exemple enregistré un bonus de 5,4 % sur leur fiche de paie, à l'issue des négociations de branche.
Des augmentations du salaire réel appelées de leurs vœux par les syndicats, en phase avec un gouvernement soucieux, sous l'impulsion des sociaux-démocrates, de redistribuer les fruits des efforts accomplis. Le patron de la Bundesbank, Jens Weidmann, avait lui aussi appelé les patrons, au milieu de l'été, à desserer les cordons de leur bourse.
L'entrée en vigueur du salaire minimum au 1er janvier 2015 va encore doper ces statistiques. Tant et si bien que cette augmentation devrait doubler l'an prochain. Marco Bargel, chef de la stratégie à la Postbank, pronostique une poussée du salaire réel de 90 euros par travailleur et par mois. À grandes enjambées, l'Allemagne veut rattraper ses voisins européens. Et l'effort sur les rémunérations permet aux femmes salariées de combler une partie de leur retard avec des augmentations (+ 2,4 %) en moyenne supérieures à celle de leurs collègues masculins. Une aubaine également pour les salariés de l'est du pays, dont les salaires ont crû plus vite que pour leurs homologues de l'Ouest.
Les grands instituts économiques prévoient en 2015 un taux d'inflation pour l'Allemagne avoisinant 0,9 %. Cette hausse combinée à celles des salaires explique pourquoi le scénario catastrophe d'une déflation trouve peu de prise en Allemagne.
voir le reportage jean luc
Le salaire minimum arrive en Allemagne : qu'est-ce que ça change ? Premier de l'Histoire en Allemagne, le salaire minimum horaire de 8,50 bruts entrera en vigueur le 1er janvier. Mode d'emploi. Je vais pouvoir m'offrir un peu plus de choses": le salaire minimum arrive en Allemagne et Jessica Arendt, vendeuse, gagnera désormais un euro supplémentaire de l'heure. Mais pour Mathias Möbius, maître-boulanger, cela signifiera des hausses de prix dans ses magasins.
La chancelière conservatrice Angela Merkel n'en voulait pas, inquiète d'effets néfastes sur l'emploi et de la rupture avec une tradition sociale bien ancrée de non-ingérence de la puissance publique dans les relations salariales.
Au nom de la justice sociale, et devant le développement d'un large secteur de bas salaires, ses alliés sociaux-démocrates lui ont forcé la main. Finalement, au terme d'un laborieux processus, le salaire minimum, avec un brut horaire de 8,50 euros, arrive au 1er janvier.
"L'Obs" fait le point sur le premier salaire minimum de l'Histoire de l'Allemagne.
# Quand entre-t-il en vigueur ?
La loi votée début juillet par le Parlement allemand fixe son entrée en vigueur au 1er janvier 2015.lire l e reste de l'article jean luc
Le salaire minimum arrive. Enfin !
8,50 euros brut de l'heure, soit 1 400 euros mensuels : le 1er janvier, le salaire minimum arrive en Allemagne. Une importante avancée sociale, quoique tardive et émaillée d'exceptions, écrit l'hebdomadaire allemand. L'Allemagne est lanterne rouge de l'Europe. L'expression est rarement appliquée à la première économie du continent, citée en exemple dans presque tous les domaines. Le salaire minimum fait exception à la règle. Les syndicats et les responsables politiques ont passé plus de dix ans à s'affronter sur la question. Le débat aura été honteusement long.
Le Bundestag a adopté ce jeudi le principe du salaire minimum [535 voix pour, 5 contre et 61 abstentions]. L'Allemagne devient ainsi l'un des derniers pays européens à se doter d'une réglementation pour mettre fin aux pires abus en matière de dumping salarial. Enfin ! Les responsables politiques se sont enlisés dans des débats pour déterminer quelles dérogations accorder à cette loi. Divers scénarios catastrophe ont été évoqués pour montrer le nombre d'emplois que cette mesure risquait de coûter si elle était appliquée à l'ensemble des secteurs. Comme si 8,50 euros de l'heure constituaient un salaire exorbitant. A la fin du mois, cela représente tout juste 1 400 euros. Brut.
Un peu de valeur et de fierté
Le salaire minimum s'imposait depuis longtemps. Cela peut sembler pathétique à dire, mais cette décision redonne de la valeur au travail et un peu de fierté au quelque 1,4 million d'Allemands payés moins de 5 euros de l'heure. Si l'on y ajoute tous les travailleurs rémunérés entre 5 et 8,50 euros de l'heure, on peut estimer à près de 4 millions le nombre de bénéficiaires de cette mesure.
De nombreuses entreprises dans les domaines de la culture et des arts, de la gastronomie ou des services d'entretien ont fondé leur modèle économique sur l'exploitation financière de leurs salariés. Les employés de ces secteurs dépendent presque tous des aides de l'Etat. La collectivité finance donc ce modèle économique douteux depuis des années.
Le risque d'une augmentation des prix
On ne pleurera pas sur la disparition de ces entreprises qui voient leurs calculs s'effondrer. Il y en aura suffisamment qui seront capables de s'en sortir malgré la mise en place du salaire minimum. Celui-ci a déjà été introduit dans certains secteurs, comme l'industrie de la viande et les métiers de la coiffure, avant l'adoption de la loi. D'autres branches se sont dotées de conventions collectives fixant un salaire minimum supérieur à 8,50 euros. On n'y observe pas de bouleversement particulier. Ces secteurs ne comptent pas moins d'emplois, au contraire, leur taux de chômage continue de baisser. lire le reste de l'article jean luc
PS: je suis pas sûr que se seras une avancée sociale comme anoncer par cet article . Car il est probabe que certaines entreprise délocalisent vers la Roumanie ou Bulgarie . Si les services augmentent trop ,je me passerais de ses services un peu plus ,donc moins d#activitée,plus de chômeurs .
La BCE prête à un compromis avec l'Allemagne
La Banque centrale européenne a accepté l'exigence de l'Allemagne de ne pas être solidaire de la dette des autres pays de la zone Euro, au moment où la BCE doit lancer un programme massif d'achat de dettes d'Etat, affirme le Financial Times samedi.
La BCE pourrait décider de la mise en place d'un tel programme, appelé assouplissement quantitatif (QE), lors de sa prochaine réunion de gouverneurs de la BCE jeudi prochain, afin de lutter contre la déflation qui menace et de relancer l'économie européenne.
Mais Berlin craint qu'injecter de l'argent frais puisse inciter les pays du sud de la zone Euro à freiner en matière de réformes et forcer le contribuable allemand à se montrer solidaire des dettes étrangères.
Selon le Financial Times, la BCE et l'Allemagne auraient trouvé un compromis dont le scénario le plus probable est que les banques centrales des 19 pays de la zone Euro soient responsables de la dette de leur propre pays.
Le Français Benoît Coeuré, membre du directoire de la BCE, a confirmé vendredi dans un entretien au quotidien Libération que l'institution étudiera jeudi un rachat d'obligations souveraines.
"Nous devrons aussi décider si le rachat portera sur la dette de certains pays ou s'il devra être pondéré sur l'ensemble de la zone euro", a ajouté M. Coeuré, sans développer davantage sa pensée. http://www.lalibre.be/economie/actualit … 97f8413ebc jean luc
La reprise en Allemagne plus rapide que prévu L'économie allemande semble en passe de surmonter plus rapidement que prévu son coup de mou du printemps 2014, à la faveur d'une situation intérieure toujours robuste et du recul des prix du pétrole, a estimé lundi la Bundesbank allemande.
«L'économie allemande semble surmonter plus rapidement que beaucoup de gens ne l'attendaient la phase de faiblesse observée au printemps l'an dernier», écrit la «Buba» dans son rapport mensuel publié lundi.
Parmi les facteurs qui tirent la première économie européenne vers le haut figurent «un climat de consommation positif, grâce à des perspectives d'emploi et de revenus favorables, ainsi que la chute des prix de l'énergie», ajoute le rapport.
La confiance des entreprises s'est également améliorée, poursuit la Bundesbank, se félicitant notamment d'une hausse de la production industrielle en octobre et en novembre, ainsi que de la progression des commandes à l'industrie allemande.
Début décembre, l'institution monétaire avait divisé par deux ses prévisions de croissance pour l'Allemagne en 2015, année durant laquelle elle attend dorénavant une hausse du Produit intérieur brut (PIB) de 1%. Quant à 2016, elle mise sur une croissance de 1,6%, et non plus de 1,8%.
Ces pronostics prenaient acte d'un coup de mou de l'industrie allemande survenue au printemps, qui s'était traduit par un recul du PIB au deuxième trimestre et une croissance atone au troisième. Ils ne tenaient en revanche pas compte du recul du prix du pétrole observée lors des dernières semaines. Lire le reste de l'article jean luc
La reprise en Allemagne s'annonce plus robuste que prévu
La baisse de l'euro et du pétrole muscle la croissance. Un argument saisi par les syndicats pour réclamer plus.
Publicité
Pendant que d'autres pays se débattent, l'Allemagne garde le moral. Après une année 2014 en demi-teinte, où la «locomotive économique» de l'Europe semblait rattrapée par le ralentissement généralisé, 2015 s'annonce sous de meilleurs auspices. Mercredi, dans son rapport économique annuel, le gouvernement allemand a revu à la hausse sa prévision de croissance pour 2015 à 1,5 %.
Berlin s'attend donc à faire aussi bien qu'en 2014, alors que le gouvernement anticipait jusqu'à présent une croissance plus faible, à 1,3 %.
La baisse des cours du pétrole et de l'euro y est pour beaucoup. Mais ce n'est pas le seul indicateur positif rendu public mercredi. La population active devrait continuer d'augmenter pour atteindre 42,8 millions de personnes. Le taux de chômage devrait continuer de baisser à 6,6 % cette année. Le moral des entrepreneurs s'améliore visiblement, selon l'indice Ifo, en hausse à 106,7 points en janvier. Quant aux finances publiques, elles affichent un tableau d'élève modèle de la classe européenne: dès 2014, grâce à des rentrées fiscales inattendues, le gouvernement a atteint son objectif d'équilibre budgétaire avec un an d'avance.
«En dépit des turbulences géopolitiques de l'année dernière, l'économie allemande est de retour sur le chemin de la croissance», s'est réjoui le ministre de l'Économie Sigmar Gabriel. Pour le vice-chancelier SPD, la consommation intérieure a été le principal moteur de la reprise économique du pays. «Le gouvernement attend que le salaire minimum comme l'amélioration des conditions de retraites renforcent la demande», a-t-il ajouté, comme en réponse à ses détracteurs. Les milieux économiques ont mis en garde l'année dernière contre les conséquences négatives des mesures sociales décidées par la grande coalition.lire le reste de l'article jean luc
Allemagne: le marché du travail débute bien 2015 avec un recul du chômage .
Le marché du travail allemand a confirmé sa bonne forme pour débuter l'année 2015, avec une baisse du taux de chômage malgré un recul du nombre de chômeurs légèrement moins prononcé que prévu, selon les chiffres officiels publiés jeudi.
Le taux de chômage en données corrigées des variations saisonnières (CVS) est ressorti à 6,5%, selon l'Agence pour l'emploi, conformément aux attentes des analystes interrogés par l'agence Bloomberg News. Il s'agit d'une baisse par rapport au mois de décembre, puisque le taux du mois dernier a été révisé en hausse à 6,6%. L'Allemagne connaît actuellement son plus bas niveau de chômage depuis la réunification du pays.
La première économie européenne compte 9.000 demandeurs d'emplois en moins en janvier, un recul (en ajusté) légèrement plus modeste que prévu. Les analystes tablaient sur quelque 12.000 chômeurs en moins.
En données brutes, davantage utilisées dans le débat public, le taux de chômage allemand a en revanche grimpé de 0,6 point à 7% en janvier. L'Allemagne compte 3,03 millions de chômeurs à fin janvier, et 2,84 millions en données corrigées.
"Le marché de l'emploi embraye sur sa bonne dynamique de l'année dernière. La hausse (brute) du chômage s'explique avant tout par des raisons saisonnières", au coeur de l'hiver, a commenté le président de l'Agence pour l'emploi, Frank-Jürgen Weise, cité dans un communiqué.
Ce diagnostic était partagé par de nombreux analystes.
"Le marché du travail est en mode pilote automatique", a ainsi estimé Stefan Kipar, de la banque Bayern LB.
Il s'attend toutefois à des chiffres un peu moins bons dans les mois à venir, à cause de l'entrée en vigueur du salaire minimum, intervenue au 1er janvier en Allemagne. Les données de février permettront selon lui "une première estimation de la force de cet effet".
"Le marché du travail allemand ne donne pour l'instant aucun signe d'un effet négatif à cause de l'introduction du salaire minimum. (Il) a démontré une grande résistance au cours de l'année 2014 et les données de janvier suggèrent qu'il poursuivra dans cette voie en 2015", a jugé de son côté Johannes Gareis, un analyste de Natixis.
Le ministre de l'Economie Sigmar Gabriel a dit jeudi s'attendre à un "nouveau record" du nombre d'actifs cette année.
La robustesse du marché de l'emploi soutient la confiance des ménages. Leur moral a augmenté pour le deuxième mois consécutif en janvier, et la consommation devrait être selon les experts un pilier de la croissance allemande en 2015.
Le marché de l'emploi allemand fait figure d'exception dans une Europe dont de nombreux membres sont ravagés par le chômage, comme la Grèce, l'Espagne et dans une moindre mesure la France. https://fr.news.yahoo.com/allemagne-mar … nance.html
enfin que de bonnes nouvelles pour nos enfants . si les grecs etaient pas en Europe celas aurais été parfait jean luc
Allemagne : excédent commercial et exportations records en 2014
L’excédent commercial de l’Allemagne a atteint 217 milliards d’euros l’an passé et ses exportations ont progressé de 3,7% à 1.134 milliards d’euros. Une exception au sein de la zone euro.
Année après année, l’exception allemande se confirme. Grâce à des exportations record, l’excédent commercial a atteint en 2014 son plus haut niveau depuis la création de cette statistique, indiquent les chiffres provisoires publiés lundi par l’Office fédéral des statistiques, Destatis.
L’excédent commercial s’est élevé à 217 milliards d’euros l’an passé, améliorant le précédent record qui datait de 2007 avec 195,3 milliards d’euros. Les exportations de la première économie européenne sont également historiques: après un plus haut en 2012 puis un léger recul en 2013, elles ont grimpé de 3,7% en 2014, à 1.134 milliards d’euros, tandis que les importations ont progressé de 2% à 916,5 milliards d’euros.
Au seul mois de décembre, les exportations allemandes ont crû de 3,4% à 98,7 milliards d’euros et les importations se sont repliées de 0,8% à 76,9 milliards d’euros, d’après des données corrigées des variations saisonnières et calendaires. Ce mois-là, l’excédent est ressorti à 21,8 milliards d’euros, selon un calcul de l’AFP. Celui de novembre a été revu en légère hausse par Destatis, à 17,9 milliards d’euros contre 17,6 milliards d’euros annoncé initialement.
La balance des comptes courants (solde de tous les transferts avec l’étranger), affiche un solde positif de 215,3 milliards d’euros l’an passé, en hausse par rapport à 2013 (189,2 milliards d’euros), toujours selon
lire le reste de l'article jean luc
L'OCDE voit des signes d'inflexion de la croissance en zone euro
PARIS (Reuters) - La dynamique de la croissance reste globalement stable dans le monde mais montre des premiers signes d'inflexion positive en zone euro, tout particulièrement en Allemagne et en Espagne, a indiqué lundi l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Les indicateurs composites avancés de l'OCDE, conçus pour anticiper les points de retournement de l'activité, signalent à l'inverse un infléchissement au Royaume-Uni ainsi qu'en Russie, seule parmi ce cas dans les grandes économies émergentes.
L'indicateur global pour la zone OCDE est ressorti à 100,5 en décembre contre 100,4 un mois auparavant, signalant une dynamique de croissance stable. Le seuil de 100 correspond à la tendance à long terme de l'activité économique.
L'indicateur pour les seuls pays du G7 est inchangé pour le cinquième mois consécutif à 100,3, indiquant également une dynamique de croissance stable.
L'indicateur pour la zone euro, bien que stable à 100,6, montre des signes d'une inflexion positive, souligne l'OCDE.
C'est le cas notamment pour l'Allemagne (+0,1 point à 99,7) alors que la dynamique reste stable en France malgré la hausse de son indicateur (+0,1 à 100,4).
L'Italie (+0,1 à 101,0) retrouve aussi une dynamique stable.
L'infléchissement pour la Grande-Bretagne se confirme (-0,1 point à 100,2) pour le cinquième mois consécutif et signale un ralentissement de la croissance.
La dynamique de croissance reste en revanche stable aux Etats-Unis (100,4) comme au Japon (99,8).
Chez les grands émergents, la stabilité prévaut au Brésil (99,3)et en Chine (+0,2 à 99,3) alors que la croissance se consolide en Inde (+0,1 à 99,4).
La situation se dégrade en revanche en Russie (-0,6 à 99,4, un plus bas depuis octobre 2013). https://fr.news.yahoo.com/locde-voit-de … 32462.html
jean luc
Allemagne: nouveau record d'affluence des touristes étrangers en 2014
Francfort (awp/afp) - L'Allemagne n'a jamais autant attiré les touristes étrangers qu'en 2014, selon des chiffres publiés mardi par l'Office fédéral de statistiques, Destatis.
L'an dernier, quelque 75,5 millions de nuitées en Allemagne ont été le fait de voyageurs étrangers, un chiffre en hausse de 5% sur un an et un cinquième record d'affilée, a indiqué Destatis dans un communiqué.
Le tourisme domestique a lui aussi progressé, avec 348,5 millions de nuitées en Allemagne attribuées à des voyageurs allemands, soit 3% de plus qu'en 2013.
Au total, 424 millions de nuitées (+3%) ont été enregistrées par les hôtels, pensions et camping en Allemagne, ce qui constitue également un nouveau sommet historique, a souligné Destatis, qui précise que ces chiffres ne portent que sur les établissements d'au moins dix places pour dormir.
"En tant que pays de séjour, l'Allemagne n'a jamais été aussi prisée qu'aujourd'hui à l'étranger", s'est félicitée la fédération allemande de l'hôtellerie-restauration Dehoga dans un communiqué séparé, en estimant que "la diversité de notre palette d'offre, de services, de prix et de prestations séduit".
Selon Dehoga, le secteur hôtelier allemand, qui comptait en 2012 quelque 46'000 hôtels, maisons d'hôtes et pensions, a enregistré en 2013 un chiffre d'affaires de plus de 24 mrd EUR. http://www.romandie.com/news/Allemagne- … 564380.rom jean luc
L’Allemagne toujours intransigeante face à la Grèce
Quitte ou double
Le gouvernement Grec se trouve aujourd’hui à la tête d’un conflit contre l’austérité, représentée en Grèce par la « Troïka », c’est à dire par l’association du FMI, de la BCE et de la commission européenne. Il a annoncé le jeudi 19 février, dans sa demande de prolongation des prêts européens, sa volonté de« coopérer étroitement avec les institutions européennes et le FMI », ainsi que celle d’ « honorer ses obligations financières vis-à-vis de ses créanciers ». Il s’est engagé à « financer pleinement toute nouvelle mesure tout en s’abstenant de toute action unilatérale qui saperait les objectifs budgétaires, la reprise économique et la stabilité financière », tout en introduisant une « flexibilité » permettant « des réformes substantielles » afin de « rétablir le niveau de vie des millions de citoyens grecs »[1]. Les termes semblent avoir été pensés au millimètre. En fait, le gouvernement grec ne s’engage QUE sur le maintien d’un solde primaire en équilibre, mais il ne renonce pas à sa volonté d’utiliser l’argent prévu pour les paiements des intérêts et du principal de la dette pour financer des mesures sociales. En réalité, il n’y a pas de changements sur le fond. Et c’est pourquoi le gouvernement allemand annonce d’ores et déjà son opposition à cette demande.
Nous en sommes dès aujourd’hui au cœur du problème. L’Allemagne fait de la Troïka et de l’austérité, l’alpha et l’oméga de sa politique, car ces mesures lui assurent sa prédominance en Europe. En faisant des concessions de pure forme, le gouvernement grec démasque l’attitude allemande et reporte sur l’Allemagne la responsabilité d’un conflit[2]. Car, il est peu probable que l’Allemagne cède sur ce point. En fait, le gouvernement Grec vient de tendre un piège à l’Allemagne. Les concessions de pure forme qu’il fait mettent l’accent sur la rigidité allemande. lire le reste de l'article jean luc
PS: pour ma part il y a longtemp que je fait plus confiance aux grecques ,lors de la constitution de l'euros ,ce sont bien eux qui ont trafiquer leurs compte plublique ,maquiller leur dette ,avec l'aide de la banque HSBC .
Ces étrangers qui misent sur l'Allemagne .
Sites spécialisés, investisseurs ultra-connus et reconnus… Les appels à acquérir des actifs en Allemagne se multiplient ces jours-ci. Il faut dire que les arguments ne manquent pas.
Warren Buffet va continuer à faire des emplettes outre-Rhin. Le célèbre investisseur américain, qui vient de racheter un vendeur allemand de motos et d'accessoires, affirme dans le Handelsblatt de ce 25 février qu'il ne compte pas s'arrêter là.
Une semaine après avoir acquis Detlev Louis Motorrad-Vertriebs, l'oracle d'Omaha prévient qu'il est "vraiment intéressé par le rachat d'autres entreprises allemandes", dans les colonnes du quotidien économique. Et il est loin d'être le seul à porter aux nues les actifs allemands.
Autre gros investisseur étranger à avoir jeté son dévolu sur l'Allemagne: le fonds souverain norvégien, et ses faramineux moyens issus de la manne pétrolière scandinave. En 2014, il est même devenu le premier actionnaire des PME allemandes cotées sur trois indices boursiers dédiés. Il se retrouve à la tête de près de 4 milliards d'euros d'actions allemandes, raconte l'hebdomadaire allemand Wirtschafts Woche.
"2015, année pour investir allemand"
Un engouement qui n'est pas près de s'essouffler. "2015, année pour acquérir des actions germaniques", proclamait ainsi le site financier américain Business Insider pas plus tard que mardi. Et les arguments pour garder les yeux rivés sur notre voisin d'outre-Rhin ne manquent pas. lire le reste de l'article jean luc
Les dépenses sociales bondissent en Allemagne
Les dépenses sociales du budget fédéral devraient augmenter de 19 % entre 2013 et 2019. Malgré une hausse des investissements, l’équilibre budgétaire reste de mise.
Les coups de pouce aux retraites et les « cadeaux » fiscaux du gouvernement allemand profitent aujourd’hui aux citoyens, mais ils risquent de peser sérieusement sur les finances publiques à l’horizon 2019. C’est une des leçons du budget prévisionnel qui doit être adopté mercredi en Conseil des ministres. Selon les chiffres clefs, auxquels « Les Echos » ont eu accès, les dépenses sociales du gouvernement (hors Länder et assurance sociale) doivent passer de 145 à 173 milliards d’euros par an entre 2013 et 2019. Ceci correspond à une hausse de plus de 19 % et à une part de 52 % des dépenses sociales dans le budget fédéral.
Subvention au budget de la caisse de retraite allemande
La forte hausse provient pour une large part de la subvention de l’Etat fédéral au budget de la caisse de retraite allemande. Cette subvention s’élève à environ 83 milliards d’euros et doit grimper à près de plus de 98 milliards en 2019. Deux facteurs l’expliquent : le coup de pouce aux mères retraitées dont les enfants sont nés avant 1992 –une mesure poussée par la CDU d’Angela Merkel et qui coûte quelque 6,5 milliards d’euros par an– et la nouvelle possibilité de départ à la retraite à 63 ans (au lieu de 65 puis 67 ans) –mesure chère au SPD qui pèse à hauteur de 3 milliards.
Malgré cette augmentation, et un léger effort en matière d’investissements, Berlin n’entend pas lever de nouvelle dette et table sur un équilibre budgétaire sur toutes les prochaines années, comme en 2014. La raison ? Une hausse continue des recettes sur fond de conjoncture stable, de marché du travail dynamique et de salaires en hausse –autant d’éléments qui contribuent à des recettes fiscales abondantes. L’Allemagne, dont le taux de chômage plafonne à 4,7 % (selon les chiffres Eurostat) table sur une croissance de 1,5 % cette année.
lire le reste de l'article jean luc
L'Allemagne n'est pas mourante, et c'est tant mieux
L'Allemagne n'est pas au plus mal, même si son évolution démographique est un défi. Par Antoine Armand, élève à l'Ecole Normale Supérieure de Paris
Dans une curieuse tribune datée du 16 mars et intitulée « Il n'y a pas de miracle allemand », Michel Santi, « économiste », aligne une quantité surprenante de contre-vérités.
M. Santi dépeint ce qui ressemble à un immense contraste entre d'une part, « la posture allemande arrogante et supérieure » prescriptrice de réformes, et de l'autre l' « irrésistible déclin » d'une Allemagne qui serait « un des problèmes du monde de demain ». Comment ne pas, alors, s'insurger contre « l'intransigeance allemande » alors même que pour l'Allemagne, « la messe est dite » ?
La presse allemande ne se résume pas au journal Bild
La virulence du ton ne doit pourtant rien à la justesse du propos. On pourrait presque comprendre les affirmations concernant l'attitude des responsables politiques et des journalistes allemands. On peut toujours, avec mauvaise foi et sans discernement, les soutenir - même si M. Santi ne les étaie ici d'aucune citation ni justification, et même si l'on pourrait lui opposer de nombreux contre-exemples. Plusieurs économistes comme MM. Enderlein et Fratzscher font entendre des voix différentes depuis longtemps. La presse allemande ne se résume pas au journal Bild ; à titre d'illustration, Olaf Gersemann, rédacteur en chef des pages économiques du grand quotidien Die Welt, a publié un livre intitulé "La bulle allemande", très critique envers la situation économique du pays. Enfin, les politiques allemands font preuve d'une modération bien plus grande que celle décrite par M. Santi. Sur la question des investissements publics par exemple, M. Schäuble lui-même a reconnu le problème des infrastructures publiques, et a annoncé au début de l'année un plan de 10 milliards d'euros pour les deux prochaines années, un montant assez proche de la somme préconisée dans le rapport fédéral sur les infrastructures. lire le reste e l'article
Le climat des affaires à un pic de huit mois en Allemagne La confiance des entrepreneurs allemands a progressé pour le cinquième mois consécutif en mars et n'a jamais été aussi élevée depuis juillet 2014, montre l'enquête mensuelle de l'institut Ifo publiée mercredi.
L'indice Ifo du climat des affaires, calculé sur la base d'une enquête auprès d'environ 7.000 entreprises de la première économie de la zone euro, a atteint 107,9 en mars après 106,8 en février. Il est supérieur au consensus Reuters, qui l'attendait à 107,3.
Autre signe suggérant une reprise de l'activité dans la zone euro en ce début 2015, le climat des affaires s'est aussi amélioré en France, deuxième économie du bloc, au mois de mars pour atteindre son plus haut niveau depuis près de trois ans, selon les données publiées mercredi par l'Insee.
L'enquête Ifo montre que les entreprises allemandes sont non seulement plus satisfaites de la situation actuelle qu'en février mais aussi plus optimistes sur leurs perspectives pour les six prochains mois.
"La croissance vigoureuse au quatrième trimestre 2014, conjuguée à des prix de l'énergie bas et à un euro faible, a renforcé la confiance dans l'économie", a dit Carsten Brzeski, économiste chez ING.
"Toutefois, avant de verser dans un excès d'optimisme, il faut garder à l'esprit que les données réelles en ce début d'année sont moins impressionnantes que les données subjectives. En outre, l'indice Ifo publié aujourd'hui n'est que légèrement au-dessus de sa moyenne des cinq dernières années", a-t-il ajouté.
L'économie allemande a échappé de peu à la récession en milieu d'année 2014 avant de rebondir au quatrième trimestre avec une croissance de 0,7% soutenue par la demande intérieure, elle-même alimentée par un emploi élevé, des salaires en hausse et un pétrole moins cher.
L'enquête Ifo montre une amélioration dans les secteurs de la vente au détail, de la vente en gros et de la production industrielle alors que la confiance s'est détériorée dans le domaine de la construction.
Economiste chez Ifo, Klaus Wohlrabe estime que l'Allemagne devrait connaître début 2015 une croissance économique quasiment identique à celle de fin 2014.
Le gouvernement allemand prévoit une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 1,5% en 2015, après 1,6% en 2014, mais certains instituts ont d'ores et déjà revu à la hausse leurs propres prévisions et s'attendent désormais à une croissance de plus de 2%. http://bourse.lesechos.fr/infos-conseil … 040342.php jean luc
Franc fort : la Suisse craint des délocalisations vers... l'Allemagne Alors que les perspectives de croissance se réduisent en Suisse pour 2015, certains craignent des départs de sites industriels vers le voisin allemand où la main d’œuvre est moins chère et compétente.
Les effets de la hausse du franc suisse se font de plus en plus amèrement sentir dans la Confédération helvétique. Lundi 23 mars, le FMI a divisé par deux sa prévision de croissance pour le pays de 1,6 % à 0,75 % pour l'année en cours. C'est moins que le gouvernement suisse (Conseil fédéral) qui table, lui, toujours sur 0,9 %, mais c'est encore plus que l'institut KOF de l'Ecole polytechnique de Zurich qui, de son côté n'espère pas plus de 0,5 %.
Effets micro-économique du franc fort
Le franc suisse demeure le principal problème de l'économie helvétique. Depuis la levée du plancher de 1,20 franc par euro que garantissait la Banque Nationale Suisse (BNS) jusqu'au 15 janvier 2015, le franc s'est, semble-t-il, aux alentours de 1,05 franc par euro. L'appréciation est donc de 12,5 % environ. Une situation que commence à ressentir le tissu économique suisse. Pas un jour sans qu'une entreprise ne fasse part de son inquiétude. Encore mardi, la société de contrôle aérien zurichois Skyguide, qui facture deux tiers de ses clients en euros, a admis tremblé devant cette hausse.
Le secteur de l'industrie prend aussi des mesures. Chez Bosch, par exemple, on a relevé le temps de travail de 40 heures à 41,5 heures par semaine dans les deux usines du groupe à Sankt Niklaus (canton du Valais) et à Zuchwill (canton de Soleure) tant que l'euro ne sera pas remonté à 1,15 franc. Et le groupe allemand, qui a annoncé l'embauche de 12.000 personnes dans le monde, n'a pas évoqué la Suisse...
L'inquiétude devant le risque de délocalisation
La presse helvétique s'inquiète dorénavant d'une délocalisation de l'industrie suisse... en Allemagne. La semaine passée, l'association suisse des constructeurs de machines-outils a, lors de sa conférence de presse annuelle, beaucoup parlé des avantages du voisin germanique et de la haute compétence de la main d'œuvre. Selon la Neue Zürcher Zeitung, de nombreux entrepreneurs suisses, notamment du côté alémaniques, envisagent de franchir le Rhin et de s'implanter dans le Land du Bade-Wurtemberg. Des organisations de promotion de ce Land font actuellement la promotion du « Standort Deutschland » (lieu d'implantation allemand) et de ses avantages, il est vrai nombreux aux yeux des patrons suisses : pas de barrière de la langue, une forte compétence de la main d'œuvre et un coût de production en euro pour une facturation en euros (aujourd'hui, beaucoup d'entreprises suisses sont déjà des fournisseurs de sociétés allemandes ou de la zone euro). lire la suite de l'article jean luc
L’Allemagne veut relancer son apprentissage, en perte de vitesse
Le nombre de contrats d’apprentissage baisse depuis 2009, et a atteint l’an dernier son plus bas niveau depuis 1990.
Il a commencé sa vie professionnelle par un apprentissage en construction aéronautique et se trouve aujourd’hui à la tête de Deutsche Bahn après une carrière chez Daimler et EADS : Rüdiger Grube est un produit phare de la formation professionnelle allemande. Mais alors que cet apprentissage est devenu un modèle pour plusieurs pays, dont la France, de moins en moins d’Allemands choisissent de suivre la voie du patron de la compagnie ferroviaire allemande.
Selon les chiffres dévoilés, mercredi, par le gouvernement, 522.200 contrats de formation professionnelle ont été signés en 2014, ce qui correspond à un recul de 1,4 % par rapport à 2013. Il s’agit du plus bas niveau depuis la réunification en 1990. « On observe un déclin continu depuis 2009 », a reconnu la ministre de l’Education et de la Recherche, Johanna Wanka. A cette époque, ils étaient plus de 564.000 jeunes à épouser la formation duale considérée comme une clef de la réussite industrielle allemande.
Plusieurs raisons expliquent cette érosion, que le gouvernement entend combattre. Premièrement, le déclin démographique : en l’espace de dix ans, 100.000 jeunes de moins sont sortis des lycées d’enseignement général. Deuxièmement, l’image de moins en moins positive de cette formation, qui assure un emploi mais n’a plus le même prestige auprès de jeunes générations préférant étudier à l’université. Troisièmement, une adéquation plus difficile entre l’offre et la demande, les entreprises
lir le reste de l'article
Allemagne: le chômage inchangé en avril à 6,4% (CVS)
Berlin (awp/afp) - Le taux de chômage est resté stable en Allemagne à 6,4% en avril, toujours au plus bas depuis la Réunification du pays en 1990, selon un chiffre corrigé des variations saisonnières publié jeudi par l'Agence pour l'emploi.
La bonne santé du marché du travail allemand tranche avec le niveau élevé du chômage dans le reste de l'Europe, en France il a atteint un nouveau record en mars, selon des chiffres publiés cette semaine.
Le nombre de chômeurs en Allemagne, toujours en données CVS, a reculé de 8.000 sur un mois, un peu moins que la baisse de 15.000 anticipée par le consensus compilé par Bloomberg.
En chiffres bruts, qui font référence dans le débat allemand, le taux de chômage est passé de 6,8% en mars à 6,5% en avril, ce qui fait dire au président de l'Agence pour l'emploi, Frank-Jürgen Weise que "le chômage a reculé en avril". "L'emploi soumis à cotisations sociales et les postes vacants continuent à évoluer de manière positive", a-t-il poursuivi, cité dans un communiqué.
En opposition aux petits boulots et autres mini-jobs, les emplois soumis à cotisations sociales sont en général des emplois dont leurs occupants peuvent vivre, sans percevoir d'aide sociale en plus, et reflètent une situation économique solide. Sur les 42 millions d'actifs que compte l'Allemagne, 30 millions occupaient un tel emploi en avril, un demi-million de plus que l'an dernier, a précisé l'Agence pour l'emploi.
La décennie dernière, la croissance de l'emploi reposait pour beaucoup sur les petits boulots et jobs d'appoint, mais ces cinq dernières années l'économie a créé de plus en plus d'emplois. A fin avril, l'Agence recensait 552.000 postes vacants dans le pays.
Le marché du travail allemand est "solide comme un roc", commentait Carsten Brzeski, économiste d'ING.
Il n'en reste pas moins qu'environ 2 millions d'Allemands, soit 5% de la population active, sont forcés de cumuler au moins deux emplois pour vivre, selon des données officielles publiées mercredi.
Les bonnes perspectives d'emploi alimentent une hausse des revenus et du moral des consommateurs allemands, et nourrissent la demande des ménages. Celle-ci connaît pourtant des accrocs: les ventes au détail ont flanché de 2,3% sur un mois en mars, selon un chiffre publié lui aussi jeudi.
La demande intérieure est censée être cette année le moteur de la croissance allemande, pour laquelle nombre d'institutions et le gouvernement viennent de relever leurs prévisions, avec des pronostics qui tournent autour de 1,8% à 2%. Mais cette demande n'est pas le seul fait des ménages et de leurs emplettes: elle repose aussi sur les investissements des entreprises et des pouvoirs publics.
http://www.romandie.com/news/Allemagne- … 589189.rom jean luc
Allemagne : +6,2 % de nuitées étrangères en janvier et février 2015
Avec 8,95 millions de nuitées étrangères comptabilisées dans des établissements d'au oins dix lits par l'Office Fédéral de la Statistique, le nombre de visiteurs internationaux en Allemagne a progressé de 6,2 % en janvier et février 2015.
Le marché français y est en hausse de 5,1 % par rapport à la même période en 2014.
Du côté de la Belgique, la croissance atteint 24,4 %. Elle de 11,6 % pour les Pays-Bas, de 11,8 % pour la Suisse et de 10,5 % pour l'Italie.
http://www.tourmag.com/Allemagne-62-de- … 73921.html jean luc
Le nombre de « minijobs », payés jusqu’à 450 euros par mois, a reculé de 3,5 % au premier trimestre.
Les « minijobs », qui symbolisent la flexibilité du marché du travail allemand, sont en perte de vitesse depuis l’introduction du nouveau salaire minimum à 8,50 euros de l’heure. Selon les chiffres publiés cette semaine par la Centrale des minijobs, leur nombre a reculé de 3,5 % au premier trimestre. Ils étaient 6,6 millions au 31 mars, soit 237.000 de moins qu’au 31 décembre 2015. « Il s’agit du recul le plus important depuis que nous recensons les chiffres, fin 2004 », reconnaît une porte-parole. Selon elle, il y a sans doute un lien avec l’arrivée du salaire minimum, même s’il est encore trop tôt pour le clarifier. Une chose est sûre, le nouveau dispositif enlève une partie de l’attrait des « minijobs ». Ces contrats précaires, que les salariés peuvent cumuler, restent soumis au salaire plafond de 450 euros par mois. Mais, alors que le nombre d’heures n’était pas limité dans le passé, il est désormais mécaniquement plafonné à 53 heures par mois.
Déplacement des postes
Or les « minijobs », par ailleurs très légers sur le plan bureaucratique, sont justement très prisés des petites structures, magasins, restaurants, ou artisans, dans lesquelles des salaires de 5 ou 6 euros de l’heure n’étaient pas rares. Le recul touche en priorité ces branches, ainsi que les Länder de l’est de l’Allemagne, qui craignaient un impact important du salaire minimum.
Pour la Fédération du commerce de détail (HDE), dont la branche emploie 900.000 personnes sur ce mode, une raison essentielle du recul des « minijobs » réside donc dans « l’introduction du salaire minimum et ses règles bureaucratiques ». Il invite ses membres à étudier de près le transfert de ces salariés dans des contrats moins précaires, bénéficiant de l’assurance sociale.
Certains ont pris les devants. Selon les chiffres de l’Agence fédérale pour l’emploi, le commerce de détail a ainsi créé 56.000 emplois en février. Autrement dit, un « minijob » détruit ne crée pas forcément un chômeur de plus. Au total, le chômage reste au plus bas et le marché de l’emploi continue d’ailleurs de voler de record en record. Le nombre d’actifs a progressé de 235.000 en glissement annuel en mars, à 42,47 millions.
Mais le nombre de personnes en emploi précaire a reculé de 2,8 % en février, à 4,48 millions, tandis que celui de salariés bénéficiant de l’assurance sociale a progressé de 1,8 %, à 30,32 millions. « On observe un déplacement des postes intérimaires vers d’autres, permanents et mieux payés », selon Christian Schulz, analyste chez Berenberg, qui voit une bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat des ménages à court terme, mais un risque pour la flexibilité des entreprises à long terme.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/021 … gMu3gmz.99 jean luc
L’Allemagne se maintient à 6,4 % de chômage Alors que le chômage français continue de grimper, l’Allemagne se maintient à 6,4 %, son niveau le plus bas depuis 1990 et la réunification.
L’Allemagne bombe le torse. Alors que le 1er juin, Michel Sapin dévoilait une nouvelle hausse du chômage en France , avec plus de 3,5 millions de chômeurs en catégorie A, l’Allemagne annonce mardi que son taux de chômage s’est maintenu à 6,4% en mai, son niveau le plus bas depuis la réunification du pays en 1990.
Le nombre de personnes sans emploi a reculé de 6 000 pour atteindre 2,786 millions de personnes. Selon Jörg Zeuner, économiste de la banque publique de développement KfW, cette tendance positive devrait « se poursuivre dans les prochains mois ».
Si le nombre de salariés augmente dans presque tous les secteurs, la progression est plus faible dans le secteur manufacturier, car le principal moteur de la croissance allemande actuelle est la demande intérieure, souligne-t-il.
Une enquête publiée le 27 mai par l’institut GfK a mis en évidence que la confiance des consommateurs allemands n’avait plus été aussi élevée depuis octobre 2001, portée par de solides augmentations des salaires, une faible inflation et un taux d’emploi élevé. Par ailleurs, les faibles taux d’intérêt découragent l’épargne et soutiennent donc la consommation.
Une prévision de croissance en baisse
D’autres indicateurs plus mitigés assombrissent cependant le tableau. Ainsi, les économistes de Deutsche Bank ont revu à la baisse lundi leur prévision de croissance annuelle pour l’Allemagne et tablent désormais sur une progression de 1,6% du produit intérieur brut (PIB) contre 2% précédemment, après un premier trimestre inférieur aux attentes.
Les enquêtes des instituts allemands Ifo et Zew ont par ailleurs révélé une dégradation du climat des affaires et du moral des investisseurs et analystes en mai.
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/monde/europe/021 … HKGlAUj.99 jean luc
Airbus, la construction d'une nouvelle chaîne d'assemblage envisagée à Hambourg L'avionneur européen basé à Toulouse envisage la construction d'une nouvelle chaîne d'assemblage à Hambourg, en Allemagne.
sur le même sujet
Tous les grands noms de l'aéronautique, du spatial et de l'aérien demain au Paris Air Forum
Airbus inaugurera une usine aux États-Unis le 14 septembre
Carnet de commandes record pour Airbus
Lors du Paris Air Forum qui s'est déroulé ce vendredi en ouverture du Salon du Bourget, Fabrice Brégier, CEO d'Airbus, a évoqué les conséquences de la montée en cadence de la production de l'avionneur.
"Si l'on étudie des montées en cadence au-delà de 50 avions par mois pour l'A320, nous aurons vraisemblablement besoin d'une chaîne d'assemblage supplémentaire en Europe, a priori à Hambourg."
En revanche, le CEO d'Airbus a exclu à court terme l'implantation d'une FAL en Inde.
Interrogé sur les prochains programmes de l'Airbus, Fabrice Brégier a assuré que "la succession de l'A320 n'était pas à l'ordre du jour, l'A320neo étant un succès avec près de 4 000 appareils commandés fermes. Nous n'avons pas besoin de lancer un successeur avant plusieurs années même si cela dépend des mouvements de la compétition. Cela dit, le successeur de l'A320 sera vraisemblablement un peu plus gros."
Un bicouloir ? Réponse : "peut-être http://objectifnews.latribune.fr/entrep … xtor=AL-13 jean luc
Grèce : Angela Merkel "disposée à reprendre les discussions avec le Premier ministre Alexis Tsipras s'il le souhaite"
La communication entre Alexis Tsipras et la Commission européenne n'est pas condamnée. L’Allemagne se dit favorable à la reprise de négociations si Athènes le souhaite.
"Si l'euro échoue, l'Europe échoue" a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel au lendemain de nouvelles négociations houleuses avec la Grèce. En effet, dimanche 28 juin, les créanciers d'Athènes ont décidé de mettre un terme aux prêts d'urgence ELA, unique source de financement des banques grecques et de l'économie du pays tout entier. Une décision prise face au référendum, annoncé par le premier ministre grec Alexis Tsipras et à son incapacité de se plier aux restrictions de la Commission européenne.
Alors que le gouvernement allemand a conseillé à ses résidents de se munir de liquidités dans le cas où ils se rendraient en Grèce, Angela Merkel s'est dite "disposée à reprendre les discussions avec le Premier ministre Alexis Tsipras s'il le souhaite" selon son porte-parole M. Seibert. "L'objectif de notre travail [...] est une zone euro forte. La Grèce est un cas particulier" a-t-il ajouté. "Comme vous le savez, le gouvernement fédéral a, dans la mesure de ses possibilités, vraiment soutenu un accord entre la Grèce et les trois institutions", a souligné le porte-parole d'Angela Merkel. "La chancelière, avec le président français François Hollande, s'est personnellement investie pour cela". Selon Angela Merkel, si le référendum est "une décision légitime du gouvernement grec", il s'agit également du " devoir des partenaires européens de prendre leurs responsabilités individuellement et collectivement".
Un contrôle des capitaux a été mis en place et l'économie de la Grèce est actuellement, uniquement, basée sur l'argent liquide retirée ce week end par le peuple. Manuel Valls déclarait dimanche matin dans le Grand Rendez-Vous sur Itélé, que les Grecs avaient retiré près de 500 millions d'euros en une journée, soit un demi-milliard d'euros. Les transports en commun seront gratuits jusqu'à la réouverture des banques.
http://www.atlantico.fr/pepites/grece-a … 5j9omf0.99 jean luc
En Allemagne, le patronat veut abolir la journée de huit heures La fédération patronale allemande, le BDA, a demandé au gouvernement de revenir sur la limitation journalière du temps de travail. Elle réclame une limite hebdomadaire, comme en France.
Publicité
Le patronat allemand nous envierait presque les 35 heures. Outre-Rhin, la fédération des employeurs BDA a en effet appelé le gouvernement à abolir la limitation journalière du temps de travail, actuellement fixée à huit heures, pour la remplacer par une limitation hebdomadaire, à l'image de la France, relèvent les Echos ce lundi.
«La législation sur le temps de travail doit passer d'une limitation quotidienne à une limitation hebdomadaire. Notre réglementation n'est pas assez flexible. Une telle souplesse nous permettrait de mieux faire face à la digitalisation de l'emploi et de mieux concilier vie de famille et travail», explique Eric Schweitzer, président des entreprises industrielles allemandes. Les patrons allemands entendent rebondir sur le débat autour du travail et des outils numériques initié par le ministre SPD du Travail allemand, Andrea Nahles, pour faire valoir leurs arguments.
«En Allemagne, contrairement à la France, la législation sur le temps de travail est structurée autour de la durée journalière, limitée à 8 heures», explique en effet Françoise Berton, avocate en droit franco-allemand. Dans l'Hexagone en revanche, le temps de travail peut atteindre 10 heures par jour sans compensation, et même 13 pour les salariés au forfait-jour. lire le reste de l'article jean luc
L’Allemagne voit sa croissance progresser de 0,4 %
A la différence de la France, qui vient de voir sa croissance stagner au deuxième trimestre, l’Allemagne confirme son titre de première économie européenne. Berlin a en effet vu sa croissance accélérer modestement avec une progression du produit intérieur brut (PIB) de 0,4 %.
C’est légèrement moins qu’escompté par les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers Factset, qui tablaient sur une croissance allemande de 0,5 % au deuxième trimestre.
Lors du trimestre écoulé, l’économie allemande a surtout été tirée par le commerce extérieur, souligne l’office fédéral des statistiques Destatis dans un communiqué. « Selon les chiffres préliminaires, les exportations ont augmenté beaucoup plus que les importations, grâce à l’euro faible », indique l’office.
Si l’on compare sur un an, l’Allemagne a connu une croissance de 1,6 % de son PIB entre avril et juin, contre 1,2 % au premier trimestre, précise Destatis.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/ … 6LC1iQx.99 jean luc
Coût du travail : la France et l'Allemagne au coude-à-coude
Dans l'industrie, le coût horaire du travail est plus élevé outre-Rhin que dans l'Hexagone. Une différence de 0,10 € liée à la mise en œuvre du CICE en janvier 2013.
image: http://memorix.sdv.fr/5/www.ladepeche.f … newsletter
Après la baisse du chômage en septembre, l'Insee vient d'apporter une seconde bonne nouvelle économique à l'exécutif. Dans une enquête publiée hier, l'institut de la statistique montre en effet que l'écart entre la France et l'Allemagne en matière de coût du travail s'est resserré.
Régulièrement, ce paramètre était avancé par des économistes, mais aussi et surtout par le patronat, pour justifier les différences de compétitivité entre les deux pays. Entre 2012 et 2014, l'indice du coût horaire du travail en France a augmenté de 1,1 % pour l'industrie et de 0,8 % pour les services, contre 3,2 % et 1,4 % en Allemagne.
En 2012, l'heure de travail coûtait, en moyenne, 30,50 euros en Allemagne contre 34,30 euros en France. Deux ans plus tard, selon les données rassemblées par Eurostat, ce différentiel horaire de 3,80 euros a été réduit de 28 %. Le coût horaire moyen allemand ayant nettement augmenté (31,40 euros) la où le français a progressé moins vite que l'inflation (34,60 euros).
Si l'on regarde uniquement les données pour l'industrie, la France apparaît désormais nettement moins chère que l'Allemagne (37 euros contre 37,10 euros l'heure).
En revanche, Si l'on ajoute à l'industrie les secteurs de la construction et des services, le coût d'une heure de travail est de 34,60 euros pour un salarié français contre 31,40 euros pour un Allemand.
L'effet positif du CICE
La principale explication de cette évolution réside dans la mise en œuvre du crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE) en janvier 2013. Cette aide aux entreprises voulues par François Hollande accorde un crédit d'impôt aux à hauteur de 4 % (puis 6 % depuis 2014) du montant des rémunérations comprises entre 1 et 2,5 SMIC.
«Il s'est vraiment passé des choses avec le CICE», explique Hervé Bacheré, économiste à l'Insee. L'institut constate qu'il a eu «un effet positif sur le taux de marge», et a «permis aux entreprises d'intégrer les exonérations de charges dans leur comptabilité dès 2013».
L'enquête montre que le CICE a davantage bénéficié à la construction, à l'hébergement et à la restauration où 80 % des salaires sont inférieurs à 2,5 SMIC, qu'à l'industrie ou plus de la moitié des rémunérations entrent dans le champ du CICE.lire le reste de l'article
jean luc
PS: il s'agit d'e mplois subv entionner par le contribuable chaque année il goute ras á l'état 11 milliard d' euros l e dé ficide de la France n'est pas prête de diminuer .
Les secrets du marché allemand passés au crible par Rafal
Deuxième partenaire économique du Languedoc-Roussillon pour l'export et le troisième pour l'import, l’Allemagne est un marché porteur pour les entreprises régionales. Certaines d’entre elles sont venues en témoigner lors d’une soirée organisée par l’association Rafal, à Montpellier, le 7 décembre.
« Il ne faut pas attaquer le marché allemand de façon agressive», prévient Carmen Uhl, la présidente du Réseau d'affaires franco-allemand (Rafal) du Languedoc-Roussillon lors d'une soirée thématique sur la conquête du marché allemand, le 7 décembre, à Montpellier.
Comment convaincre
Investir le marché Outre-Rhin en douceur, c'est justement l'expérience relatée lors de cette soirée par l'industriel lozérien Étienne Landart, président de LIA Tech (La Canourgue), fabricant de systèmes de câblage embarqué qui réalise aujourd'hui 25 % de son CA (21 M€) en Allemagne.
« En 2008, nous avons réalisé une opération de croissance externe via l'acquisition d'un bureau d'études allemand. Cela nous a donné accès à ce marché car ce sont des ingénieurs allemands de notre filiale [7 M€ de CA] qui ont échangé sur les dossiers techniques avec les entreprises allemandes. Le premier point est toujours technique, c'est la base pour convaincre et ce fut la clef de notre implantation Outre-Rhin », révèle Étienne Landard. lir e le r este de l'article
Fusion nucléaire : l’Allemagne allume son soleil artificiel !
Si on parvenait à recréer l'énergie des étoiles, ce serait une des plus grandes révolutions énergétique de ce siècle. Et jeudi 10 décembre, en pleine COP21, l'institut Max Planck de physique des plasmas a allumé une machine qui pourrait bien changer le monde.
Publicité
Cette machine s’appelle Wendelstein 7-X ou W7-X. Il s’agit du plus gros et du plus sophistiqué réacteur à fusion nucléaire. Il aura fallu 19 ans, 1,1 million d’heures de construction et un investissement de plus d’un milliard d’euros pour que l’Institut Max Planck achève de construire ce réacteur baptisé Stellarator l’an dernier.
La fusion nucléaire pourrait être une source d’énergie inépuisable et propre. Mais techniquement, nous sommes très loin d’arriver à construire un réacteur capable d’alimenter une petite ville. Mais aujourd’hui, un pas vient d’être fait dans cette direction.
C’est quoi un réacteur à fusion ?
Là où les centrales nucléaires classiques cherchent à scinder les atomes pour produire de l’énergie, le stellarator va chercher à fusionner les noyaux nucléaires. Le réacteur à fusion imite le phénomène qui se produit naturellement dans le cœur du Soleil et la plupart des autres étoiles. C’est pour cette raison qu’on parle de « soleil artificiel ».
L’énergie est produite à partir d’atomes d’hydrogène que l’on soumet à des températures allant jusqu’à 100 millions de degrés Celsius. A cette température, les électrons sont arrachés à leurs atomes, et forment des ions. Normalement, les ions se percutent et rebondissent les uns sur les autres comme des autos-tamponneuses. Mais avec de telles conditions, les forces s’annulent. Les ions peuvent alors se percuter et fusionner ensemble, ce qui génère de l’énergie. Bravo, vous venez de créer la fusion nucléaire
lire le reste de l'article jean luc
Le secteur du BTP en pleine expansion en Allemagne
limite de la Suisse et de l'Autriche, Bauer Holzbausysteme, entreprise familiale de construction, est débordée par les commandes de maisons préfabriquées.
Ces logements sont destinés à accueillir certains des centaines de milliers de réfugiés et de migrants qui ont afflué en Allemagne cette année mais l'entreprise ne peut pas suivre, alors son patron, Jörg Bauer, a décidé d'embaucher et d'investir pour augmenter la production.
"Nous sommes sur le point de mettre en place une double équipe dans notre usine de Neukirch, d'ouvrir une plus grande usine à Lindau et d'augmenter nos effectifs pour les passer de 40 actuellement à 60", détaille-t-il.
Cet afflux de réfugiés n'est qu'un élément s'ajoutant aux multiples facteurs alimentant déjà le redressement du secteur de la construction en Allemagne, dont il représente 4% du produit intérieur brut (PIB) avec 2,5 millions d'emplois répartis dans 300.000 entreprises.
La croissance démographique des grandes villes, un coût de l'emprunt historiquement bas et la hausse du pouvoir d'achat tirée par la progression des salaires incitent de nombreux Allemands à surmonter une réticence culturelle à posséder leur propre logement et à considérer l'immobilier comme un investissement rentable.
Cette demande, conjuguée au programme d'investissements du gouvernement destiné à moderniser des infrastructures routières pour 13 milliards d'euros en 2016, devrait faire progresser les revenus du BTP de 2,5% l'année prochaine en Allemagne pour les porter à 235 milliards d'euros, leur plus haut niveau depuis 2000, selon la fédération du secteur.
"De plus en plus d'Allemands placent leur argent dans l'immobilier", remarque Hans-Werner Sinn, président de l'institut économique Ifo.
LES COURS DE BOURSE S'ENVOLENT
L'indice Ifo de la construction, qui mesure le moral des entrepreneurs du secteur, a atteint en novembre son plus haut niveau depuis la réunification de l'Allemagne en 1990, qui avait été suivie d'une période de forte expansion en raison des besoins de reconstruction dans l'ex-RDA.
Cet optimisme se retrouve dans la valorisation des entreprises.
lire le reste de l'article jean Luc
Chapeau !!
Jörg Bauer, devrait donner sa recette a Hollande , et de son premier : Walls ....
Mieux de les inviter pour qu'il apprennent ( Hollande , Walls) le dynamisme de la croissance par le travail et l'emploi .
Ton article est très instructif .
So good .
Marcantonov
Allemagne: les PME vont créer 200.000 emplois
Les PME allemandes, colonne vertébrale de l'industrie du pays, espèrent créer 200.000 nouveaux emplois dans le pays en 2016 mais ne comptent pas embaucher massivement de réfugiés, a indiqué mardi leur fédération nationale.
"Nous attendons 200.000 créations d'emplois l'année prochaine" dans le "Mittelstand", du nom de ce tissu de PME souvent industrielles, familiales et très orientées à l'export, a affirmé mardi en conférence de presse Mario Ohoven, président de la fédération nationale des entreprises de taille moyenne (BVMW). La BVMW compte 270.000 entreprises membres.
Ainsi, 39% des petites et moyennes entreprises ayant répondu à un sondage du BVMW envisagent d'embaucher de nouveaux salariés en 2016, contre seulement 8% qui prévoient de licencier, tandis que les 53% restants n'entrevoient pas d'évolution de leurs effectifs.
"Malgré une conjoncture économique mondiale peu favorable, les chefs d'entreprise allemands abordent majoritairement l'année à venir avec optimisme", s'est réjoui M. Ohoven. Quelque 99% des entreprises allemandes font partie du "Mittelstand", et il fournit plus de deux tiers des emplois dans le pays. Mais selon le même sondage, 87% des entreprises indiquent éprouver des difficultés à trouver la main d'oeuvre adaptée à leurs besoins. http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2015/1 … mplois.php jean Luc
VIDEO. Stéphane Le Foll : "C'est la misère en Allemagne, 50% des exploitations connaissent de grandes difficultés"Une crise à dimension européenne et mondiale. Tel est le message qu'a voulu faire passer le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, invité des "Quatre vérités" vendredi 5 février sur France 2. Interrogé sur la baisse du prix du lait et de la viande, qui suscite la colère des éleveurs, il a répondu : "On entend souvent dire que ce serait l'agriculture française qui aurait des problèmes, que le modèle français serait dépassé. Qu'il suffirait de faire comme dans les pays voisins, en Allemagne par exemple, des grands modèles industriels et on aurait la compétitivité nécessaire."
Mais, selon lui, il s'agit d'une fausse piste. "C'est la misère en Allemagne. 50% des exploitations allemandes ont des grandes difficultés. C'est une crise qui est liée à un excédent d'offre sur les grands marchés", en particulier sur celui du lait, qui est "un marché mondial", a martelé le ministre de l'Agriculture. L'Europe a mis fin le 1er avril 2015 aux quotas laitiers, ouvrant une nouvelle étape à la libéralisation de l'agriculture européenne.
Les agriculteurs allemands"pris à la gorge" eux aussi
La crise du lait n'épargne pas les producteurs allemands, relevait Le Monde en juillet dernier. Udo Hemmerling, président de la plus grande fédération d’agriculteurs allemands, soulignait dans cet article avoir "les mêmes difficultés que les agriculteurs français". Et Le Monde de conclure : "Si la politique de mécanisation et d’agrandissement des exploitations a renforcé la compétitivité de l’agriculture allemande dans son ensemble, beaucoup de producteurs se sont énormément endettés pour moderniser leur ferme. Ils sont actuellement pris à la gorge par la chute des cours." voir la video http://www.francetvinfo.fr/economie/emp … tor=AL-79- jean Luc
PS: le ministre a raison ,oui les paysans allemand souffre aussi ,la faute est bien entendu á l’Europe qui a libéraliser les quotas laitier provoquant la chute des cours
Articles pour préparer votre expatriation en Allemagne
- Se déplacer à Francfort
Les habitants de Francfort se déplacent principalement en transports publics, s'agissant du moyen le ...
- Se loger en Allemagne
Malgré la crise économique provoquée par la COVID-19 et grâce aux mesures d'aide du ...
- Internet en Allemagne
L'Allemagne possède un réseau de télécommunications moderne et étendu. ...
- Voyager avec un animal de compagnie en Allemagne
L'expatriation avec un animal de compagnie peut être coûteuse et nécessite une bonne ...
- Les meilleurs quartiers de Francfort
Francfort est une ville internationale et un centre financier important en Europe dont chaque quartier a une ...
- Créer une entreprise en Allemagne
Le gouvernement allemand est très ouvert aux investissements étrangers, aussi, les citoyens ...
- Le téléphone en Allemagne
Grâce aux services de messagerie instantanée tels que Skype, WhatsApp, Messenger, Viber et Telegram, ...
- Se loger à Hambourg
Êtes-vous à la recherche d'un logement à Hambourg ? Située au nord de ...