Gérer le mal du pays au Portugal
Dernière activité 09 Octobre 2016 par bretonnedecoeur
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Bonjour à tous
Trois semaines en France, j'ai du mal à gérer mon impatience de retrouver mon petit coin de paradis, surtout que je suis depuis SDF en France depuis une semaine je viens de vendre mes biens perso et professionnel en France sans aucun état d’âme le bonheur quoi.
Vous pouvez déjà m'inscrire pour le prochain pot ou resto au mois d'Octobre, vous me manquez.
Bisous à tous.
Bonne journée ensoleillée à tous
Pour vous faire apprécier le Portugal,
ICI, stress, pollution, gros nuage menaçant, file de voiture,
@MARIBERN je précise :
Flordejasmim a écrit:Introuvable sur maps...C'est dans quel pays?
Depuis 25 ans environs je voyageais à travers un bonne partie de l'Europe voir au delà.
Suite à des problèmes de santé j'ai du m’abstenir de voyager en Camping Car.
Je voulais choisir un endroit où j'allais avoir le soleil pratiquement toute l'année et une population agréable et me sentir chez moi. J'ai décidé le Portugal ou je me sens comme chez moi. Je vis paisiblement entouré de gens extraordinaires, c'est un pays où l'on peut encore vivre au ralenti à notre rythme, des gens qui on encore le sourire quand on les rencontres même avec la difficulté de la langue et pourtant il n'ont toujours pas facile de vivre comme ils le souhaiteraient.
Je suis photographe amateur depuis plus de 50 ans et mon plaisir c'est de me balader à pied à vélo voir en voiture et ma petite barque pour surprendre les oiseaux dans la lagune de Ria Formosa pour prendre la photo. les journées sont trop courtes hélas.
J'adore la nourriture Portugaise qu'elle soit de l'intérieur du pays ou le long de la côte.
Je me suis offert un petit appartement aidé par un portugais du cru pour toute les formalités nécessaires. Cet appartement nous l'avons choisi face à l'Océan où je me sens heureux et sans regrets.
Nostalgique de mon pays, oui bien sur, j'ai toujours ma famille et mes amis et la région que j'aime de revoir où j'ai vécu une bonne partie de ma vie. Pour cela je prend l'avion et retourne passer quelques semaines dans mon pays pour me recharger les batteries très important à notre âge où l'on se rappelles des bons moments de notre vie et surtout revoir nos petits enfants pousser comme des champignons.
Où aller! il est difficile de conseiller car chacun à sa façon de vivre: certain la tranquillité absolue d'autre la ville pour le mouvement, avoir beaucoup d'amis ou quelques un !!!.
Mois je suis entouré de quelques Portugais et des Français et d'année en année je me fais de plus en plus des amis qui vivent dans le village de pêcheurs et encore une fois je suis heureux avec ma compagne.
@christine
En me posant la question "pourquoi je n'ai pas le mal du pays" j'ai tout d'abord voulu poser le problème en recherchant la définition de ce que l'on entend par "mal du pays". De mes différentes recherches, j'ai retenu la définition du "routard".
Ensuite j'ai recherché "comment gérer le mal du pays". En effet, quand on ne l'a pas, ce qui semble le cas de la plupart des expats ayant participé à cette discussion, j'ai pensé que sans doute nous nous étions naturellement donné les moyens de ne pas l'avoir.
Je communique donc ci-dessous le résultat de mes recherches, pour ceux qui aiment la lecture.
Pour ceux que les longs textes agaçent, ils peuvent ne lire que les titres, je les ai mis en couleur pour eux
[color=#000000]http://www.routard.com/guide_dossier/id_dp/50/num_page/2.htm[/color]
LE MAL DU PAYS QU’EST-CE QUE C’EST ?
Définition
Le mal du pays est considéré avant tout comme le reflet d'une difficulté d'adaptation à une nouvelle culture et à un nouveau pays. Ce mal n'est pas une maladie au sens traditionnel du terme. Il n'y a pas de médicaments, de vaccin pour y remédier ou de risques de contagion comme dans les cas de grippe ou rougeole. Il entraîne néanmoins des symptômes plus ou moins graves qui proviennent tous d'un déséquilibre psychologique provoqué par un changement de repères et de façon de vivre.
Symptômes
Dans la plupart des cas, le mal du pays se traduit par une nostalgie, une mélancolie, voire une dépression. Les symptômes sont un renfermement sur soi, une tristesse permanente ou une anorexie.
Le mal du pays se manifeste généralement quelques semaines, voire quelques mois après l'arrivée. En effet, une fois la découverte d'un nouveau pays passée, la routine s'installe et la nostalgie du pays natal commence à se faire sentir. Selon les individus, cette période de blues peut être plus ou moins longue, mais en tout cas pas unique. La plupart des gens ressentent le mal du pays à plusieurs moments de leur séjour : parfois juste au milieu, parfois juste avant de revenir dans leur pays…
Pourquoi certains souffrent plus que d'autres ?
Plusieurs facteurs entrent en jeu. D'abord, les personnes qui sont vraiment désireuses de partir ont plus de chances de s'adapter à un univers différent du leur. Ensuite, c'est une affaire de caractère : si vous êtes d'un naturel curieux, ouvert et désireux de faire des rencontres, vous partez bien sûr avec un avantage certain sur ceux qui sont obtus, renfermés et d'une timidité maladive ! Enfin, il y a aussi une question de culture.
Les Asiatiques, et en particulier les Japonais, sont par exemple particulièrement sujets au mal du pays quand ils viennent s'installer à Paris. Pourquoi eux plus que les Américains, les Argentins ou les Suédois ? Tout simplement à cause de la trop grande différence de cultures. Les Japonais, extrêmement polis et possédant un fort esprit de groupe, perdent leurs repères une fois en France où l'individualisme à l'occidentale prédomine. Ils se sentent rejetés, incompris et agressés par le comportement impatient des Français. Chaque année, près d'une centaine d'entre eux tombent dans une dépression profonde, avec parfois des délires de persécution et des tentatives de suicide à la clé. De fait, plus votre culture d'origine sera éloignée de celle de votre pays d'accueil, plus le choc culturel sera fort et l'intégration difficile.
[color=#17a316]http://www.huffingtonpost.fr/victoria-borisch/des-conseils-contre-le-mal-du-pays_b_7458156.html[/color]
LES 5 CONSEILS POUR COMBATTRE LE MAL DU PAYS
1. Restez en contact
Une des meilleures façons de combattre le mal du pays est de rester connecté avec ses proches, mais sans oublier de maintenir l'équilibre. Faire un planning pour appeler ou avoir une discussion vidéo en ligne. Ceci évite de trop s’inquiéter, de rester en contact et et crée un événement à attendre impatiemment.
Envoyer des cartes postales et des lettres est aussi un moyen drôle pour dire à quelqu'un que l’on pense à lui ou à elle lorsque l’on vit à l'étranger. Cela ne demande que très peu d'efforts et est beaucoup plus personnel que d'envoyer un e-mail ou un message Facebook.
2. Faites vous plaisir
Rien n'est pire que de ne pas avoir quelque chose pour se réconforter en cas de besoin. Une chose simple, porteuse de valeur émotionnelle : une peluche d'enfance ou de ses enfants, des photographies de famille ou votre barre chocolatée préférée… toutes les petites choses qui peuvent vous aider à lutter contre la nostalgie.
Si cela est possible, dîner dans un restaurant servant de la cuisine de votre pays d'origine peut être exactement ce dont vous avez besoin pour chasser le blues de l'expatrié.
3. Prenez soin de vous
Être attentif à sa santé mentale et physique est toujours important mais l'est encore plus quand votre environnement antérieur vous manque. Il peut être tentant de rester caché au lit toute la journée quand vous vous sentez mal mais cela ne vous fera pas vous sentir mieux à long terme.
Il est nécessaire, en revanche, de reconnaître comment vous vous sentez et de vous laisser suffisamment de temps pour vous ajuster. Rome n'a pas été construite en un jour et vous ne vous sentirez pas subitement chez vous dans un nouveau pays. Se sentir déprimé et que votre pays d’origine vous manque est une réponse totalement naturelle, mais ne vous laissez pas submerger. Faites attention à avoir une alimentation saine, faites un peu de sport et veillez à dormir suffisamment. Ces choses-là vous aideront à avoir l'énergie nécessaire pour partir à la conquête du monde.
4. Mettez en place une routine
Vous ne pouvez pas prendre passer toute la journée au téléphone avec vos proches ou rester au lit à vous apitoyer sur vous-même si vous avez des choses à faire. Mettre en place une routine vous aidera à garder votre esprit occupé et à vous adapter à la vie dans votre nouvel environnement. Profitez de cette opportunité pour faire quelque chose de nouveau ou poursuivre l'un de vos passe-temps favoris.
Établir un rythme quotidien ne doit pas nécessairement impliquer des activités très exigeantes; Créer un calendrier de courses ou regarder l’émission de télévision de votre pays d’origine que vous préférez peut être suffisant pour améliorer votre humeur.
5. Explorez
Le changement peut être aussi important que la routine. En déménageant à l'étranger vous vous êtes mis dans la position d'essayer de nouvelles choses. Si vous venez juste d'emménager dans un nouveau pays, jouez les touristes pendant un moment et acclimatez-vous à votre nouvel environnement. Si vous êtes expatrié depuis un bon moment déjà, explorez les parties de votre ville ou de votre pays d’adoption que vous n'avez pas vues ou essayez un nouveau restaurant. Tout ce qui élargit vos horizons et ouvre votre esprit constitue une bonne façon de vous distraire de votre nostalgie et vous aidera aussi à vous sentir plus connectés à votre nouvelle vie.
Rencontrer de nouvelles personnes est aussi un excellent moyen de vaincre la nostalgie, en particulier des personnes originaires de votre pays. Un moyen facile pour cela est de rejoindre un groupe d'expatriés.
MA CONCLUSION
Je comprends maintenant pourquoi je ne ressent pas « le mal du pays » :
- D’une part je suis d’un caractère curieux et ouvert,
- d’autre part j’ai mis naturellement et spontanément en œuvre ces 5 recommandations.
Bonne nuit à tous
@ENTRECROISER
Nous sommes nombreux à faire de la prose sans le savoir...
Cordialement
Bonjour réussi Christine oui le mal du pays cela fait depuis le mois de décembre que je suis parti vivre au Portugal je suis dans la ville de Leiria centre du Portugal à 125 km de Lisbonne 160 km .
oui quelquefois il y a le coup de blues c'est pas toujours facile mais il faut tenir le coup si tu veux prendre contact avec moi il n'y a aucun problème cordialement juan.
Perso j'ai du mal à piger les masos qui partent pour souffrir du manque du lieu qu'ils ont quittés sans y être obligés.
J'ai vécu 20 ans à l'étranger dans des pays bon...voila voila. Le mal du pays je connais bien. Mais si j'étais à l'étranger (maximum 7 ans) c'était un sacrifice temporaire pour assurer un avenir financier plus doux...
Si l'on est si malheureux au Portugal et que notre Clochemerle français nous manque, je ne vois qu'une solution : rentrer à la maison
Bravo Entrecroiser, pour cette étude didactique. Je me demande d'ailleurs si on peut gérer une souffrance ? Déjà la soigner semble problématique.
Gilevy, méfiez-vous de votre tablette. Si elle est comme la mienne elle corrige sans prévenir et créé des confusions que fort heureusement vous avez corrigées à temps.
Aller de l'avant sans regrets ne permet pas d'avoir le mal du pays, c'est ce que j'ai compris de cette lecture intéressante. Quant au fameux clown, impossible de l'éviter. Dans ce pays il existe toujours un événement sur lequel il faut l'assistance d'un chef d'état pour le comprendre, discours à l'appui. Et passage obligatoire à tous les journaux télévisés, aux rubriques mondaines, chez Ardisson, Ruquier, Bourdin, à la une de Libé, du Monde, du Figaro etc... En fait la bonne question était : existe-t-il des Français heureux en France ?
Bravo à Entrecroiser & Pertinax
Comme le précise Flordejasmin, lorsque l'on a déjà l'expérience d'une expatriation réussie, c'est mon cas, ayant vécu 7 ans au Cameroun et fait des déplacements plus ou moins long à travers le monde dans le cadre de mon activité professionnelle, l'on est plus confiant dans nos capacités d'adaptation à une nouvelle vie.
Il est vrai que c'est plus facile lorsque l'on va naturellement vers les autres, mais il faut se forcer si nécessaire
Depuis 4 mois que je suis arrivé, je me suis tissé un réseau de relation avec des voisins portugais parlant français et d'autres retraités expatriés habitant la région, mon employé de maison parle couramment français, cuisine français, ma prof de portugais se désole de me voir dans un environnement trop francophone, il faut vraiment que je me fasse violence pour rencontrer des autocthones avec qui je serais contraint de parler portugais
Quant à savoir, s'il existe des Français heureux en France ? on peut en douter,
mais dans mon cas, je me sens plus heureux et mieux entouré qu'en France et par ailleurs avoir échangé la campagne & les vignes contre la vie en bord de mer contribue à ne rien regretter
;
Que ce soit à titre privé ou professionnel, j'ai eu la chance de beaucoup voyager.
J'ai cessé mes activités à 55 ans...il y a déjà 15 ans et depuis je passe moins de 3 mois par an en France.
En y réfléchissant, il m'est arrivé une seule fois d'avoir le "mal du pays ".
C'est lorsque j'ai dû quitter mon sud-ouest pour passer 6 mois en Normandie...
Cordialement
Gérard
Que ce soit à titre privé ou professionnel, j'ai eu la chance de beaucoup voyager.
J'ai choisi de cesser toute activité à 55 ans...il y a déjà 15 ans et depuis je passe moins de 3 mois par an en France.
En y réfléchissant, il m'est arrivé une seule fois d'avoir le mal du pays.
C'est lorsque j'ai dû quitter mon sud-ouest pour passer 6 mois en Normandie...
Cordialement
Gérard
mon père était un des premiers portugais venu en France en 1916 (oui, il aurait pu être mon grand-père : 50 ans de différence,) : bien qu'éduqué : il parlait et lisait le portugais et le français et un peu l'anglais(marine marchande puis de guerre) il avait le mal du pays le sien le portugal Carranguajeira, je le voyait souvent seul sifflant des air du pays et parfois avec ses amis évoquer le pays cela nous semblait étrange mais nous apprenions sans y porter attention les différences !
dans les années 60 grande vague d'immigration : nous faisions "passeur et accueillant nous avions loué une grande maison qu'on appelait "commando" où nous logions des douzaine de portugais la plupart célibataire et jeunes puis rédactions et traductions dans les 2 sens : (j'avais appris à taper sur une machine à écrire) donc je connais la saudade (mal du pays), !
j'en ai vu des jeunes hommes franchir à pied les frontières en pleurant mais marchant vers un avenir meilleur !
aujourd'hui le Français vivant au Portugal peut avoir le mal du pays mais l'avion, l'internet et le téléphone atténue grandement d'autant qu'il y a plus de Portugais au Portugal qui parle le Français en 2016, qu'il n'y avait de Français en France qui parlaient Portugais en 1960 !
Ceci dit le pays c'est celui où on est né ! Je suis né en France et quand je suis au Portugal j'ai la nostalgie de la France mais D'origine Portugaise j'ai à l'inverse la nostalgie du Portugal losque je suis en France :Cornélien!!!
Tout cela pour dire qu'une nostalgie (saudade) qui ne tourne pas à la déprime est tout à fait normal !
Un Dao est + apprécié en France, un Bourgogne est + apprécié au Portugal et pourtant c'est le même cépage : apporté par le premier roi du Portugal qui été .... BOURGUIGNON !
Excellent. D'ailleurs il faut recommander la lecture de cette page d'histoire relative à Afonso Henriques , roi du Portugal par acclamation, demi bourguignon par son père et demi Espagnol par sa mère. Il remporta deux batailles célèbres au Portugal, celle de San Mamede et celle d'Ourique.
Pardon pour cette petite pédanterie.
Le premier roi du royaume du Portugal était Bourguignon et sa dernière reine orléanaise.
il faut ajouter que le premier président de la nouvelle république en 1974 avait longuement séjourné en France en région parisienne : travaillait dans les usines automobiles !
Comme un certain nombre de dirigeants !
Plutôt que de mal du pays (que je n'ai pas) je parlerais plutôt d'une perte de repères, qui peut être déstabilisante. Non pas que je regrettais d'avoir quitté le pays, mais j'avoue avoir eu un peu de mal à me réhabituer à toutes ces petites choses du quotidien, et, surtout, les choses ponctuelles, les impondérables, les petits soucis, où on se dit : "comment puis-je m'y prendre ici au Portugal ; c'est différent bien sûr ; où m'adresser ; comment expliquer mon souci", etc... Ce qui est simple dans son pays est tout de suite plus complexe ici. Mais, bon, normal : juste un cap à passer.
Trouver des surimis, toussa
Non je me moque mais la langue est un gros obstacle. Faut "oser" se lancer, apprendre...
Flordejasmim a écrit:Trouver des surimis, toussa
Non je me moque mais la langue est un gros obstacle. Faut "oser" se lancer, apprendre...
Haha, mdr en lisant votre post "surimi et toussa" .
Pas faux, j'ai un gros handicap avec le portugais : mes voisins et nouvelles connaissances portugaises parlent parfaitement français ; chez les commerçants, on en reste généralement aux formules de politesse ; du coup je n'ai pas pris de cours, me disant que prendre des cours sans pratiquer n'a aucun sens ; entre temps je me suis fait des amis francophones, bref je tourne en rond sur ce coup-là. Va falloir que je me bouge...
Quand rien ne pousse à apprendre car entouré de francophones, c'est pas simple de se motiver...
Dans mon Centre, pas le choix, faut que je travaille la langue de Luís de Camões.
Nous prenons des cours 2h par semaines c'est challenge on verra bien...
Un skype aux amis, ils mentionnent quelques mauvais côtés, Hop le tour est joué ! Ou alors la technique dite du billet bleu ! Que peux tu faire en FR avec un billet de 20€ ? Et au Portugal ? Normalement ça passe tout de suite après ! de rien ! Hé hé
Bonjour,
@ GPS19 votre témoignage est assez touchant!
Cependant la "saudade" n'est pas un simple "mal du pays" et ne se résume pas seulement à cela.
Quant au premier président de la III république c'était un militaire: Marechal António Sebastião Ribeiro de Spínola
Je conseillerais à tous d'apprendre le portugais par souci d'intégration et afin de déjouer quelconque mauvaise intention... Car les lois, elles sont bien en portugais et il y à rien de pire que de ne pas être renseigné.
Bien à vous,
La "Saudade" ne se résume pas à un simple "mal du pays" c'est évident !
Pour ce qui est de 1974 : mon père était trop vieux pour y participer !
J'avais 25 ans, j'ai été sollicité et j'ai donc pris la relève en tant que fils ainé ! Une partie des organisateur venaient de France et d'Europe et parfois même du Canada ! Ce fut bref mais très intense et à un moment près d'une répression qui aurait été terrible ! j'étais considéré alors comme hors la loi comme beaucoup ! Un des organisateur était : Mário Soares accompagné d'autres certains de chez Citroën, qui a participé au 1er gouvernement qui a renversé Caetano !
Je suis rentré en France dès le 10 mai car je n'avais pas de papiers et devait me présenter à un Diplôme d'état en France !
J'ai donc pris une autre voie sentant la récupération par d'anciens militaires ! Car en effet nombre de gouvernements au 20ème siècle étaient d'origine militaire !
Tout à fait d'accord pour l'apprentissage du Portugais, prêt à y concourir bénévolement auprès de qui en a besoin ! !
l'intégration en France des Portugais ce fit en partie par l'apprentissage de la langue : moi issu d'un mariage mixte père Portugais , mère Française y participant à une modeste échelle mais alors l'école de la république avait joué un rôle primordial dans cette intégration !
bonjour chantal nos condoleances nous sommes sur tocha et sa vous dit se serais avec plaisir de nous rencontrer amities cathy et philippe
@ #66
Cher Afonso, la connaissance de la langue ne suffit pas toujours pour savoir lire une loi. Il existe une langue que je pense assez bien connaitre (sans être un khâgneux). L'empilement des lois rédigées dans cette langue m'en rend incompréhensible son esprit. Exemple récent, la notion de chef de famille.
Et puis la loi ne vaut rien sans son décret d'application*, difficile de joindre les deux bouts pour les non-professionnels. * Sauf celle de madame Duflot qui a fait voter une loi immédiatement applicable.
Pour la sanction (une loi comporte trois phases, sa création, son application et sa sanction en cas d'infraction) les Français ont une arme redoutable : l'appel. Lorsque le juge se trompe on peut faire appel. Est-ce ainsi au Portugal ?
Re-
Mr. Pertinax oui tout fait, l'apprentissage d'une langue ne suffit pas mais dans ce cas là cela aide un peu ne serait-ce que au niveau de la création d'un réseau et l'absorption d'infos utiles.
Je vous rassure (ou peut être pas) "l'empilement des lois est aussi monnaie courante ici malgré le beaucoup qui à été fait avec le programme "SIMPLEX". Exemple: vous vouliez créer une ferme aquacole c'était trois ans sans compter toutes les étapes à faire!? Pour les autorisations de créations d'entreprises dans certains domaines on arrive même au point ou les lois se contredisent...! Car un "mille-feuille" s'est constitué!
On verras ce que nous réserve le prochain budget. J'espère déjà que le fisc rembourse
ce qu'il à pris car ce serait un bon...début d'une nouvelle année législative.
Bien à vous,
En France et grâce à notre président, les procédures administratives vont être tellement simplifiées que beaucoup d'expats risquent de regretter d'être ailleurs...
Bonjour,
nous sommes un couple de Metz qui envisage une installation au Portugal, certainement en Algarve.
Auriez vous l'amabilité de nous faire profiter de votre connaissance de ce pays?
En vous remerciant par avance,
Anne et Serge
Bonne idée. Nous sommes ici dans l.algarve depuis bientôt 2 ans, et vraiment aucuns regrets.
Région très agréable, une meteo idéale, peu de jours de pluie. Des gens adorables, bref, vous ne le regretterez pas. Bem vindo.
Bom dia Sergio62
Je ne peux vous dire qu'une chose : "Venez vite nous rejoindre en Algarve afin de profiter de 300 jours d'ensoleillement par an, de merveilleux produits sains sur les marchés, sans parler de la gentillesse des gens.
Pour une température de l'océan idéale, choisissez carrément le sud plutôt que l'ouest .
La langue est belle (c'est du moins mon opinion) et pas trop dure à apprendre. Avec des notions de base, vous arriverez à constituer de petites phrases assez facilement et les habitants sont pleins de bonne volonté pour vous comprendre. D'ailleurs, beaucoup parlent français. Et en cas de vrai problème linguistique, l'anglais est une bonne option et utilisé à peu près partout.
Et j'en oublie...
Ate breve
Aïssata
Bonsoir,
Sans même de nostalgie, voir notre "Moulin à vent" aux infos nous confirme chaque jour que cette expatriation est arrivée à point nommée !!!
Bien à vous tous
Bonsoir,
A la maison, le mal du pays s'est limité à la nostalgie des patisseries francaises. Pour combler ce petit manque, nous nous sommes mis derrière les fourneaux. Et hop, une fournée de mini financiers ! hop, une autre de petits macarons ! Bref, nous nous sommes constitués une petite liste de nos patisseries préférées que nous faisons déguster à nos adorables et hospitaliers portugais.
Il semble que vous soyez un peu loin pour venir les goûter, mais on peut vous envoyer nos recettes ! Elles font un bien fou...
Avis aux organisateurs de rencontres : nous pouvons venir avec une fournée de petits gâteaux 'tout juste sortis du four" !!!
Bo tarde Christine
Le meilleur remède trouver des bras accueillants d'une personne du sexe opposé qu'ils soient Portugais Francais ou autre
Un père ou une mère consolateur du passé et de ce que l'on a laissé quelque fois définitivement derrière soi
Surtout sortir de sa "retraite " allez vers les autres pas nécessairement Francais
Les portugais de part leur cordialité ajoutée au soleil presque en permanence suffisent à mon bonheur de vivre ici
Au moins un point de vue que je partage complètement
Les Francais sont dès velléiteres des pleutres et des râleurs sans ambition
Ils ont les dirigeants qui leur ressemblent et d'être à temps complet en Algarve depuis un an c'est à la fois un bonheur et une cure de désintoxication
Venez vite nous rejoindre
Amicalement
Je suis bientôt à la retraite et j'aimerais aller abiter avec mon épouse au Portugal près de Lisbonne ou du côté de farro et j'aimerais savoir comment on peut louer à l'année et connaître un peu le mode de vie et mon épouse il lui reste quelque année à travailler esque on peut trouver comme à Marseille elle fait aide à domicile ou bien dans le service hospitalier voilà se que je peut dire de nous j'attends vos réponses cordialement M Puisais.
Je suis bientôt à la retraite et j'aimerais savoir comment on peut louer une maison au Portugal à algave à l'année sa serai pour fin 2017 ou dans le courant de l'année 2018 merci beaucoup cordialement M Puisais.
Bonsoir,
Quel bonheur de lire tous ces commentaires positifs. Hâte d'y être. Le 26 novembre nous quittons le Luxembourg et déménageons définitivement à Vale de Parra(Guia) pour un rêve devenu réalité avec ce peuple portugais si accueillant. Vive le Portugal
Bonsoir au Luxembourg
Je vis dans la Vale da Lama a Odiaxere
J'espère avoir le plaisir de nous voir
Guia c'est presque à côté
Bons préparatifs
Vous êtes déjà mentalement un peu
Partie
Cordialement
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