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Question sur des fait de société en Allemagne

Nouvelle discussion

jean luc1

L'Allemagne expulse des Afghans, une première depuis le retour au pouvoir des Taliban . 


Pour la première fois depuis le retour des Taliban en Afghanistan, le gouvernement allemand a annoncé vendredi l’expulsion de ressortissants afghans condamnés par la justice. Cette mesure intervient alors que le gouvernement vient d'annoncer, jeudi, des mesures plus strictes contre l'immigration illégale et les demandeurs d'asile criminels après plusieurs crimes récents imputés à des migrants.


L'Allemagne a annoncé vendredi 30 août l'expulsion de ressortissants afghans condamnés par la justice, une première depuis le retour au pouvoir des Taliban en août 2021."Il s'agit de ressortissants afghans, tous condamnés par la justice et sans droit de rester en Allemagne et qui ont fait l'objet d'ordres d'expulsion", a précisé le porte-parole du gouvernement Steffen Hebestreit dans un communiqué.Un avion charter de Qatar Airways à destination de Kaboul a décollé vendredi avant 5 h GMT de l'aéroport de Leipzig, dans l'est de l'Allemagne, avec 28 Afghans à son bord, selon le magazine Der Spiegel, citant des sources de sécurité."Notre sécurité compte, notre État de droit agit", a déclaré la ministre de l'Intérieur, Nancy Faeser, dans un bref communiqué publié après le décollage de l'avion.


L'opération s'est déroulée dans le plus grand secret après deux mois de négociations au cours desquelles le Qatar a joué le rôle d'intermédiaire entre le gouvernement des Taliban et Berlin, a ajouté Der Spiegel.Il n'y a "pas eu de discussions directes" avec le gouvernement des Taliban, que Berlin ne reconnaît pas, a précisé un représentant du ministère des Affaires étrangères.


Steffen Hebestreit a simplement indiqué que l'Allemagne avait "demandé à des partenaires régionaux clés un soutien pour faciliter les expulsions".À voir aussiL'Allemagne serre la vis sur sa politique migratoireMesures plus strictes sur l'immigration Après le retour des Taliban au pouvoir à Kaboul en 2021, l'Allemagne avait complètement stoppé les expulsions vers l'Afghanistan et fermé son ambassade dans la capitale afghane.Les expulsions de vendredi surviennent alors que le gouvernement vient d'annoncer jeudi des mesures plus strictes contre l'immigration illégale et les demandeurs d'asile criminels après plusieurs crimes récents imputés à des migrants.


L'Allemagne reste choquée après l'attentat au couteau il y a une semaine à Solingen, dans l'ouest du pays, où trois personnes avaient trouvé la mort.L'auteur présumé est un Syrien de 26 ans, soupçonné de liens avec le groupe État islamique. Il était arrivé en Allemagne en décembre 2022. Il faisait l'objet d'une mesure d'expulsion vers la Bulgarie, où son entrée avait été enregistrée et où il aurait dû déposer sa demande d'asile. Mais il avait disparu au moment où les autorités allemandes avaient voulu l'expulser.


En mai, un Afghan de 25 ans avait perpétré une autre attaque au couteau à Mannheim, dans l'ouest du pays, tuant un policier et blessant cinq personnes.Jeudi, la ministre allemande de l'Intérieur, Nancy Faeser, avait affirmé "travailler pour parvenir rapidement au renvoi de criminels dangereux vers l'Afghanistan et la Syrie".L'inquiétude sur les ratés de l'immigration a mis particulièrement sous pression le gouvernement du chancelier social-démocrate Olaf Scholz, alors que deux élections régionales se tiennent dimanche dans l'est de l'Allemagne.


Le parti d'extrême droite, l'Alternative pour l'Allemagne (AfD), devrait y triompher, selon les sondages.


Avec AFP https://www.msn.com/fr-be/actualite/mon … ngNewsVerp


La question est vous les résidents en Allemagne vous en pensez quoi exactement de cette affaire . petite précision les personnes expulser ont été condanné pour meurtre, viol , attaque à main armée . jean Luc

irmadohou

@jean luc1

Avec la victoire régionale de l'AFD on ne sait vraiment pas à quelle sauce on va être mangé dans les prochaines années. Dieu nous assiste

jean luc1

les allemands ne sont pas des cannibales , on mange plus les hommes depuis longtemps .  tu habite á Dresde en ce moment? .   30-32% c'est beaucoup , mais c'est pas la majorité . Mais il faut en tenir compte . ce n'est pas les noirs qui posent problème , mais les arabes .jean Luc1f609.svg

jean luc1

retours aux contrôle aux frontières .

Le gouvernement allemand a été contraint à multiplier les initiatives en matière de politique migratoire. Car le pays a subi une attaque meurtrière d’un islamiste syrien fin août à Solingen, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, tout comme il a été marqué des élections régionales garantissant le succès de l’extrême-droite. Dernière en date lundi 9 août, l’annonce par Berlin de contrôles aux frontières pour lutter contre l’immigration illégale et refouler des migrants.


De notre correspondant à Berlin,


La ministre de l’Intérieur Nancy Faeser a annoncé que l’ensemble des 37 000 km de frontières du pays feront l’objet de contrôles à partir de lundi 16 septembre, et ce, pour six mois. De tels contrôles existent déjà avec la Pologne, la République tchèque, l’Autriche et la Suisse. Objectif : réduire l’immigration illégale de personnes qui n’ont pas de papiers et ne déposent pas de demande d’asile.


La ministre qui a longtemps rejeté de tels contrôles en raison de la libre circulation au sein de l’Union européenne s’est félicité que ceux en place depuis l’automne dernier aient permis le renvoi de 30 000 personnes.

La libre circulation prévue dans les accords de Schengen mise à mal


Les autorités européennes ont été informées de ces nouvelles mesures qui dérogent aux règles de libre circulation dans l'espace Schengen. L’Allemagne veut faire en sorte que les passages quotidiens le long de ces frontières pour les résidents soient aussi peu perturbés que possible. Ces mesures annoncées le lundi 9 septembre s’ajoutent à de nombreuses autres adoptées dans l’urgence qui soulignent la pression à laquelle le gouvernement allemand est soumis. près l’attaque de Solingen, la coalition s’est mise d’accord sur un paquet de mesures dans l’urgence : les aides aux demandeurs d’asile qui ont déposé un dossier dans un autre pays de l’UE avant de se rendre en Allemagne seront supprimées. Ils devront retourner dans ce pays. Des demandeurs d’asile qui ont voyagé dans leur pays perdront leur statut. Les expulsions pour les criminels doivent être facilitées. Les autorités doivent obtenir des compétences supplémentaires.


Le gouvernement allemand sous pression


La vague d’émotion après l’attaque de Solingen, les succès de l’extrême-droite aux deux régionales du 1er septembre, un scrutin régional le 22 septembre, poussent le gouvernement Scholz à agir dans l’urgence. Les mesures devraient être présentées dès cette semaine au Parlement.


Le gouvernement craint en effet une nouvelle sanction des électeurs. Il cherche à trouver un accord avec les chrétiens-démocrates dans l’opposition. Ces derniers plaident pour une politique migratoire encore plus ferme pour contrecarrer la concurrence de l’extrême-droite. CDU et CSU ont posé des conditions pour une nouvelle rencontre entre le gouvernement et l'opposition et exigent que tous les migrants soient refoulés à la frontière même s’ils demandent l’asile politique. Une proposition difficile à accepter pour le gouvernement, surtout pour les verts. Des organisations engagées dans l’aide aux migrants dénoncent une remise en cause du droit d’asile, un des principes fondateurs de l’Allemagne d’après-guerre après le nazisme.   https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon … r-AA1qjQ95 .  jean Luc1f609.svg


Commentaire: il est dommage que l'on arrive lá , mais celas devient nécessaire 9000 attaques aux couteaux en an  ayant entraîner nombres de morts et de blessée graves , celas ne peut plus durer . Et celas porte préjudices aux immigrants qui respect la loi , car les bons payent pour les mauvais . le droit d'asile date de 1945 , on est en 2024 , les conditions ont changer , á l'époque l'Allemagne devais pouvoir accueillir tous les allemands venant d'Europe centrale et fuyant les régimes communistes ,ce n'est plus le cas actuellement .  depuis les contrôles rétabli sur la frontiére est allemande , 30 000 personnes ont été refoulés . autre volet celui de la criminalisé organisée , comme les bandes de marocains qui traversent la frontiére avec la hollande et vont faire sauter des distributeurs automatique de billets (trafic de drogue) le long des autoroutes , je suis á 200km de toutes frontiére , 600km de la hollande , celas c'est produit dans ma région . les contrôles aux frontières vont provoquer des bouchons ,et aussi des contrôles au faciers , donc cibles sur certaines personnes , mais celas me semble nécessaire pour la sécurités de tous le monde. je précise bien que je suis favorable aux immigrants qui respectent la loi ,mais ceux qui la respecte pas , eux doivent être renvoyé chez eux  . y compris si il y as de graves conséquences  pour la personnes elle même . je suis contre AFD .   c'est mon opinion personelles, vous avez le droit de ne pas être d'accord .jean luc 1f609.svg

jean luc1

voir le paradoxe avec les accords bilatéraux pour les travailleurs qualifier https://www.expat.com/forum/viewtopic.php?id=1079782  . jean Luc 1f609.svg

jean luc1

bilan une semaine  après le rétablissement du contrôle des frontières , 10 passeurs arrêter 28 reconduites á la  frontiére ,114 personnes recherché par la justice arrêter , pour moi le bilant est positif . dommage d'en arriver lá , mais a qui la faute ???? jean luc 1f609.svg

jean luc1

L’Allemagne ajoute des exceptions à son projet de durcissement de la politique d’immigration.



Le texte modifié, qui maintient la suppression des aides pour les demandeurs d’asile entrés dans un autre pays de l’UE mais seulement si leur départ dans ce pays « est juridiquement et effectivement possible », doit être débattu d’ici vendredi au parlement.

Le chancelier allemand Olaf Scholz s’exprime lors d’une session de la chambre basse du parlement Bundestag, à Berlin, Allemagne, le 10 octobre 2024.


Le gouvernement d’Olaf Scholz a atténué son projet de durcissement de la politique d’accueil des demandeurs d’asile décidé après des d’attentats meurtriers au couteau qui avaient choqué l’Allemagne, selon un document obtenu samedi 12 octobre par l’Agence France-Presse (AFP). L’une des mesures phares de ce texte, présenté fin août, prévoit la suppression des aides pour les demandeurs d’asile entrés dans un autre pays de l’Union européenne (UE) avant de venir en Allemagne. Si cette disposition est maintenue, les partis de la coalition du social-démocrate Olaf Scholz (SPD), formée avec les Verts et les Libéraux, ont ajouté des exceptions.


Une suppression complète sera ainsi possible seulement si le départ des demandeurs d’asile dans le pays de l’UE où ils sont arrivés en premier « est juridiquement et effectivement possible », selon ce document. Elle est également exclue dans le cas où des enfants sont concernés.


« Nous ne voulons pas provoquer de sans-abrisme ou de paupérisation des demandeurs d’asile dont la responsabilité incombe à un autre Etat membre » de l’UE, expose le député du SPD Dirk Wiese dans une lettre à ses collègues du groupe parlementaire, dont l’AFP a également obtenu copie. Selon le « règlement de Dublin » sur lequel se sont entendus les pays de l’UE, le premier pays de l’Union dans lequel entre un étranger clandestin est responsable de sa demande d’asile. Le texte modifié doit être débattu d’ici vendredi au parlement.



Le gouvernement avait présenté son projet en août dans la foulée du triple meurtre au couteau imputé à un Syrien soupçonné de liens avec l’organisation Etat islamique lors d’une fête dans la ville Solingen. En juin, une autre attaque au couteau, imputée à un Afghan lors d’un rassemblement anti-islam à Mannheim, avait fait un mort, un policier qui s’était interposé.


Ces drames ont nourri la progression du parti d’extrême droite AfD, hostile aux migrants, qui a remporté un scrutin régional pour la première fois en septembre et réalisé des scores historiquement élevés dans deux autres.


Le « paquet Sécurité » du gouvernement prévoit aussi de faciliter l’expulsion de réfugiés ayant fait usage d’armes, une limitation du port d’armes blanches, et un élargissement des compétences pour les autorités. Les mesures avaient été jugées insuffisantes par l’opposition conservatrice. Un de ses députés, Thorsten Frei, a critiqué le texte modifié, estimant auprès du journal Rheinische Post samedi que des réfugiés, dont l’Allemagne n’est pas responsable, « vont pouvoir continuer à se cacher derrière de prétendues exceptions ». https://www.lemonde.fr/international/ar … _3210.html  . jean Luc😉

ps: c'est une constance dans cette coalisions , le chancelier est un homme mou ,sans volonté ,moins d'aides sociales réduirez l'immigration illégale , enfants ou pas . Quand un allemand ne peut pas fournir un papier , il touche rien . On les loge , les nourris, on étudie leurs cas , oui , car se sont des êtres humains , mais on as pas a faire des passe droit pour eux . jean luc 😉

jean luc1

La traite des êtres humains est quotidienne en Allemagne

Chaque jour, trois cas de traite des êtres humains sont constatés en Allemagne. C'est ce qui ressort du premier rapport complet sur la traite des êtres humains en Allemagne, que l'Institut allemand des droits de l'homme a présenté à l’occasion de la Journée européenne contre la traite des êtres humains de ce vendredi à Berlin. L'Institut a, selon ses propres indications, "pour la première fois regroupé et évalué toutes les données disponibles des autorités fédérales et régionales ainsi que des organisations de la société civile" sur la traite des êtres humains. L'étude porte sur la période allant de 2020 à 2022.


"La traite des êtres humains a lieu tous les jours en Allemagne, par exemple dans les soins, le ménage, la prostitution, l'agriculture, l'industrie de transformation de la viande ou le bâtiment", a déclaré la directrice de l'Institut, Beate Rudolf. Malgré la diversité des secteurs, "ils nécessitent beaucoup de personnel et n'exigent ni qualifications spéciales ni connaissances linguistiques". L’Institut poursuit : "les employés de ces secteurs travaillent plus longtemps que le temps de travail autorisé par la loi, ne sont pas ou peu payés, sont mal logés, subissent des violences physiques ou psychologiques et sont contraints de rester dans ces conditions".


L'exploitation par la mendicité, la commission de délits ou le prélèvement d'organes sont tout aussi fréquents que les mariages forcés, les adoptions illégales et la maternité de substitution. Les Allemands comme les migrants sont concernés. De nombreuses personnes concernées restent cachées parce qu'elles ont honte, sont menacées ou craignent représailles.

Les femmes sont les plus touchées


Selon l'enquête, 3 155 victimes de la traite des êtres humains ont été identifiées par les autorités d'enquête au cours des trois années étudiées. Deux tiers des personnes concernées étaient des femmes, plus d'un quart des victimes étaient mineures. Dans le domaine de l'exploitation sexuelle, plus de 90 % des personnes concernées sont des femmes, dans le domaine de l'exploitation du travail, plus de la moitié sont des hommes. Parallèlement, 3 704 personnes "soupçonnées de traite ou d'exploitation d'êtres humains" se sont rendues dans des centres de consultation correspondants.Selon le rapport de l'Institut, entre 2020 et 2022, plus de deux mille suspects ont été identifiés dans le pays, mais seulement 509 personnes ont été condamnées. D’après les experts, il y a trop d'obstacles à l'application de l'article du code pénal sur la traite des êtres humains. Les personnes concernées devraient en outre avoir la possibilité de s'adresser à des enquêteurs sans devoir elles-mêmes s'attendre à une sanction.

Plus de protection et de droits sont nécessaires


De l'avis de l'Institut, les victimes de la traite des êtres humains devraient bénéficier de plus de protection et de droits. Ainsi, des hébergements de protection pour les personnes concernées sont nécessaires sur l'ensemble du territoire. Jusqu'à présent, seuls huit Etats-régions ont financé de tels hébergements spéciaux. En outre, les personnes concernées devraient se voir accorder un droit de séjour, indépendamment de leur volonté de coopérer dans le cadre de procédures pénales, et elles devraient avoir accès sans obstacle aux prestations sociales.


Le premier centre de conseil pour les mineurs victimes de la traite des êtres humains vient d'ouvrir à Berlin. Sur la base de l'expérience de la capitale, tous les Etats-régions devraient envisager la mise en place d'un tel service, estiment les experts.


Lors de la présentation de l'enquête, il est prévu d’examiner à l'avenir tous les deux ans comment l'Allemagne progresse dans la lutte contre la traite des êtres humains et si elle parvient mieux qu'aujourd'hui à protéger les personnes concernées et à sauvegarder leurs droits.


Le gouvernement fédéral s'est engagé à se pencher sur la question. Il entend adopter au printemps 2025 "le premier plan d'action national global contre la traite des êtres humains", ont indiqué plusieurs ministères. "Il comprend un grand nombre de mesures de lutte contre la traite des êtres humains, allant de la prévention et de la répression au soutien des personnes concernées et à la coopération au niveau international."  https://www.msn.com/fr-xl/actualite/afr … ngNewsVerp  jean luc 😉

commentaire : moi je suis pas étonner , la clandestinité conduit vers la traite des être humains ,de nombreux clandestin doivent payer pendant des années les passeurs qui les exploitent en les faisant travailler au noir  , moi je suis pour que les personnes qui dénoncent ces réseaux mafieux soit protéger , et régulariser . le problême est que si elle dénonce un réseaux , elle pourrons être poursuit elle même  pour fraude. Mais la police sait faire la part des choses , mais une bonne loi qui met clairement les choses au point ,c'est mieux .

jean luc1

"Avec mes nouveaux papiers, j'espère pouvoir enfin vivre ma vie" : en Allemagne, la loi facilitant le changement de genre entre en vigueur

Ce texte, qui figurait au programme de la coalition d’Olaf Scholz, permet de changer librement de genre et de prénom. La nouvelle loi est considérée comme une avancée majeure en faveur des droits des personnes transgenres. En Allemagne, la loi sur l’autodétermination de genre entre en vigueur vendredi 1er novembre. Le pays rejoint ses voisins européens qui ont avant lui adopté le principe de l’autodétermination : la Belgique, le Luxembourg, le Danemark, ou encore l’Espagne et l’Irlande.

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Désormais en Allemagne, il suffira de remplir un formulaire pour changer de prénom et de genre. La procédure de changement d’état civil, d'un montant de 15 à 50 euros de frais administratifs selon les régions, durera trois mois (le délai de réflexion prévu par la loi) et celle-ci est largement simplifiée. "Avant il fallait convaincre un juge et deux psychiatres, et ces psychiatres pouvaient poser des questions très personnelles, concernant la masturbation, la sexualité. C'était humiliant", explique René Rain Hornstein, membre d’une association de conseils aux personnes trans, intersexes et non-binaires. Le processus pouvait auparavant durer un an ou plus, "c'était long et ça coûtait cher, plus de 1 000 euros et donc décourageant" résume le bénévole, ravi de cette simplification.


La demande se fait auprès du bureau d'état-civil local, après avoir choisi entre quatre possibilités: féminin, masculin, divers ou "pas de mention de genre".

"Jusqu’à présent, je ne pouvais pas faire les choses de la vie courante"


À terme, les autorités s’attendent à 4 000 demandes de modification d’état-civil chaque année. Mais dès ce vendredi, 15 000 personnes ont prévu de demander un changement de genre. Parmi elles, Maximilian, homme transgenre de 41 ans, ne s’identifie pas à son état-civil. Il a débuté un traitement hormonal de substitution à la testostérone, et affirme être constamment confronté à des incompréhensions sur son identité, entre son apparence et ses papiers sur lesquels figure un prénom féminin. "Jusqu’à présent, je ne pouvais pas faire les choses de la vie courante, aller à la poste y récupérer un colis ou souscrire un contrat de téléphone. J'espère que quand je recevrai mes nouveaux papiers, je pourrai enfin vivre ma vie", se réjouit d'avance Maximilian.


Pour Kerstin Thost, la porte-parole de l’association LSVD+ pour la diversité queer en Allemagne, cette nouvelle loi aurait dû voir le jour depuis bien longtemps. "Pour la première fois, le législateur considère les personnes trans, inter et non binaires comme des êtres humains et leur accorde leurs droits fondamentaux à l’autodétermination. Maintenant, les gens peuvent enfin décider eux-mêmes qui ils sont. Avant, ils étaient considérés comme hors norme," souligne Kerstin Thost qui exprime aussi son soulagement : "La communauté s’est battue pendant des décennies pour que cela arrive enfin et nous sommes reconnaissants au gouvernement fédéral d’avoir tenu sa promesse de l’accord de coalition."


    "C’est un pas vers la démocratie et le respect des droits de l’homme. Et nous espérons que cela inspirera d’autres pays".

    Kerstin Thost, de l'association LSVD+





Pour les associations, la nouvelle loi n’est pas encore parfaite et comporte des lacunes. René Rain Hornstein, de l’association de conseils aux personnes trans, intersexes et non-binaires, considère que le délai de trois mois est encore trop long. Autre point négatif : la loi ne s’applique pas à tout le monde de la même manière, les personnes sans titre de séjour par exemple ne peuvent pas y recourir, ce qui représente une lacune selon René Rain Hornstein. 

oi-facilitant-le-changement-de-genre-entre-en-vigueur_6872270.html  jean luc 😉

Le texte n’est sans doute pas parfait mais "il a au moins le mérite d’exister", estime Kerstin Horst, la porte-parole de l’association LSVD+. La loi efface des tablettes le texte archaïque et plus que désuet de 1980 qui considérait la transidentité comme une maladie psychique.


Depuis 2019, l'OMS a enlevé le "trouble de l’identité de genre(Nouvelle fenêtre)" de sa liste de maladies.

https://www.francetvinfo.fr/monde/europ … 72270.html  jean luc 😉

jean luc1

Travail. Le paradoxe allemand : plus d’heures, moins de résultats


En Allemagne, malgré un record d’heures travaillées en 2024, la productivité chute, explique la “Süddeutsche Zeitung”. La cause : une mauvaise organisation du travail, avec des réunions inefficaces et une “surcharge collaborative”.


En Allemagne, le volume de travail atteint des sommets inédits : 14,6 milliards d’heures ont été travaillées entre avril et juin 2024, dépassant les chiffres record enregistrés en 2019, avant les crises successives. Cependant, malgré cette hausse d’heures travaillées, la productivité recule. Ce paradoxe s’explique par une organisation inefficace du travail, qui entraîne une baisse continue de la productivité horaire, tombée de 0,4 % cette année, explique la Süddeutsche Zeitung, qui résume : “Les gens perdent beaucoup de temps au travail. Mais pas parce qu’ils sont paresseux.”


La cause est plutôt une mauvaise organisation du temps, qui à son tour fait augmenter l’absentéisme. Selon une étude menée par Stepstone auprès de 5 800 salariés à plein temps, plus d’un jour de travail par semaine est “gaspillé” dans des tâches inutiles. Les employés passent en moyenne 8,7 heures par semaine dans des réunions superflues ou en processus de coordination, que 58 % des sondés jugent “trop complexes”. Adam Grant, psychologue américain, qualifie ce phénomène de “surcharge collaborative”, où la coopération excessive mine l’efficacité individuelle.


La multiplication des réunions, qui durent en moyenne plus d’un tiers du temps de travail pour les cadres supérieurs et manquent souvent de préparation et de structure, crée un climat de travail “moins supportable qu’un rendez-vous chez le dentiste”.


Face à cette situation, la classe politique allemande reste divisée. Alors que la majorité des salariés souhaitent une semaine de quatre jours, certains partis et employeurs prônent une augmentation du temps de travail. La journaliste s’interroge : “N’est-il pas plus urgent de permettre aux employés de mieux utiliser leur temps de travail ?”

https://www.courrierinternational.com/a … ats_224331  jean luc 😉


PS:bienvenus au pays de la bureaucratie inutile

jean luc1

Hausse des coûts de l’énergie due à l’augmentation de la taxe sur le CO2 en Allemagne. Principaux renseignements


    La taxe sur le CO2 en Allemagne va presque doubler, passant de 30 euros par tonne en 2023 à 55 euros par tonne en 2025.

    Les ménages et les entreprises qui dépendent de l’essence, du diesel, du mazout ou du gaz naturel sont confrontés à des difficultés financières considérables en raison de l’augmentation de la taxe.

    L’AfD est le seul parti d’opposition qui s’oppose systématiquement à la taxe sur le CO2.


À la fin de l’année 2025, la taxe allemande sur le CO2 devrait passer de 45 euros par tonne à 55 euros. Cette augmentation aura un impact significatif sur les coûts énergétiques des consommateurs et des entreprises. En deux ans seulement, la taxe sur le CO2 aura presque doublé, passant de 30 euros par tonne en 2023.

Le poids de la TVA


Cette augmentation n’est pas la seule charge financière. La taxe sur le CO2 est en outre soumise à une taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 19 pour cent. Par conséquent, les ménages et les entreprises qui dépendent de l’essence, du diesel, du mazout ou du gaz naturel sont confrontés à des défis financiers considérables. Le litre d’essence coûtera 4,3 centimes de plus en raison de la taxe sur le CO2, tandis que le prix du diesel augmentera de 4,7 centimes par litre. Les coûts de chauffage connaîtront également une hausse spectaculaire : chaque kilowattheure de gaz augmentera de 0,21 centime, soit une hausse totale de 1,21 centime par rapport aux niveaux antérieurs à la taxe sur le CO2. Les prix du mazout de  chauffage augmenteront de 17,5 cents par litre, ce qui affectera de nombreux ménages.

Ramifications politiques


Ces hausses de prix substantielles sont susceptibles de diminuer encore la popularité de l’actuelle coalition gouvernementale SPD-Verts-FDP, qui doit faire face à un vote de défiance dans le courant du mois. Si la motion de censure est acceptée, le parlement sera dissous, ce qui déclenchera de nouvelles élections dans les 60 jours. Bien que le parti CDU de Friedrich Merz soit actuellement en tête des sondages, il n’est pas certain qu’un nouveau gouvernement dirigé par ce parti change de cap en ce qui concerne la taxe sur le CO2. L’AfD est le seul parti d’opposition qui s’oppose systématiquement à la taxe.

Coût de l’énergie et recettes mondiales


La taxe sur le CO2 devrait atteindre 65 euros par tonne en 2026, ce qui risque de créer un écart insoutenable en matière de coûts énergétiques entre l’Allemagne et les autres pays. Les citoyens et les entreprises allemands sont de plus en plus mécontents face à la flambée des prix de l’énergie. Entre-temps, l’administration Trump a exprimé sa ferme volonté de rendre l’énergie plus abordable aux États-Unis.

Recettes publiques


La taxe sur le CO2 génère des recettes importantes pour le gouvernement. Rien qu’en 2023, plus de 18 milliards d’euros sont entrés dans les caisses de l’État, dont 10,7 milliards d’euros issus du système national de quotas d’émission pour le chauffage et les transports. Les recettes dans ce secteur ont augmenté de 67 pour cent par rapport à 2022, tandis que les recettes du système européen d’échange de quotas d’émission ont augmenté de 12 pour cent pour atteindre 7,7 milliards d’euros. https://www.msn.com/fr-be/finance/%C3%A … ngNewsVerp  . jean Luc 😉


commentaire: il y as plus de coalisation SPD,vert,libéraux .Seul AFD est contre cette taxe  , elle prend effect au 1-1-2025 , on va voter le 27-2-25 , une chose est certaine plus on taxe ,plus AFD va monter . il y as une crise économique très grave en Allemagne , dû en grande partie à une énergie très cher . beaucoup de pauvre ne pourrons plus se chauffer . Cette coalisions auras réussit une chose á propulser l'AFD vers les sommets

jean luc1

L’Allemagne, un Etat multilatéraliste toujours accablé par le poids de l’Histoire


On avait cru qu’avec la Zeitenwende de 2022, le tournant par lequel le pays allait investir plus de 100 milliards d’euros dans sa défense, l’Allemagne avait définitivement tourné la page du passé, affranchie de son sentiment de culpabilité. Le changement de cap à Berlin était d’autant plus impressionnant que l’Allemagne avait longtemps rechigné à envoyer des troupes à l’étranger, acceptant finalement de le faire dans le cadre de forces multilatérales en Afghanistan, au Liban, au Soudan ou encore au Mali et au Niger. Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, notre voisin du nord a cependant été confronté à un vrai dilemme: entretenir, comme Angela Merkel le souhaitait, une relation acceptable avec la Russie ou apporter, selon Olaf Scholz, un soutien substantiel à l’Ukraine, mais avec des limites: pas de livraisons de missiles longue portée Taurus et réticence à une accession de l’Ukraine à l’OTAN.


L’Allemagne d’aujourd’hui reste très préoccupée par la perspective d’une nouvelle guerre et de toute escalade. D’où la difficulté pour le chancelier de trancher. S’il a récemment repris langue avec le président russe Vladimir Poutine, il s’est rendu peu après à Kiev pour réitérer auprès du président Volodymyr Zelensky le soutien ferme de son gouvernement.

Tiraillements manifestes


La guerre de Gaza est un autre cas de figure. Elle pose la question ultrasensible de l’Etat d’Israël créé au lendemain de la Shoah. Les douloureux tiraillements allemands entre son soutien jusqu’ici indéfectible à la Cour pénale internationale et sa responsabilité historique envers l’Etat hébreu sont manifestes. Berlin semble hésiter à exécuter le mandat d’arrêt de la CPI si le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant devaient se rendre en Allemagne.


Vu de l’extérieur, il paraît évident que le choix devrait être celui du droit, seul à même de lutter contre l’impunité et d’assurer une paix future. Et on pourrait se dire que l’Allemagne devrait enfin assumer le présent et non seulement le passé. Avec la montée de l’extrême droite outre-Rhin, certains saluent pourtant les réserves allemandes même si elles paraissent indéfendables au vu de la justice internationale.


Biberonnée par les Etats-Unis et aidée par le plan Marshall après la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne a accompli un énorme travail historique sur elle-même. Et l’une des principales leçons qu’elle en a tirées est simple: le devoir d’inscrire son développement et sa prospérité dans un cadre multilatéral. Au sein de la Genève internationale, l’insistance allemande sur les bienfaits du multilatéralisme dans lequel Berlin investit massivement est touchante. La quête de compromis est un quasi-devoir moral. Les réserves allemandes par rapport au mandat d’arrêt contre Netanyahou sont tout à fait regrettables, mais elles ne doivent pas occulter le souci permanent de Berlin d’œuvrer collectivement au bien commun.

https://www.letemps.ch/monde/l-allemagn … l-histoire   jean luc 😉



PS commentaire: il faut pas confondre le gouvernement ,et le peuple .

les jeunes surtout ont tourné la page de la 2eme guerre mondiale. eux regarde vers l'avenir ,la 2eme guerre mondiale celas ne les intéressent pas . Réduire l'Allemagne as cette période de l'histoire , énervent les allemands . quand á moi je dit que la France regarde son histoire notablement Vichy, Pétain , son histoire coloniale on verras lá aussi que c'est pas joli-joli .

jean luc1

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon … r-AA1qjQ951f609.svg - @jean luc1

«40 000 personnes ont été refoulées» : l’Allemagne veut prolonger ses contrôles aux frontières pour lutter contre l’immigration clandestine

Face aux succès actuels de la lutte contre l’immigration illégale en Allemagne, le gouvernement d’Olaf Scholz a annoncé, lundi 30 décembre, son intention de prolonger les contrôles aux frontières du pays, au-delà de l’échéance prévue en mars 2025. Depuis le début de l’opération en septembre dernier, « environ 1 800 passeurs ont déjà été arrêtés et environ 40 000 personnes ont été refoulées aux frontières », s’est félicitée la ministre de l’Intérieur allemande, Nancy Faeser, dans les colonnes du journal Augsburger Allgemeine, relayé par franceinfo.L’élue social-démocrate a estimé que la prolongation de ces contrôles était nécessaire « jusqu’à ce que la protection des frontières extérieures de l’Union européenne soit clairement renforcée ». La Commission européenne avait pourtant rappelé que ces mesures « devaient rester strictement exceptionnelles » et « proportionnées » car, en principe, ces contrôles sont interdits dans l’espace Schengen. Leur application est possible de manière limitée, deux ans maximum, en cas de menaces pour l’ordre public ou la sécurité.

De plus en plus d’expulsions


Par ailleurs, le nombre d’expulsions d’étrangers en situation irrégulière a augmenté de 50% au cours des deux dernières années. La ministre se targuant que le gouvernement ait fait de l’Allemagne, le seul pays d’Europe à avoir « expulsé pour la première fois des dangereux criminels vers l’Afghanistan ». Un bilan qui arrive à moins de deux mois de nouvelles élections législatives, après une année marquée par la percée du parti nationaliste AfD dans les élections régionales et le vote de confiance perdu par Olaf Scholz. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon … ngNewsVerp  .jean Luc 😉


Ps : dommage d'en arriver là,mais les frontières sont devenus de véritable passoire , le bilant est très positif , si ces gens là arrivent en Allemagne , c'est que les autres pays n'ont pas fait leurs boulots , ce bilant ne prend pas en compte les criminels qui font des attaques de banque , ou qui sont rechercher par d'autres polices . certes certains frontalier protestent , mais moi aussi j’étais ,moi aussi j’étais frontaliers pendant 2ans 6 mois tous les jours je traversais la frontiére dans le sens Allemagne -France á KHEL dans un temps òu les contrôles était permanent , je suis jamais arriver en retard au boulot , par contre je prenais toujours le soins de ne pas me trouver derrière une voiture occupé par des noirs ,des arabes,ou des musulman turcs , car la police française pratiquais le contrôle au faciès. Jean-Luc😉

jean luc1

certains vont trouver que je suis extrême droite ,simplement je voit la réalité en face . L'Allemagne as ouvert son marché du travail aux étrangers ,il y as plus de barrière , voire ici https://www.expat.com/forum/viewtopic.php?id=1069036 . le but de l'Allemagne est de favorisé l'immigration légale , au détriment de l'e#immigration clandestine . pour moi il y as plus de raison de venir illégalement en Allemagne . jean Luc 😉

jean luc1

Allemagne : Les salariés n’ont jamais été aussi peu investis (Gallup Engagement Index Germany) Selon une étude publiée le 24 mars 2024 et menée par l’entreprise de conseil en management Gallup Engagement Index Germany chaque année depuis 2001, seuls 14 % des salariés allemands se disent très attachés à leur entreprise en 2023.

Allemagne : Les salariés n’ont jamais été aussi peu investis (Gallup Engagement Index Germany)




Selon une étude publiée le 24 mars 2024 et menée par l’entreprise de conseil en management Gallup Engagement Index Germany chaque année depuis 2001, seuls 14 % des salariés allemands se disent très attachés à leur entreprise en 2023.

Allemagne : la motivation des salariés est au plus bas


Ce que révèle l’étude


Dans le détail, l’étude révèle notamment que :


    Une tendance négative se poursuit avec plus de 7,3 millions de salariés allemands « activement désinvestis ». Cela signifie qu’ils ne se sentent pas émotionnellement connectés à leur employeur et effectuent le minimum de travail possible, précise l’étude ;

    14 % des salariés allemands sont très investis, contre 13 % en 2022;

    Un record de salariés, soit 45 %, sont à la recherche d’un emploi ou ouverts à de nouvelles opportunités, contre 42 % en 2022 ;

    Alors qu’en 2018 65 % des personnes affirmaient qu’elles voulaient continuer à travailler pour leur employeur actuel dans trois ans, ce chiffre n’a cessé de baisser au fil des années pour atteindre 40 % en 2023 ;

    71 % considèrent qu’il est temps de chercher un nouvel emploi contre 81 % en 2022. Parmi eux, 25 % déclarent avoir reçu une offre d’emploi au cours des 12 derniers mois, contre 31 % en 2021 et 27 % en 2022 ;

    Moins de la moitié (40 %) ont pleinement confiance dans l’avenir financier de leur employeur, contre 55 % en 2020.


    Ce désinvestissement n’est pas seulement un problème pour la performance et la compétitivité des entreprises mais aussi pour l’économie allemande. Ainsi, en 2023, le coût économique estimé causé par le désinvestissement des salariés et la perte de productivité est estimé entre 132,6 milliards et 167,2 milliards d’euros, selon l’étude.


« Une négligence dans la gestion des ressources humaines »


Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre en Allemagne, le recrutement devient de plus en plus complexe et coûteux, indique l’étude.


    « Le mauvais management commence à avoir des conséquences sur la réussite des entreprises », analyse Marco Nink, directeur de recherche chez Gallup dans le rapport de l’étude.


Pour le directeur de recherche, les managers négligent souvent la gestion des ressources humaines face à la gestion des coûts et des crises. Le facteur déterminant dans la volonté des salariés de changer d’emploi est leur expérience avec le management.


En effet, seuls 22 % des salariés sont pleinement satisfaits de leur manager direct, contre 25 % en 2022. Les salariés n’ont pas l’impression que les managers reconnaissent et valorisent leurs forces : seuls 27 % déclarent que leur manager se concentre sur leurs points forts au quotidien.


Sur ce point, les résultats de l’étude montrent en effet que :


    40 % des salariés qui sont chez leur employeur depuis moins de 12 mois sont prêts à partir.

    Parmi eux, 15  % recherchent activement un nouvel emploi, tandis que 25 % sont ouverts à nouvelles opportunités.

    Parmi les nouvelles recrues, moins de la moitié (48 %) ont pleinement l’intention de continuer à travailler avec leur employeur actuel dans un an.

    Seulement 29 % d’entre eux recommanderaient leur entreprise à des amis ou à des membres de la famille.


L’investissement lié à une bonne intégration dans l’entreprise


Une intégration inadaptée peut être un facteur contribuant à ces résultats, précise l’étude. En effet, seuls 22 % des salariés évaluent le processus d’intégration de leur employeur comme « excellent ».


    « Une bonne intégration augmente non seulement la productivité des nouveaux salariés, mais elle leur permet également de créer dès le départ un lien émotionnel avec l’organisation. Cela a des conséquences sur les nouvelles recrues qui restent plus longtemps et qui recommanderont plus volontiers l’entreprise. Malheureusement, de nombreux managers ne s’impliquent pas suffisamment dans ce processus important », regrette Marco Nink. https://www.republik-rh.fr/strategie/in … rmany.html  . jean Luc😉


Ps . celas est vrais je connais un grand groupe industrielle qui as arrêter un projet pour économiser les frais professionnelle , des dizaines de salariers impliqué as travers le monde , environ 50-60 filiales des centaines de milliers d'euros  investi , 20 mois de travail , tout celas pour rien . L’actionnaire principale prétextant la situation économique générale , donc chute des bénéfices pour ne pas investir dans l'avenir . les salariers concernée ne seront plus motiver pour leur entreprise . jean Luc😉

jean luc1

Chez la Gen Z, on se lève tous et on se barre

Après le Covid-19, les entreprises américaines s’inquiétaient du désengagement des cadres de moins de quarante ans. Ce chroniqueur du “Guardian” se réjouit que sa génération reprenne la main au travail et qu’une “grande démission” 2.0 gagne enfin le continent européen.b85a1ac_sirius-fs-upload-1-kzjeqq5skgyy-1736522619094-cote-2022-06-23-8117.jpg


Je discutais récemment avec une connaissance parisienne, un cadre supérieur d’une cinquantaine d’années qui travaille pour une entreprise française du secteur de l’éducation. Il se plaignait du manque de constance et de motivation des plus jeunes membres de son équipe – pour la plupart milléniaux et de la génération Z [nés du début des années 1980 au début des années 2010]. Je suppose que cet homme est un bon manageur, en tout cas, c’est une personne sympathique et conciliante, qui m’a assuré qu’il distribuerait des augmentations à tour de bras si ça ne tenait qu’à lui. Alors je n’ai rien dit. Mais, au fond de moi, j’avais envie d’acclamer tous ces sous-fifres prêts à quitter un poste qui ne leur convient pas ou qui réclament davantage de souplesse dans leurs conditions de travail.

Mauvaise réputation


La notion de quiet quitting [la “démission silencieuse”, expression qualifiant la faible implication au travail] est apparue dans l’Urban Dictionary [bible anglophone de l’argot] en mai 2022, mais la mauvaise réputation des milléniaux, ces employés prétendument “difficiles” à gérer, est bien plus ancienne. Aujourd’hui, dans le sillage de la “grande démission” survenue aux États-Unis après le Covid-19, Internet fourmille de rumeurs sur l’émergence d’une grande démission 2.0, sans doute nourrie par ces entreprises comme Amazon, qui obligent leurs salariés à retourner au bureau tous les jours de la semaine en 2025, alors que beaucoup d’entre eux préféreraient poursuivre le travail hybride.

Lire aussi : Travail. Amazon sonne la fin du télétravail aux États-Unis


D’après une enquête réalisée par LinkedIn et Microsoft, les salariés seraient encore plus nombreux à vouloir changer de poste aujourd’hui qu’en 2021. Sur les 31 000 personnes interrogées dans 31 pays, 46 % envisagent de démissionner au cours de l’année à venir – contre 40 % après la pandémie. (Il y a évidemment un gouffre entre rêver de claquer la porte et avoir les moyens de le faire.)

Consommer le monde du travail


Même constat du côté de Gallup, dont un récent sondage confirme que les milléniaux seraient plus ouverts à la recherche et à l’acceptation d’un nouvel emploi, moins investis dans leur travail et plus enclins à envisager de démissionner. Une réflexion intéressante se glisse d’ailleurs dans les commentaires adossés à l’enquête : “Les milléniaux sont des consommateurs du monde du travail.”


Je suis certain que cette remarque se voulait légèrement désobligeante. Après tout, si les entreprises sont désormais habituées à ce que leurs plus jeunes collaborateurs aient la bougeotte, “ça ne les arrange absolument pas”, dit Vanessa Forslev, consultante en ressources humaines à Minneapolis et elle-même milléniale. “C’est une source de perturbations, former une nouvelle recrue coûte cher, et le départ d’un salarié nuit au moral des troupes.”

Lire aussi : Société. En Pologne, la génération Z opte pour le travail manuel


Mais est-ce si étonnant que les milléniaux soient devenus des “consommateurs du monde du travail” ? Cela fait des années que les entreprises nous consomment. Le glissement d’un capitalisme à long terme au capitalisme axé sur la recherche effrénée de profits à court terme accentue le stress et la malveillance. Et conduit à la réduflation, au gonflement injustifié des prix, aux frais supplémentaires à gogo… Chez les compagnies aériennes, on en voit qui tentent de grappiller le moindre centime en dégradant la qualité de leurs services de base afin de pouvoir facturer des suppléments aux passagers désireux d’être traités avec la dignité la plus élémentaire. Et je ne vous parle même pas de l’enshittification généralisée d’Internet [la “merdification”, concept inventé par l’auteur canadien Cory Doctorow].

Plombés par la crise financière et la pandémie


La vie des milléniaux est loin d’être un long fleuve tranquille. Ils sont entrés sur le marché du travail au beau milieu d’une crise financière et ont subi de plein fouet le Covid-19 dix ans plus tard. Piégés entre le remboursement de leurs prêts étudiants et les prix exorbitants de l’immobilier, ils sont dans l’impasse. Que se passe-t-il quand on a les moyens de s’offrir du café d’exception et des activités inoubliables, mais pas un prêt immobilier ? On veut adapter sa carrière en conséquence pour rétablir l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Pas étonnant que 76 % des milléniaux et de la Gen Z rêvent d’être leur propre patron.

Lire aussi : Tendance. En Asie, les jeunes salariés disent non au culte du travail


Il ne s’agit pas d’un laïus contre les entreprises, ni d’une tentative d’alimenter les clichés qui collent à la peau de trentenaires prétendument pleurnichards et trop gâtés. La plupart d’entre nous veulent trouver du sens à leur travail et évoluer dans un environnement professionnel bienveillant, sans que toute notre vie tourne autour du boulot – d’où le succès de la semaine de quatre jours expérimentée par de nombreuses entreprises. Nadia Edwards-Dashti, chasseuse de têtes à Londres, observe :


    “Les entreprises qui encouragent la mobilité interne et aident leurs salariés à évoluer ont tout compris.”


Mes félicitations à tous les milléniaux (et aux autres) qui ont trouvé ce type d’espace de travail. Quant aux autres, s’il y a bien une chose dont je suis fier à propos de ma génération, c’est notre exigence vis-à-vis de nos employeurs – et notre capacité à mettre les pieds dans le plat lorsque c’est nécessaire.


Même dans certains secteurs très prisés de la tech, les entreprises “ont l’art d’exploiter les disparités régionales”, souligne un chef de projet chez un géant du secteur. Lorsqu’il a quitté l’Europe après avoir été muté aux États-Unis, son salaire a augmenté de 80 % pour le même poste – tout en restant inférieur à ceux des Américains, car il ne pouvait pas faire jouer la concurrence en tant qu’étranger soumis à un visa lié à son employeur. Et le nombre d’actions offertes à l’embauche était en moyenne dix fois plus élevé que pour un poste équivalent en Europe.


Cette entreprise est peut-être tellement tentaculaire et dotée d’un tel vivier de candidats qu’elle peut se permettre de ne pas accorder beaucoup d’importance au bien-être de ses salariés. Mais si je travaillais dans l’un de ses bureaux européens, ce genre de discriminations géographiques me donnerait envie de partir à toute vitesse* – et à mes collègues aussi, j’espère. Du reste, ce sont les démissions en cascade qui ont permis d’enfin tirer les salaires vers le haut aux États-Unis, même chez les ouvriers.


En août dernier, au beau milieu de ses vacances en Amérique du Sud, Gabrielle, la petite trentaine, a décidé de démissionner. Elle n’en pouvait plus de son poste de conceptrice de produits dans une entreprise française de travaux publics. À la mi-octobre, elle avait retrouvé un emploi et s’y épanouissait bien plus. Après tout, c’est peut-être l’Europe qui donnera le coup d’envoi de la grande démission 2.0. Chère Gabrielle, et vous tous qui êtes sur le point de démissionner : chapeau !


https://www.courrierinternational.com/a … v2-oK39503 . jean Luc😉



PS: l'Allemagne traverse une crise économique majeur , depuis 2 ans l#économie est en récession ,le secteur automobile va très mal , les plans sociaux succèdent aux plan sociaux , VW va supprimé 30 000 emplois d'ici 2030 , 150-200 000 emplois devrais être supprimer dans les prochaine années , cette crise pourrais changer la donne, car ici les allocations chomage ne sont pas généreuse

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