Accident dans l'Allier
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Bonjour à tous, un violent accident a eu lieu en France qui concerne des Portugais venant de Suisse. Je mets le lien qui donne un numéro vert.
Je présente toutes mes condoléances aux familles et amis.
http://www.lamontagne.fr/auvergne/2016/ … 41087.html
Bonjour a Tous
Quelle tristesse nous sommes de tout coeur avec les familles ....
Francoise David et les Bestioles ...
Toutes nos condoléances aux familles durement touchées par cet accident.
Françoise et Manuel
Oui, les victimes sont toutes portugaises. Espérons qu'elles n'ont pas eu le temps de souffrir.
J'éprouve énormément de sympathie et d'affection pour le peuple portugais et j'ai le sentiment étrange d'avoir perdu des amis .
C'est donc avec beaucoup de tristesse et d'émotion que je présente aux victimes et à leur famille tous mes voeux pour surmonter cette épreuve.
Très amicalement.
Gérard
de tout coeur , avec les familles et les proches ,
Immense tristesse ici en Suisse et en particulier dans la ville de Romont (canton de Fribourg) d'où est parti ce minibus dans lequel se trouvaient aussi une ado et un enfant avec leurs familles....
Mes pensées vont vers leurs familles qui les attendaient au Portugal et leurs proches ici en Suisse....
Toutes mes condoléances pour toutes ces familles touchées de plein fouet par le chagrin et l incompréhensible.
nos condoléances au familles c et bien triste
Condoléances, amitié, tristesse partagée ...
roro
condoléances aux familles dans le chagrin
Condoléances aux familles qui sont dans la tristesse
Quelle effroyable tragédie, avec des enfants innocentes victimes de cet accident routier.
Toutes notre sympathie aux familles, on leur souhaite beaucoup de courage dans cette épreuve.
Merci à Coraliesud pour cette information.
Au delà de la tragédie, il y a la réalité, effarante et incompréhensible.
A Genève, de nombreux voyageurs ont recours au type de transport au noir qui a coûté la vie à douze Vaudois avant Pâques.
Jorge Alves de Pluma Tour possède tout type de bus, accueillant de 75 à une quinzaine de passagers. Il se plaint de la concurrence des transporteurs au noir.
A l’époque, Bruno* s’installait lui aussi derrière le volant d’un minibus, sans les autorisations nécessaires, pour conduire depuis Genève des compatriotes au Portugal. Son véhicule était semblable à celui dans lequel douze résidents suisses d’origine portugaise ont perdu la vie durant le week-end pascal, dans des circonstances qui s’éclaircissent grâce aux informations révélées ce jeudi (lire ci-dessous).
Bruno, lui, s’est arrêté à temps: «Je me suis dit qu’un jour, on se retrouverait avec un paquet de morts.» Etabli à Genève, il concentre aujourd’hui son activité sur le transport de marchandises. «Quand vous êtes fatigué, la marchandise vous attend, alors que les passagers, lorsqu’ils montent à bord de ces véhicules, c’est pour arriver le plus vite possible au village, sans se préoccuper du verglas ou des bouchons.» C’est vrai, il lui est arrivé une fois ou l’autre de prendre une personne en plus de ce qui était autorisé, «mais c’est tout». «Par contre, les chauffeurs au noir conduisent régulièrement avec deux ou trois personnes supplémentaires.» Surtout en période de fêtes.
L’avantage du porte à porte
Les témoignages récoltés au sein de la communauté portugaise attestent que le recours à ces minibus «pirates» est une pratique répandue, aussi à Genève. «C’est même un fléau pour le Portugal, et pour les professionnels comme nous, explique José Lanzana de la société Eggmann-Frey, représentant pour la ligne d’autocars Eurolines. Il suffit d’aller à Plan-les-Ouates ou à La Côte pour voir ces minibus qui attendent. C’est une vraie concurrence. Entre le Valais, Fribourg et Genève, il doit exister une trentaine de ces fourgons.»
Un chiffre corroboré par Jorge Alves, qui a sa propre entreprise de voyages, Pluma Tour: «A Genève, je pense qu’il y a une dizaine de ces véhicules non autorisés. On les voit dans les stations-service. Les transporteurs illégaux prétéritent les entreprises comme la mienne, qui respecte les règles de la route et paye des impôts. C’est davantage une concurrence qu’EasyJet, car ma clientèle ne prend pas l’avion.» L’entrepreneur relève que la publicité pour ces «pirates» fleurit dans les centres portugais. «Du coup, les clients pensent que c’est sérieux. Ils ne savent pas toujours que ces conducteurs n’ont pas les autorisations requises. Mais la responsabilité leur revient aussi: il faut apprendre à se renseigner.» Et qui sont ces Portugais qui achètent un bus pour effectuer des trajets au noir? «Des retraités, parfois, ou des travailleurs qui partent le vendredi après une semaine de boulot et rentrent le dimanche.» Pour arrondir les fins de mois, puisqu’il faut en général compter 200 francs pour monter dans un minibus non homologué.
L’intérêt pour les voyageurs n’est pas forcément pécuniaire puisqu’un vol low cost, et même un trajet en car professionnel, peut coûter nettement moins cher. En revanche, les conducteurs sont moins regardants sur le nombre de bagages. «Ils ont souvent des remorques. Certains rentrent avec du vin, de la viande, même parfois des pommes de terre!» rapporte un chauffeur de taxi qui souhaite rester anonyme. Ces voyages permettent d’économiser un peu de temps sur les vingt ou vingt-quatre heures nécessaires à un bus officiel. Et les horaires sont arrangeants: on quitte la Suisse le vendredi soir pour voyager de nuit. Dernier avantage: le transfert de porte à porte. «C’est un aspect essentiel. Les villages sont mal desservis depuis les centres.»
José Lanzana précise que les transporteurs au noir achètent la plupart du temps des véhicules neuf places, immatriculés souvent au Portugal, «afin de ne pas être soumis au tachygraphe (ndlr: appareil qui enregistre la vitesse et le temps de conduite). Pour aller dans le sud, nous avons trois chauffeurs, qui font des pauses toutes les quatre heures. Eux, ils font parfois 1600 kilomètres avec un seul conducteur. J’ai dénoncé un tas de cas à l’Office fédéral des transports, mais on ne sait pas vraiment ce qu’il en advient.» Le problème serait connu au Portugal. «Les médias informent régulièrement des risques de ces fourgons illicites entre le pays et la Suisse.» D’autres communautés sont-elles concernées? «A Zurich, on rencontre le même cas de figure pour la Slovaquie et plus généralement les pays de l’Est.»
Changer les mentalités
Le drame survenu dans la nuit du 25 mars a mis en émoi toute la communauté portugaise. «En ce moment, on ne parle que de ça», raconte Luis Mata, président du Club Académico de Viseu à Genève, en confirmant que ses compatriotes sont «nombreux à faire ce genre de voyages. Ça passe beaucoup par le bouche-à-oreille. J’en ai fait un, une fois. Les chauffeurs prennent des routes nationales, où passent beaucoup de camions, pour éviter les péages. Je me suis promis de ne jamais recommencer.» Luis Mata estime qu’il reste un «gros boulot» à faire pour changer les mentalités. Il espère que l’accident contribuera au moins à cela.
Source: http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise … y/18235281
C'est la dure réalité qui engendre des drames comme celui qu'ont vécu 12 portugais.
Sincères condoléances à toutes les familles touchées par cet accident.
Gerphin85 a écrit:Au delà de la tragédie, il y a la réalité, effarante et incompréhensible.
A Genève, de nombreux voyageurs ont recours au type de transport au noir qui a coûté la vie à douze Vaudois avant Pâques.
Jorge Alves de Pluma Tour possède tout type de bus, accueillant de 75 à une quinzaine de passagers. Il se plaint de la concurrence des transporteurs au noir.
A l’époque, Bruno* s’installait lui aussi derrière le volant d’un minibus, sans les autorisations nécessaires, pour conduire depuis Genève des compatriotes au Portugal. Son véhicule était semblable à celui dans lequel douze résidents suisses d’origine portugaise ont perdu la vie durant le week-end pascal, dans des circonstances qui s’éclaircissent grâce aux informations révélées ce jeudi (lire ci-dessous).
Bruno, lui, s’est arrêté à temps: «Je me suis dit qu’un jour, on se retrouverait avec un paquet de morts.» Etabli à Genève, il concentre aujourd’hui son activité sur le transport de marchandises. «Quand vous êtes fatigué, la marchandise vous attend, alors que les passagers, lorsqu’ils montent à bord de ces véhicules, c’est pour arriver le plus vite possible au village, sans se préoccuper du verglas ou des bouchons.» C’est vrai, il lui est arrivé une fois ou l’autre de prendre une personne en plus de ce qui était autorisé, «mais c’est tout». «Par contre, les chauffeurs au noir conduisent régulièrement avec deux ou trois personnes supplémentaires.» Surtout en période de fêtes.
L’avantage du porte à porte
Les témoignages récoltés au sein de la communauté portugaise attestent que le recours à ces minibus «pirates» est une pratique répandue, aussi à Genève. «C’est même un fléau pour le Portugal, et pour les professionnels comme nous, explique José Lanzana de la société Eggmann-Frey, représentant pour la ligne d’autocars Eurolines. Il suffit d’aller à Plan-les-Ouates ou à La Côte pour voir ces minibus qui attendent. C’est une vraie concurrence. Entre le Valais, Fribourg et Genève, il doit exister une trentaine de ces fourgons.»
Un chiffre corroboré par Jorge Alves, qui a sa propre entreprise de voyages, Pluma Tour: «A Genève, je pense qu’il y a une dizaine de ces véhicules non autorisés. On les voit dans les stations-service. Les transporteurs illégaux prétéritent les entreprises comme la mienne, qui respecte les règles de la route et paye des impôts. C’est davantage une concurrence qu’EasyJet, car ma clientèle ne prend pas l’avion.» L’entrepreneur relève que la publicité pour ces «pirates» fleurit dans les centres portugais. «Du coup, les clients pensent que c’est sérieux. Ils ne savent pas toujours que ces conducteurs n’ont pas les autorisations requises. Mais la responsabilité leur revient aussi: il faut apprendre à se renseigner.» Et qui sont ces Portugais qui achètent un bus pour effectuer des trajets au noir? «Des retraités, parfois, ou des travailleurs qui partent le vendredi après une semaine de boulot et rentrent le dimanche.» Pour arrondir les fins de mois, puisqu’il faut en général compter 200 francs pour monter dans un minibus non homologué.
L’intérêt pour les voyageurs n’est pas forcément pécuniaire puisqu’un vol low cost, et même un trajet en car professionnel, peut coûter nettement moins cher. En revanche, les conducteurs sont moins regardants sur le nombre de bagages. «Ils ont souvent des remorques. Certains rentrent avec du vin, de la viande, même parfois des pommes de terre!» rapporte un chauffeur de taxi qui souhaite rester anonyme. Ces voyages permettent d’économiser un peu de temps sur les vingt ou vingt-quatre heures nécessaires à un bus officiel. Et les horaires sont arrangeants: on quitte la Suisse le vendredi soir pour voyager de nuit. Dernier avantage: le transfert de porte à porte. «C’est un aspect essentiel. Les villages sont mal desservis depuis les centres.»
José Lanzana précise que les transporteurs au noir achètent la plupart du temps des véhicules neuf places, immatriculés souvent au Portugal, «afin de ne pas être soumis au tachygraphe (ndlr: appareil qui enregistre la vitesse et le temps de conduite). Pour aller dans le sud, nous avons trois chauffeurs, qui font des pauses toutes les quatre heures. Eux, ils font parfois 1600 kilomètres avec un seul conducteur. J’ai dénoncé un tas de cas à l’Office fédéral des transports, mais on ne sait pas vraiment ce qu’il en advient.» Le problème serait connu au Portugal. «Les médias informent régulièrement des risques de ces fourgons illicites entre le pays et la Suisse.» D’autres communautés sont-elles concernées? «A Zurich, on rencontre le même cas de figure pour la Slovaquie et plus généralement les pays de l’Est.»
Changer les mentalités
Le drame survenu dans la nuit du 25 mars a mis en émoi toute la communauté portugaise. «En ce moment, on ne parle que de ça», raconte Luis Mata, président du Club Académico de Viseu à Genève, en confirmant que ses compatriotes sont «nombreux à faire ce genre de voyages. Ça passe beaucoup par le bouche-à-oreille. J’en ai fait un, une fois. Les chauffeurs prennent des routes nationales, où passent beaucoup de camions, pour éviter les péages. Je me suis promis de ne jamais recommencer.» Luis Mata estime qu’il reste un «gros boulot» à faire pour changer les mentalités. Il espère que l’accident contribuera au moins à cela.
Source: http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise … y/18235281
C'est la dure réalité qui engendre des drames comme celui qu'ont vécu 12 portugais.
Il y a les boat-people, les marchands de sommeil et désormais les bus-people !
Il y a toujours des salopards pour tirer partie de la misère des autres et s'enrichir .
Honte à eux !
Je leur souhaite le pire.
@.Gérard 64
Globalement d'accord avec vous. Mais je ne suis pas sûre que j'aie envie de souhaiter le pire, même aux commanditaires. Cela ne ramènera personne à la vie.
Par ailleurs je pense beaucoup à au gamin de 19 ans qui conduisait ce bus et qui va vivre maintenant avec l'horrible fardeau d'avoir tué 12 de ses compatriotes, amis peut-être. Je ne sais pas comment l'on vit avec cela sur la conscience...
Quant à ceux qui organisent ces transports, ce que je souhaite c'est qu'ils doivent rendre des comptes à la justice, à l'aune du drame dont ils sont responsable.
Et que cette même justice prennent des mesures pour que cela ne soit plus monnaie courante.
@Ellendo
Totalement d'accord avec vous.
Après la douleur des familles et des proches des victimes, je pense à ce jeune homme et à ses parents qui ne sortiront pas non plus indemnes de cette terrible épreuve.
En plus, lui et son oncle, propriétaire du véhicule et portugais, ont été mis en examen pour homicide involontaire et blessures involontaires aggravées et Il y avait des membres de leur famille dans le véhicule, tous décédés. Plus de commentaires....
http://www.lemonde.fr/police-justice/ar … 53578.html
@Gerphin85
La lecture de cet article me fait froid dans le dos.
Quel malheur....
Que de malheurs dans ces vies d'Hommes qui pourraient être évitées...
Que de vies gâchées !
Chaque malheur, (et à notre époque nous avons connaissance de tant d'événements) me fait
prendre conscience s'il en était encore nécessaire, de la fragilité de la vie et du bonheur.
Ajustons nos comportements et tentons de changer le monde en commençant par changer soi-même !
"Sois le changement que tu veux en ce monde" Dalaï Lama
Bonjour,
Je suis un peu étonnée en lisant tous ces posts d'avoir l'impression que l'on découvre quelque chose suite à cet accident qui semble toucher tout le monde , parce qu'il a impliqué des portugais, et que nous sommes nécessairement "sensibilisés" à ce qui les touche.
Allez à de nombreuses portes de Paris le vendredi soir, longez par exemple les douves du château de Vincennes dans le Val de Marne, et vous verrez régulièrement ces forgonnettes en train d'être chargées de valises, sacs et baluchons avec le plus souvent une petite dizaine de passagers en attente d'embarquer.
Les destinations sont variées si l'on se fie aux langues parlées par les passagers en attente..
Cela se fait au vu et au su de tout le monde depuis des années, et je n'ai jamais vu quel que représentant des autorités que ce soit en train de vérifier quoi que ce soit avant le départ..
Bonne journée paisible à tous.
Message affiché en double effacé.
Mes amis, quelle lapidation ! Heureusement Ellendo note que le coupable est aussi une victime. Comprenne qui voudras, moi mon remord... J'ai beau lire les lignes et les liens, quelle est la cause de l'accident ? Le maire de la commune incrimine la dangerosité de la route. S'il y avait eu alcool ou vitesse cela serait apparu dans le titre avec un article de Madame Périchon en épitaphe. Ce garçon a essayé de gagner sa vie en trichant un peu. Les grands tricheurs n'ont rien à craindre, cela me fait penser à cette fable que tous connaissent :
.....
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
......
@NICMF
Si tout le monde voit et que personne ne fait rien, alors personne ne sera à l'origine de quelque changement que ce soit !
Pour ma part, toulousaine, je n'ai jamais eu à voir ce genre de cas. Peut-être que si j'avais vu j'aurais tenté une quelconque action ? Qui sait ?
Parce que j'essaie vraiment d'être "le changement que je veux en ce monde"....
@ENTRECROISER
Est-il possible d'imaginer que cette forme de transport est plus abordable, et de loin sans doute, que les moyens conventionnels que nous utilisons vous et moi?
Il me semble aussi que chaque être humain, d'où qu'il vienne et où qu'il aille, a son libre arbitre et fait le choix d'un mode de transport qui lui paraît pertinent, et que la plupart de ces chauffeurs tiennent à leur vie autant qu'à celles de leurs passagers.
D'autre part on sait bien que l'erreur humaine fait dérailler des TGV et basculer des autocars dans des ravins...
Je crois pour finir que chacun est libre de mener les actions qui lui paraissent de son ressort pour améliorer "la condition humaine", en s'abstenant toutefois de s'ériger en redresseur de torts ou en moralisateur.
Belle et sereine fin de week-end à vous et à tous.
@NICMF
Je partage tout à fait votre point de vue.
Si parce que je me demande si j'aurais fait quelque chose vous avez compris que je cherchais à vous culpabiliser c'est que je me suis mal exprimée et j'en suis désolée.
Ce n'était pas du tout mon objectif.
Loin de mois l'idée de "m'ériger en redresseur de torts ou en moralisateur", je prends souvent, il est vrai, la liberté d'exprimer ma façon de voir la vie, mais je trouve tout à fait normal que chacun ait sa vision.
Heureusement que nous n'avons pas tous la même, il n'y aurait plus aucun débat et ce serait très appauvrissant.
Bonne fin de weekend également.
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