Menu
Expat.com

Pour le fun : Coutumes insolites au Portugal et dans le monde

Nouvelle discussion

Diksha

Bonjour à tous,

Nous vous proposons un petit jeu pour découvrir ensemble les coutumes insolites de la culture portugaise et en apprendre plus sur celles dans le reste du monde.

1. Dans quel pays les chats noirs portent-ils bonheur ? Qu’en est-il au Portugal ?
2. Dans quel pays est-il préférable de ne pas écrire en rouge ?
3. Le quart d’heure de politesse est-il d’usage au Portugal ?
4. Dans quel pays se pratique le baiser esquimau ?
5. Quelle est la coutume la plus insolite que vous avez découverte au Portugal ?

Merci de votre participation,
Diksha

Moetai

Ecrire en rouge au Portugal est très  mal vu

gallard

En Alentejo un homme le plus souvent propriétaire terrien qui avec l'âge ne pouvait plus monter à cheval se suicidait, c'était de coutume.

Il est de coutume à Lisbonne de se marier chez soi, maire et prêtre se déplacent.

Il est organisé par la mairie de Lisbonne un mariage de rêve collectif limité à une vingtaine de couples chaque année à la Saint Antoine en juin à la cathédrale, rejoints à la sortie par les mariés civils pour un magnifique défilé avec fanfare et limousine pour chacun ! Et des fleurs de tous les spectateurs même en papier, touchant !

gallard

A la fête des rois les "janeiras" groupe de musiciens chanteurs défilent en musique dans la rue, s'arrêtent devant des maisons pour une sorte d'aubade d'un chant traditionnel et reçoivent en échange lancés ou abaissés par panier de la nourriture
Le défilé terminé ils font un repas partagé des dons reçus Vu à Loulé chaque année et aussi
représentation de janeiras au théâtre à ne pas manquer Encontro de Charolas e Janeiras

gallard

En Alentejo un rituel de passage initiatique qui fait la fierté des familles, des pères et des mères surtout est pour le fils
Lors de la corrida (on ne tue pas le taureau) être pour la 1ère fois un "forcado" c'est la preuve d'être un "homme".
A la fin de la corrida les forcados forment une sorte de mêlée comme au rugby, le n*1 à l'avant, soutenus par les autres attrapent les cornes du taureau et le fait plier, le forcado et le taureau sont applaudis, ce dernier à le droit à une vachette qu'il suit volontiers pour rentrer dans son box avant de retourner dans sa prairie.

francoiselle

Le chiffre 7 porte malheur alors qu'en France c'est le 13

POLIC

Oh Sr.Gallard, celle de l'Alentejano se suicider quand il ne peu pas monter à cheval , m'a beacoup surpris................

Je suis originaire d'une famille de "Lavradores" , de père en fils depuis l'époque de Viriato, de la région de Vidigueira,  "Terra do bom vinho e boa gente", j'ai eu la chance de connaitre mes arrières grands pères, grands pères, pères , et tontons, tous cavaliers dont 1 cavalier "tauromàtico" et tous sont morts dans leurs lits, parfois avec de cirrhoses, mais aucun ne s'est suicidé..................

Par contre, cela arrivait souvent qu' un homme, apprenant que sa femme "lhe punha os cornos", se pende dans la "trave das linguiças" de peur d' être la risée du village.

Dans ce monde où le machisme est religion, être cocu était la pire des hontes qui ne pouvait être lavée que par la mort car cela prouvait que le mari n'était pas assez "Homme" pour satisfaire les désirs de son épouse.

Quant à l'épouse, elle était épargnée de la vindicte populaire car c'était normal chercher ailleurs ce qui manquait chez son mari..................

Autres temps, autres mœurs............

bretonnedecoeur

POLIC a écrit:

Oh Sr.Gallard, celle de l'Alentejano se suicider quand il ne peu pas monter à cheval , m'a beacoup surpris................

Je suis originaire d'une famille de "Lavradores" , de père en fils depuis l'époque de Viriato, de la région de Vidigueira,  "Terra do bom vinho e boa gente", j'ai eu la chance de connaitre mes arrières grands pères, grands pères, pères , et tontons, tous cavaliers dont 1 cavalier "tauromàtico" et tous sont morts dans leurs lits, parfois avec de cirrhoses, mais aucun ne s'est suicidé..................

Par contre, cela arrivait souvent qu' un homme, apprenant que sa femme "lhe punha os cornos", se pende dans la "trave das linguiças" de peur d' être la risée du village.

Dans ce monde où le machisme est religion, être cocu était la pire des hontes qui ne pouvait être lavée que par la mort car cela prouvait que le mari n'était pas assez "Homme" pour satisfaire les désirs de son épouse.

Quant à l'épouse, elle était épargnée de la vindicte populaire car c'était normal chercher ailleurs ce qui manquait chez son mari..................

Autres temps, autres mœurs............


Boa noite,

Les trois derniers paragraphes m'ont beaucoup plu. Cela me rappelle la réflexion faite par une dame de la Cour (sous Louis XIV je crois - et j'ai oublié le nom de la dame) à son époux : "Vous comprendrez que je vous quitte, car je ne peux rester avec un cocu..." :lol::lol::lol:

Boas festas para todos :)

Aïssata ;)

Articles pour préparer votre expatriation au Portugal

Tous les articles du guide Portugal