L’affaire de la tête de cochon
jugée le 17 septembre
L’affaire avait défrayé la chronique en début
d’année. Le jour de l’an 2014, Mayotte se réveille
avec l’affaire de la tête de cochon comme on
l’appelle désormais. En effet, une tête de cochon
a été jetée à la mosquée de vendredi de Labattoir.
Tollé général dans l’île, peu habituée à ce genre
de faits- divers. Très vite, les présumés coupables
sont interpellés. Un gendarme maritime, son
épouse et l’épouse d’un légionnaire ayant festoyé
pendant la nuit de la Saint-Sylvestre auraient
commis la profanation. L’audience ayant déjà
été renvoyée une première fois, sera jugée le 17
septembre prochain avec la présence de tous les
protagonistes.
Des habitants excédés par les
vols nocturnes
Mercredi vers 1h du matin, les policiers sont
appelés pour un cambriolage à Doujani. Sur
place, les agents constatent qu’en réalité, ce
sont trois véhicules qui ont été vandalisés dans
l’objectif de voler les équipements à l’intérieur.
Après avoir calmé les habitants en colère qui
promettaient de se faire justice eux-mêmes, les
policiers les ont convaincus de porter plainte.
Il gifle sa femme en plein
commissariat
Mardi matin, une femme se présente au poste de
police de Mamoudzou, elle veut porter plainte
pour des violences conjugales. Le mari est interpellé
à son domicile et conduit au poste. Sur
place, il saute à la gorge de son épouse et lui
administre une violente claque devant les agents
médusés. Il est rapidement maîtrisé par un adjoint
de sécurité puis placé en détention. Son
dossier fait état de violences répétées à l’égard
de son épouse.
Les dangers de la pleine lune
Mardi vers 20h, un homme se promène square
Papaye non loin de son domicile, un appareil
photo à la main pour immortaliser la pleine
lune à Mayotte. Soudainement, une trentaine
de jeunes déboulent dans l’allée. Lui ne se méfie
pas et plusieurs des jeunes l’agressent. Malgré sa
résistance, il prend un mauvais coup sur la tête et
se fait arracher sa sacoche. L’arrivée des secours
met les jeunes en fuite. Quelques heures plus
tard, lors d’un contrôle de police, un adolescent
est arrêté en possession de tickets restaurants
volés lors de l’agression. Mais il n’est pas formellement
reconnu par la victime et est donc
remis en liberté.
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